Tuesday 28 October 2008

Les français soutiens un candidat noir pour l'élection présidentielle...americaine

Pourquoi en France on a pas le droit de savoir quelle est la vraie critique contre Barack Obama, car la vraie critique n’est pas sa couleur de peau comme le prétendent les medias français. Voici quelques argumentes contre Obama que vous ne trouvez que dans les medias étrangères:

French President Nicolas Sarkozy is very critical of U.S. presidential candidate Barack Obama's positions on Iran, according to reports that have reached Israel's government. Sarkozy has made his criticisms only in closed forums in France. But according to a senior Israeli government source, the reports reaching Israel indicate that Sarkozy views the Democratic candidate's stance on Iran as "utterly immature" and comprised of "formulations empty of all content." (...) Advisors to the French president who held separate meetings with Obama's advisors came away with similar impressions and expressed similar disappointment. (...)
(Barak Ravid www.haaretz.com 28.10.09)

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Puisque Colin Powell répète désormais le mensonge selon lequel Barack Obama a toujours été chrétien, et ce « en dépit des informations confirmant l'enfance musulmane d'Obama » (ainsi, l'inscription à une école indonésienne le répertoriant comme musulman), on doit constater avec consternation que le candidat démocrate s'emploie à cacher la vérité sur cette question.

Portons notre attention, dans ce contexte, sur un sujet connexe, les relations d'Obama, tout au long de sa carrière, avec l'islam extrémiste, et la dette morale que cela implique. Sur un plan plus précis, Obama maintient des liens indirects, mais anciens et persistants, avec deux organisations, le Council on American Islamic Relations (CAIR), incriminé, sans mise en examen, par le gouvernement américain en 2007 comme complice de conspiration dans un procès concernant le financement du Hamas ; et The Nation of Islam, condamnée par l'Anti-Defamation League pour un passé marqué, « de manière constante, par le racisme et l'antisémitisme ».

Commençons par les liens d'Obama avec des islamistes :

• Ses relations avec Khalid al-Mansour. Selon l'ancien président du quartier de Manhattan, Percy Sutton, Al-Mansour a collecté de l'argent pour financer les « dépenses d'Obama à la Harvard Law School ». Al-Mansour, un noir américain, (nom de naissance : Don Warden) est devenu conseiller du prince saoudien, Al-Walid bin Talal, le principal donateur du CAIR. Al-Mansour a des positions islamistes classiques : il nie que le gouvernement soudanais entérine l'esclavage, il nie les liens des Juifs avec Jérusalem. Il a écrit une brochure appelée « Américains, prenez garde. Le complot sioniste contre l'Arabie saoudite ». (Obama et al-Mansour réfutent ces déclarations de Sutton).

• Ses relations avec Kenny Gamble (connu aussi sous le nom de Luqman Abdul-Haqq). Gamble, producteur de musique pop, autrefois connu, a coupé le ruban lors de l'inauguration d'un quartier général de campagne d'Obama, situé dans un immeuble du sud de Philadelphie, dont il est propriétaire. Gamble est un islamiste qui achète de nombreuses propriétés dans Philadelphie, dans le but de créer une zone résidentielle réservée aux musulmans. En tant qu'émir autoproclamé du United Muslim Movement, il a aussi des liens nombreux avec des organisations islamistes, dont le CAIR et la Muslim Alliance in North America. (Siraj Wahhaj, l'émir du MANA, a été impliqué, sans mise en examen, pour complicité de conspiration dans l'attaque contre le World Trade Center, en 1993).

• Ses relations avec Mazen Asbahi. Premier coordinateur de la campagne d'Obama à destination des musulmans, il a démissionné après des révélations montrant qu'il avait fait partie du bureau d'une organisation financée par l'Arabie saoudite, le North American Islamic Trust, position qu'il partageait avec Jamal Said, incriminé lui aussi, sans mise en examen, comme complice de conspiration dans le procès concernant le financement du Hamas en 2007. Asbahi a des liens avec les bureaux du CAIR à Detroit et à Chicago, avec l'Islamic Society of North America, incriminée elle-même, sans mise en examen, pour le financement du Hamas et d'autres organisations islamistes.

