La Une de l'Humanité imprimée en A3 montre elle aussi des enfants touchés par les frappes israéliennes. ( Mahaut Chantrel, avec Flavien Bascoul, www.lexpress.fr 10.01.2009)
AVEC CETTE ENTREE, J'AI DECIDE D'ARRETER MON BLOG. JE N'AI PLUS DE POUVOIR DE CRIER MON DESESPOIR FACE A L'INJUSTICE DU MONDE QUI NOUS A ABANDONNE DE NOUVEAU COMME PENDANT LA SHOAH. NOUS NOUS BATTONS TOUT SEULE CONTRE LE MAL INCARNE PAR LES ISLAMISTES ET LES ARABES FASCISTES.
Sunday, 11 January 2009
Saturday, 10 January 2009
La gauche radicale est l'islamisme en Europe
Aux Pays-Bas la gauche radicale, le Socialistische Partij, qui compte une forte représentation parlementaire, a participé activement, à un défilé qui clamait "Hamas, Hamas, les juifs au gaz".
(LE MONDE 10.01.09)
(LE MONDE 10.01.09)
Les medias francais complices de la propagande arabe
Pas de questions genantes dans les medias francais pour Leila Chahid, déléguée générale de l'Autorité palestinienne auprès de l'Union européenne.
Au journal télévisé de 20h sur France2 elle ignore les questions en raison d’un «problème technique» et fait son discours sans aucune interruption.
Pas de questions genantes non plus de la part de Jean-Jacques Bourdin sur BFM le 06.01.09,
Au journal télévisé de 20h sur France2 elle ignore les questions en raison d’un «problème technique» et fait son discours sans aucune interruption.
Pas de questions genantes non plus de la part de Jean-Jacques Bourdin sur BFM le 06.01.09,
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Le Cardinal président du Conseil Pontifical Justice et Paix
Le Cardinal Renato Raffaele Martino, président du Conseil Pontifical Justice et Paix
Ce Cardinal incite à la haine du peuple israélien. En reprenant à son compte 3 des pires accusations formulées par les islamistes et les Occidentaux extrémistes à l’encontre d’Israël, à savoir, de se conduire comme les nazis à l’égard des arabes, de perpétrer un génocide permanent, et d’être comparé aux islamistes. Ce prélat déshonore et discrédite son Eglise et trahit le rôle dont il est investi. En plus l’ensemble de son intervention est d’une médiocrité désolante.
C’est devant le tribunal du Christ - dont il est censé attendre le retour -, qu’il devra rendre compte de cette faute gravissime.
___________________________
1. «En Terre Sainte, nous assistons à un génocide permanent»
2. «Regardons ce qui se passe à Gaza: cette ville ressemble de plus en plus à un grand camp de concentration.»
3. «Mais il faut que les deux parties le veuillent, car toutes les deux sont coupables. Les Israéliens et les Palestiniens sont les fils de la même terre et il faut les séparer, comme on le fait pour deux frères»
(Le Cardinal Renato Raffaele Martino, Ilsussidario.net 7.1.09)
Ce Cardinal incite à la haine du peuple israélien. En reprenant à son compte 3 des pires accusations formulées par les islamistes et les Occidentaux extrémistes à l’encontre d’Israël, à savoir, de se conduire comme les nazis à l’égard des arabes, de perpétrer un génocide permanent, et d’être comparé aux islamistes. Ce prélat déshonore et discrédite son Eglise et trahit le rôle dont il est investi. En plus l’ensemble de son intervention est d’une médiocrité désolante.
C’est devant le tribunal du Christ - dont il est censé attendre le retour -, qu’il devra rendre compte de cette faute gravissime.
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1. «En Terre Sainte, nous assistons à un génocide permanent»
2. «Regardons ce qui se passe à Gaza: cette ville ressemble de plus en plus à un grand camp de concentration.»
3. «Mais il faut que les deux parties le veuillent, car toutes les deux sont coupables. Les Israéliens et les Palestiniens sont les fils de la même terre et il faut les séparer, comme on le fait pour deux frères»
(Le Cardinal Renato Raffaele Martino, Ilsussidario.net 7.1.09)
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Friday, 9 January 2009
La fin de la democratie aux portes de Paris
Gilles POUX, Maire (PCF) de la Courneuve
Texte publié sur le site www.ville-la-courneuve.fr le 10.01.09:
Halte à l’escalade...
Communiqué de la municipalité
Depuis le 27 décembre au matin, outre l’occupation des territoires palestiniens et le blocus de Gaza, l’armée israélienne s’est lancée dans une attaque meurtrière et disproportionnée suite à des tirs de roquette du Hamas. Elle vise les principales positions gouvernementales, militaires et sécuritaires de la bande de Gaza, et se solde par près de 300 morts et un milliers de blessés en 48 heures. La municipalité exprime sa profonde émotion et sa condamnation de ces actes de guerre et des violations répétées du droit international. Elle renouvelle sa solidarité avec le peuple palestinien et les pacifistes israéliens qui œuvrent pour la paix. Nous demandons qu’immédiatement la communauté internationale condamne fermement l’offensive israélienne et prenne toutes les dispositions pour venir en aide aux populations victimes. La municipalité en appelle à la responsabilité de la France et de l’Union Européenne que préside Nicolas Sarkozy pour que la logique de guerre laisse place à la négociation politique, sur la base des résolutions des Nations Unies, du respect du droit international et de la justice.
Notre pays doit faire entendre clairement les conditions d’une telle issue
&bull l’arrêt du massacre
&bull la levée immédiate et totale du blocus
&bull la suspension de tout accord d’association entre l’UE et Israël
&bull des sanctions immédiates contre Israël
&bull la protection de la population de Gaza et de tout le peuple palestinien.
La municipalité appelle les Courneuviennes et les Courneuviens à se joindre à toute initiative de solidarité avec le peuple palestinien.
Texte publié sur le site www.ville-la-courneuve.fr le 10.01.09:
Halte à l’escalade...
Communiqué de la municipalité
Depuis le 27 décembre au matin, outre l’occupation des territoires palestiniens et le blocus de Gaza, l’armée israélienne s’est lancée dans une attaque meurtrière et disproportionnée suite à des tirs de roquette du Hamas. Elle vise les principales positions gouvernementales, militaires et sécuritaires de la bande de Gaza, et se solde par près de 300 morts et un milliers de blessés en 48 heures. La municipalité exprime sa profonde émotion et sa condamnation de ces actes de guerre et des violations répétées du droit international. Elle renouvelle sa solidarité avec le peuple palestinien et les pacifistes israéliens qui œuvrent pour la paix. Nous demandons qu’immédiatement la communauté internationale condamne fermement l’offensive israélienne et prenne toutes les dispositions pour venir en aide aux populations victimes. La municipalité en appelle à la responsabilité de la France et de l’Union Européenne que préside Nicolas Sarkozy pour que la logique de guerre laisse place à la négociation politique, sur la base des résolutions des Nations Unies, du respect du droit international et de la justice.
Notre pays doit faire entendre clairement les conditions d’une telle issue
&bull l’arrêt du massacre
&bull la levée immédiate et totale du blocus
&bull la suspension de tout accord d’association entre l’UE et Israël
&bull des sanctions immédiates contre Israël
&bull la protection de la population de Gaza et de tout le peuple palestinien.
La municipalité appelle les Courneuviennes et les Courneuviens à se joindre à toute initiative de solidarité avec le peuple palestinien.
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La fin de la democratie et de la liberte aux portes de Paris
Didier Paillard, maire (PCF) de Saint Denis
Ce texte a ete publié sur la page d'accueil de site www.ville-saint-denis.fr le 06/01/2009:
Rassemblement de solidarité avec la population de Gaza et de Rafah Déclaration de la Municipalité de Saint-Denis
Jeudi 8 janvier 2009 – 18 heures – Mairie de Saint-Denis
La Municipalité de Saint-Denis tient à exprimer son indignation la plus totale face à l'offensive militaire meurtrière sur Gaza, poursuivie depuis le 26décembre par le gouvernement de l'Etat d'Israël, et à son refus de répondre à la demande de cessez-le-feu formulée par la communauté internationale.