• Ses relations avec Minha Husaini. Seconde coordinatrice de la campagne d'Obama à destination des Musulmans, elle a un passé islamiste et a travaillé comme stagiaire au Muslim Public Service Network. Immédiatement après sa nomination par Obama, elle a rencontré un groupe d'une trentaine de musulmans, incluant des gens aussi connus que Nihad Awad, du CAIR, Mahdi Bray, de la Muslim American Society, qui a soutenu publiquement des groupes terroristes tels le Hamas et le Hezbollah, et Johari Abdul Malik de la Dar Al-Hijrah Mosque de Falls Church, en Virginie, qui a déclaré aux musulmans américains : « Vous pouvez faire sauter des ponts, mais vous ne pouvez pas tuer des gens innocents qui se rendent à leur travail».

Passons aux liens d'Obama avec The Nation of Islam :

Le donateur et allié de longue date d'Obama, Antoin « Tony » Rezko a été, durant trois décennies, le partenaire de Jabir Herbert Muhammad, fils d'Elijah Muhammad, dirigeant de The Nation of Islam, et il affirme avoir donné à Jabir et à sa famille des « millions de dollars au fil des ans ». Rezko a aussi été directeur exécutif de la Muhammad Ali Foundation, une organisation douteuse qui, sans l'autorisation d'Ali, a utilisé le nom de celui-ci qui, par ailleurs, a été récompensé par le CAIR.

Jeremiah Wright, le pasteur qui a joui de l’estime d'Obama pendant vingt ans, a eu, dans le passé, des liens avec The Nation of Islam ; il a accepté récemment la protection d'un détachement de sécurité de The Nation of Islam, et a parlé de manière élogieuse de Louis Farrakhan comme « l'un des géants de l'expérience religieuse des Afro-Américains ». L'église de Wright a célébré Farrakhan pour avoir été « la parfaite illustration de la grandeur ».

Farrakhan lui-même a annoncé son soutien à Obama, parlant de lui comme l’« espoir du monde entier », « celui qui peut relever l'Amérique après sa chute », et même comme un « Messie ».

Le fait que la biographie d'Obama témoigne de liens si fréquents avec des organisations aussi peu recommandables que le CAIR et The Nation of Islam devrait donner à réfléchir. Combien de politiciens ont-ils eu des liens avec une organisation de ce genre, et combien en ont eu avec sept d'entre elles ? John McCain appelle charitablement Obama « une personne dont vous ne devez pas avoir peur si elle devenait Président des Etats-Unis ». Mais les liens multiples d'Obama avec des organisations anti-américaines et subversives indiquent qu'il ne répondrait pas aux critères de sécurité, exigés pour l'engagement des employés du gouvernement fédéral.

L'agression islamique constitue l'ennemi stratégique de l'Amérique. Les nombreuses relations insalubres d'Obama suscitent des doutes graves concernant son aptitude à être Commandant en chef des Etats-Unis d'Amérique.

(Daniel Pipes, Philadelphia Bulletin, http://fr.danielpipes.org/article/5988 , 21.10.2008)

Le mur du çon a été pulvérisé cette semaine par Benjamin Barthe

Voulant traiter de la rencontre historique de football entre l'équipe de Palestine et celle de Jordanie, dans la banlieue de Jérusalem, notre jeune pigiste a entrepris un voyage dans le temps. Il a découvert que la Fédération de Football de Palestine était née en 1934.

Notre journaliste s'est alors étonné qu'elle n'était composée que de sportifs juifs, à l'exception d'un Arabe, membre de son conseil d'administration rapidement démissionnaire. Et de soupçonner une petite entourloupe...

Il faudra expliquer un jour à notre Benjamin, qu’en ce temps-là, le vocable «palestinien» s'appliquait bien davantage aux Juifs du Yichouv (foyer) qu'aux Arabes, qui se définissaient davantage en tant que tels, ou comme musulmans.

C'est ainsi que la Banque d'Israël d'aujourd'hui s'appelait «Banque de Palestine», et que l'association «France-Israël», que j'ai l'honneur de présider, se nommait, lors de sa fondation, en 1927, par Gaston Doumergue, Aristide Briand et Maurice Ravel, pour promouvoir la création d'un État juif: «France-Palestine».