Déjà plus de 520 morts et des milliers de blessés dans la population palestinienne, dont un très grand nombre de civils: femmes, enfants, personnes âgées, malades. Ce bilan effroyable pourrait dramatiquement s'aggraver avec l'offensive terrestre. Il est urgent de stopper cette sanglante escalade qui éloigne toute perspective de paix dans la région.
La Municipalité de Saint-Denis se joint aux nombreuses voix qui exigent l'arrêt immédiat de l'offensive militaire de l'armée israélienne et de tous les actes de violence contre toutes les populations civiles, la levée du blocus de Gaza qui plonge une population de 1 million et demi de personnes dans une souffrance absolue, et l’acheminement d’une aide humanitaire internationale d'urgence.
La Municipalité de Saint-Denis est prête à s’impliquer fortement dans la solidarité avec le peuple palestinien, à travers un programme d’actions en faveur de la population de Rafah, situé au sud de Gaza, avec laquelle notre ville a signé un accord de coopération en mai 2006.
Il faut sortir au plus tôt de la spirale de la terreur. Une paix juste et durable implique la reconnaissance du droit de chaque peuple - palestinien et israélien - à vivre en sécurité dans son propre Etat.
Des négociations immédiates avec l'Autorité palestinienne doivent permettre la mise en œuvre des résolutions de l'ONU pour la création d'un Etat Palestinien de plein droit et la mise en place des garanties internationales nécessaires.
Toutes les résolutions de l’ONU doivent être appliquées pour parvenir à un règlement politique, car il n’existe pas d’autre solution. Cela implique notamment le retrait des territoires encore occupés par l’armée israélienne, le démantèlement des colonies et du mur, la levée du blocus sur Gaza. L’Union européenne doit agir beaucoup plus fermement dans l’avancée de ce processus, et dans l’immédiat, doit prendre la décision d’annuler l’accord entre l’Europe et Israël tant que les actes de guerre n’auront pas cessé.
La France et l’Union européenne doivent également peser de tout leur poids pour que le Conseil de sécurité de l’ONU décide la création d’une force multinationale de protection du peuple palestinien équivalente à celle des casques bleus. La Municipalité de Saint-Denis tient également à exprimer son soutien à toutes les forces qui, en Palestine comme en Israël, luttent courageusement contre tous les «va-t-en-guerre», et pour faire prévaloir des solutions politiques conformes aux valeurs de paix, de justice, de respect des droits et de la dignité humaine.
La Municipalité appelle la population de Saint-Denis à participer aux actions de solidarité avec le peuple palestinien et à se rassembler jeudi 8 janvier 2009 à 18 heures, devant la Mairie. Une nouvelle manifestation aura lieu samedi 10 janvier à 15heures à Paris
Ce texte a ete publié sur la page d'accueil de site www.ville-saint-denis.fr le 06/01/2009:
Rassemblement de solidarité avec la population de Gaza et de Rafah Déclaration de la Municipalité de Saint-Denis
Jeudi 8 janvier 2009 – 18 heures – Mairie de Saint-Denis
La Municipalité de Saint-Denis tient à exprimer son indignation la plus totale face à l'offensive militaire meurtrière sur Gaza, poursuivie depuis le 26décembre par le gouvernement de l'Etat d'Israël, et à son refus de répondre à la demande de cessez-le-feu formulée par la communauté internationale.
Déjà plus de 520 morts et des milliers de blessés dans la population palestinienne, dont un très grand nombre de civils: femmes, enfants, personnes âgées, malades. Ce bilan effroyable pourrait dramatiquement s'aggraver avec l'offensive terrestre. Il est urgent de stopper cette sanglante escalade qui éloigne toute perspective de paix dans la région.
La Municipalité de Saint-Denis se joint aux nombreuses voix qui exigent l'arrêt immédiat de l'offensive militaire de l'armée israélienne et de tous les actes de violence contre toutes les populations civiles, la levée du blocus de Gaza qui plonge une population de 1 million et demi de personnes dans une souffrance absolue, et l’acheminement d’une aide humanitaire internationale d'urgence.
La Municipalité de Saint-Denis est prête à s’impliquer fortement dans la solidarité avec le peuple palestinien, à travers un programme d’actions en faveur de la population de Rafah, situé au sud de Gaza, avec laquelle notre ville a signé un accord de coopération en mai 2006.
Il faut sortir au plus tôt de la spirale de la terreur. Une paix juste et durable implique la reconnaissance du droit de chaque peuple - palestinien et israélien - à vivre en sécurité dans son propre Etat.
Des négociations immédiates avec l'Autorité palestinienne doivent permettre la mise en œuvre des résolutions de l'ONU pour la création d'un Etat Palestinien de plein droit et la mise en place des garanties internationales nécessaires.
Toutes les résolutions de l’ONU doivent être appliquées pour parvenir à un règlement politique, car il n’existe pas d’autre solution. Cela implique notamment le retrait des territoires encore occupés par l’armée israélienne, le démantèlement des colonies et du mur, la levée du blocus sur Gaza. L’Union européenne doit agir beaucoup plus fermement dans l’avancée de ce processus, et dans l’immédiat, doit prendre la décision d’annuler l’accord entre l’Europe et Israël tant que les actes de guerre n’auront pas cessé.
La France et l’Union européenne doivent également peser de tout leur poids pour que le Conseil de sécurité de l’ONU décide la création d’une force multinationale de protection du peuple palestinien équivalente à celle des casques bleus. La Municipalité de Saint-Denis tient également à exprimer son soutien à toutes les forces qui, en Palestine comme en Israël, luttent courageusement contre tous les «va-t-en-guerre», et pour faire prévaloir des solutions politiques conformes aux valeurs de paix, de justice, de respect des droits et de la dignité humaine.
La Municipalité appelle la population de Saint-Denis à participer aux actions de solidarité avec le peuple palestinien et à se rassembler jeudi 8 janvier 2009 à 18 heures, devant la Mairie. Une nouvelle manifestation aura lieu samedi 10 janvier à 15heures à Paris
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Thursday, 8 January 2009
Quel titre represent le mieux l'information principal de jeudi matin?
Titre de HAARETZ.COM jeudi 08.01.2009,10h43:
At least two Lebanon rockets hit north Israel; IDF responds with shells
(...)This was the first instance of Katyushas being fired from Lebanon onto Israeli territory since the Israel Air Force began its offensive against Palestinian militants in the Gaza Strip on 27 December 2009.(...)At least one of the rockets hit next to an old-age home in Nahariya(...)
_____________________________________
Titre de LEFIGARO.FR jeudi 08.01.09 ,10h30:
Des roquettes tirées du Liban s'abattent sur Israël
6h43 : Des roquettes tirées depuis le Liban.
7h26 : Israël riposte aux tirs de roquettes.
_______________________________________
Titre de LIBERATION.FR jeudi 8.01.09 ,7h49:
Israël réplique à des tirs de roquettes en provenance du Liban.
L'armée israélienne a tiré en direction du Liban après des tirs de roquettes jeudi contre le nord de l'Etat hébreu, a indiqué un porte-parole militaire.
"Nous avons tiré directement à la source des tirs de roquettes en provenance du Liban", a déclaré le porte-parole.
Selon un responsable militaire, Israël a tiré cinq obus en direction du Liban sud.(...)
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Titre de LEMONDE.FR jeudi 08.01.09 , 08h44:
Le Liban touché par la guerre de Gaza.
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At least two Lebanon rockets hit north Israel; IDF responds with shells
(...)This was the first instance of Katyushas being fired from Lebanon onto Israeli territory since the Israel Air Force began its offensive against Palestinian militants in the Gaza Strip on 27 December 2009.(...)At least one of the rockets hit next to an old-age home in Nahariya(...)