Il suffit que les juifs aient été expulsés, sans combattre, du territoire lexical de la Palestine, sans qu'un ignorant les soupçonne, au surplus, d'escroquerie.

( G.W. Goldnadel 27/10/08 )

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(…) Cette renaissance annoncée vient après plusieurs décennies d'une histoire mouvementée. Officiellement, la sélection palestinienne a vu le jour en 1934, à l'occasion d'un match contre l'Egypte, au Caire, comptant pour les qualifications de la Coupe du monde prévue cette même année à Rome. Sous l'influence des occupants britanniques, le ballon rond avait fait de nombreux adeptes en Terre sainte. Futur chef de la délégation palestinienne à la conférence de paix de Madrid, en 1991, Haïdar Abdel Shafi, décédé en 2007, fut l'un des meilleurs joueurs de l'époque. Mais ce 16 mars 1934, l'équipe qui se fait étriller 7-1 par les Egyptiens est composée exclusivement de footballeurs juifs, et la musique jouée en ouverture est l'Hatikva, l'hymne officiel du mouvement sioniste. Aucun joueur arabe ne participera aux quatre autres matches joués par la sélection palestinienne avant la guerre de 1948-1949 et la création de l'Etat d'Israël.

Et pour cause : la Palestine Football Association (PFA), créée en 1928 et adoubée l'année suivante par la FIFA, ne comptait que des juifs dans son conseil d'administration. Comment expliquer que les instances dirigeantes du foot aient donné leur aval à une organisation aussi peu représentative, à une l'époque où les juifs ne représentaient qu'une faible minorité de la population du mandat britannique ? D'après la Soccer Statistics Foundation, une base d'archives électroniques sur le football, cette situation serait le produit d'un vulgaire tour de passe-passe. A l'occasion de leur audition par la FIFA, les responsables de la PFA auraient recruté un représentant arabe, qui, sitôt la rencontre terminée, disparut du conseil d'administration.

Les véritables débuts de l'équipe palestinienne de football datent d'un match contre la Syrie, à Damas, en 1946. Suivent cinquante années de tribulations, indexées sur l'histoire du mouvement national palestinien. Des sélections, composées de réfugiés et patronnées par l'OLP, se produisent sur divers terrains arabes. Une nouvelle fédération en exil est formée en 1962. (...)

("Match historique" en Palestine ,LE MONDE, Benjamin Barthe, 25.10.2008, 835 mots)

Monday 27 October 2008

France Info - amplificateurs de la propagande syrienne

Selon France Info Guillaume Gaven, avec agences, 26.10.08, 22h20:

Un raid militaire américain meurtrier en Syrie ?

C’est la Syrie qui l’affirme: des soldats américains débarqués d’hélicoptères ont pris d’assaut un immeuble, dans un village syrien frontalier de l’Irak. Ils y auraient tué huit civils. Washington ne fait aucun commentaire.

Bavure? Opération commando? Difficile de le déterminer avec précision, pour l’heure. Mais l’affaire prend des proportions diplomatiques inquiétantes : Damas a convoqué très officiellement le chargé d’affaires américain et son homologue irakien. Le vice-ministre syrien des Affaires étrangères a notifié au diplomate américain "la protestation et la condamnation par la Syrie de cette grave attaque". Quant au diplomate irakien, il lui est demandé d’interdire l’utilisation de son territoire pour lancer des agressions contre la Syrie.

En fin d’après-midi, il semble que l’armée américaine ait lancé un raid héliporté contre un immeuble en construction, aux confins de la Syrie et de l’Irak. Le raid aurait été sanglant. Selon les médias officiels syriens, “des soldats américains ont pris d’assaut un immeuble civil en construction et tiré à l’intérieur sur les ouvriers, faisant huit morts” dans le village d’Al-Soukkariya. (…)

L’armée américaine à Bagdad n’a pas encore réagi. Cela dit, un commandant américain avait confié la semaine dernière que cette région proche de la frontière présentait toujours un problème de sécurité, cinq ans et demi après le début de la guerre.
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Selon Ron Ben-Yishai, ynet (en hebreu) 27.10.09 , 2h :

Les américains ont attaqué pour la première fois dans le territoire syrien une ferme qui servait comme basse pour infiltrer de membres de Jihad Mondial en Irak. La plupart de terroristes et de leurs collaborateurs ont été tues ou blesses.
Des milliers de soldats américains et des dizaines de milliers de irakiens ont été tues les dernières années par de combattants de guérilla et de terroristes qui se sont infiltrés en Irak a partir de la Syrie. La Syrie n’a rien fait pour empêcher ce phénomène.