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Titre de LEFIGARO.FR jeudi 08.01.09 ,10h30:
Des roquettes tirées du Liban s'abattent sur Israël
6h43 : Des roquettes tirées depuis le Liban.
7h26 : Israël riposte aux tirs de roquettes.
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Titre de LIBERATION.FR jeudi 8.01.09 ,7h49:
Israël réplique à des tirs de roquettes en provenance du Liban.
L'armée israélienne a tiré en direction du Liban après des tirs de roquettes jeudi contre le nord de l'Etat hébreu, a indiqué un porte-parole militaire.
"Nous avons tiré directement à la source des tirs de roquettes en provenance du Liban", a déclaré le porte-parole.
Selon un responsable militaire, Israël a tiré cinq obus en direction du Liban sud.(...)
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Titre de LEMONDE.FR jeudi 08.01.09 , 08h44:
Le Liban touché par la guerre de Gaza.
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Jacques Tarnero sur la societe francais
L’histoire ne bégaye pas elle se répète
L’histoire d’Israël contredit les mots de Marx.
Comment penser ces discours répétitifs, ces comportements monomaniaques de certains journalistes, cette obsessionnalité de ces commentaires haineux à l’égard d’Israël dès qu’Israël fait la guerre ? Comment apprécier ces bavures médiatiques comme celle de France 2 lundi diffusant des images atroces de corps pulvérisés par une supposée bombe israélienne alors que le lendemain au journal de 13 h la présentatrice Elise Lucet présentait, très brièvement, les excuses de France 2 pour avoir diffusé un document datant en fait de 2005, lequel document montrait par ailleurs le résultat de l’explosion, par erreur, d’une voiture piégée du Hamas à Gaza.
Comment accepter sans broncher que ce soit au cours de la super chic émission «ce soir ou jamais» de Frédéric Taddéi,(sur france3) lundi soir dernier que la représentante des indigènes de la République, puisse insulter la République et ses lois, l’Etat d’Israël, le traiter de raciste, faire la promotion de la manifestation pro Hamas de samedi prochain et ne trouve pour lui faire face que le silence compassé d’intellectuels timorés ? Quelle est cette danse de Saint Gui qui agite la gauche dès que c’est Israël qui est en cause et qui croit progressiste d’aller défiler sous les drapeaux du Hamas et du Hezbollah ? Si madame Buffet possède encore quelques neurones ne sait elle pas que les secondes victimes des islamistes iraniens furent les communistes du parti Toudeh, liquidés comme autant de mécréants ?
Il y a autre chose que la critique ou la condamnation d’une politique quand il s’agit d’Israël. Non la fièvre qui s’empare des commentateurs nous dit autre chose, bien plus grave, bien plus profond. Israël dérange. Israël porte un refus de la pensée totalitaire, un refus de la barbarie, un refus de la soumission et c’est cela que les nazis voulaient anéantir et c’est cela que le Hamas veut détruire. Que des européens, des Français, des gens de gauche, des intellectuels, supposés dotés de raison, de capacités critiques, refusent de le voir et de le comprendre est à la fois pathétique, consternant et désespérant.
(Jacques Tarnero 08.01.09)
L’histoire d’Israël contredit les mots de Marx.
Comment penser ces discours répétitifs, ces comportements monomaniaques de certains journalistes, cette obsessionnalité de ces commentaires haineux à l’égard d’Israël dès qu’Israël fait la guerre ? Comment apprécier ces bavures médiatiques comme celle de France 2 lundi diffusant des images atroces de corps pulvérisés par une supposée bombe israélienne alors que le lendemain au journal de 13 h la présentatrice Elise Lucet présentait, très brièvement, les excuses de France 2 pour avoir diffusé un document datant en fait de 2005, lequel document montrait par ailleurs le résultat de l’explosion, par erreur, d’une voiture piégée du Hamas à Gaza.