Wednesday 15 October 2008

La declaration du pape Benoit XVI sur les juifs

Le pape souligne «le rôle éminent» joué par les Juifs de France dans l’histoire de France au cours d'une rencontre avec des représentants de la communauté juive à Paris.
(AFP, LIBERATION.FR : vendredi 12 septembre 2008)

Le pape Benoît XVI a déclaré qu’«être antisémite», c’est «être antichrétien», en rencontrant des représentants de la communauté juive à Paris, vendredi, au premier jour d’une visite de quatre jours en France.

«L’Eglise s’élève contre toute forme d’antisémitisme dont aucune justification théologique n’est recevable», a déclaré le souverain pontife. Et il a relevé que le théologien Henri de Lubac «a compris qu’être antisémite était aussi être antichrétien», a-t-il ajouté. «Une fois encore, je tiens à rendre un profond hommage à ceux qui sont morts injustement et à ceux qui ont oeuvré pour que les noms des victimes restent en mémoire», a-t-il affirmé.

Le pape a aussi souligné «le rôle éminent» joué par les Juifs de France dans l’histoire de France. «Je ne peux omettre, en une occasion comme celle-ci, de mentionner le rôle éminent joué par les Juifs de France pour l’édification de la Nation tout entière, et leur prestigieuse contribution à son patrimoine spirituel», a souligné le pape.

«Ils ont donné - et continuent de donner - de grandes figures politiques, intellectuelles et artistiques», a-t-il ajouté.

«Je forme des voeux respectueux et affectueux à l’adresse de chacun d’entre eux, et j’appelle avec ferveur sur toutes vos familles et sur toutes vos communautés une bénédiction particulière du Maître des temps et de l’Histoire», a-t-il dit.

Sunday 12 October 2008

Les faux amis de l’écologie

Les sacs de plastique ne se recyclent pas. Ils compliquent même le travail des trieurs dans les usines de recyclage. Leur quantité est d’autant plus grande que les Parisiens ont été longtemps incité à les jeter dans les bacs jaunes. Cette consigne figure toujours sur les couvercles des poubelles jaunes…

Yves Contassot, ex adjoint (Verts) chargé de la propreté à la Mairie de Paris :
«En 2002 nous avons anticipé sur la création d’une filière de recyclage. On s’est finalement rendu compte que cela ne se ferait pas, car la dépense d’énergie pour transformer ces sacs aurait été trop élevée…»

Bertrand Delanoë est maire de Paris depuis mars 2001.

( Le Monde 9.10.2008 )

Saturday 11 October 2008

Israel and the Arab countries - some statistics

Arab world = representing 295 million people spread over 22 countries
Israel = 6 million people


Patent filings in the international in 2007:
Israel = 1,649
All the Arab countries + Iran and Sudan together = 76
(www.wipo.int)

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Scientific and Technical Journal Articles Published in 2005:
Israel = 16,470
Arab countries total = 13,444
(www.sesric.org/stat_science.php Science and Technology in OIC Member Countries report )

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Frequently cited papers ( scientific publications) produced per million inhabitants per year:
Israel = 38
Kuwait = 0.53
Saudi Arabia = 0.07
Egypt = 0.02
(http://users.ictp.it 2005)
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New israeli books registered by the Legal Deposit Department of the Jewish National and University Library (JNUL) during 2006:
Israel = 6866 books
(http://jnul.huji.ac.il)


Produced books in 1991:
Arab countries total = 6,500 books
(UNESCO and http://users.ictp.it 2005)

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Anualy translated books in 2006:
Israel = 1030 books
Arab countries total = 300 books
(The 2002 Arab Human Development Report , http://jnul.huji.ac.il )