Comment accepter sans broncher que ce soit au cours de la super chic émission «ce soir ou jamais» de Frédéric Taddéi,(sur france3) lundi soir dernier que la représentante des indigènes de la République, puisse insulter la République et ses lois, l’Etat d’Israël, le traiter de raciste, faire la promotion de la manifestation pro Hamas de samedi prochain et ne trouve pour lui faire face que le silence compassé d’intellectuels timorés ? Quelle est cette danse de Saint Gui qui agite la gauche dès que c’est Israël qui est en cause et qui croit progressiste d’aller défiler sous les drapeaux du Hamas et du Hezbollah ? Si madame Buffet possède encore quelques neurones ne sait elle pas que les secondes victimes des islamistes iraniens furent les communistes du parti Toudeh, liquidés comme autant de mécréants ?
Il y a autre chose que la critique ou la condamnation d’une politique quand il s’agit d’Israël. Non la fièvre qui s’empare des commentateurs nous dit autre chose, bien plus grave, bien plus profond. Israël dérange. Israël porte un refus de la pensée totalitaire, un refus de la barbarie, un refus de la soumission et c’est cela que les nazis voulaient anéantir et c’est cela que le Hamas veut détruire. Que des européens, des Français, des gens de gauche, des intellectuels, supposés dotés de raison, de capacités critiques, refusent de le voir et de le comprendre est à la fois pathétique, consternant et désespérant.
(Jacques Tarnero 08.01.09)
Tuesday, 6 January 2009
FranceTV PROPAGANDA
Gaza: France 2 piégée par la propagande palestinienne
Jérôme Bouin, lefigaro.fr 06/01/2009
La chaîne admet une «erreur» après la diffusion des images d'une explosion accidentelle datant de 2005 pour illustrer les conséquences de l'offensive israélienne dans le territoire palestinien.
France 2 reconnait son erreur. La chaîne de télévision avait diffusé lundi dans son journal de 13 heures une vidéo censée illustrer les ravages causés par l'offensive israélienne en cours à Gaza. Accompagnant les images, ce commentaire en voix off : «Pour montrer la violence des combats, les télévisions arabes et Internet diffusent ces images filmées par un téléphone. Il s'agirait d'une frappe de missiles le 1er janvier. Les militaires portent les brassards du Hamas. Sur le sol, des combattants mais aussi beaucoup de cadavres de civils.»
Or la chaîne de télévision semble avoir fait erreur sur la véritable nature des images qu'elle a diffusées. Celles-ci ne dateraient pas du 1er janvier 2009 mais du 23 septembre 2005, comme l'a signalé au Post, qui a révélé l'information, un des contributeurs du site. Il ne s'agirait pas non plus d'images consécutives à une frappe israélienne sur Gaza mais des conséquences de l'explosion accidentelle d'un camion transportant des roquettes, à Jabaliya, dans un camp de réfugiés palestinien.
La supercherie, émanant vraisemblablement de militants pro-palestiniens, a déjà été détectée par plusieurs blogs et sites Internet. Photos à l'appui, ces derniers ont remarqué l'étrange ressemblance entre la scène de carnage dont témoigne cette vidéo et les photos de l'explosion accidentelle de 2005, telle qu'elle avait été relatée à l'époque dans plusieurs médias. Autre élément troublant, sur le site de partage de vidéos LiveLeak, il est bien précisé que la vidéo a été enregistrée le 23 septembre 2005. Depuis que celle-ci circule de plus belle sur Internet, comme une preuve supposée des ravages de l'offensive de l'État hébreu, le site a publié une note qui précise le contexte du tournage de la vidéo incriminée.
Interrogé par Le Post, Etienne Leenhardt, directeur-adjoint de l'information de France 2, a reconnu «une erreur», due à «un dysfonctionnement interne de vérification de l'info». «C'est une erreur de notre part d'avoir diffusé ces images, qui datent en effet de 2005», reconnait-il. «La séquence que nous avons diffusée était censée illustrer la guerre des images sur Internet. Les personnes qui ont préparé le sujet sont allées trop vite», poursuit Leenhardt pour qui «c'est une bonne piqûre de rappel. Cela nous rappelle que nous devons être très attentifs sur la vérification des sources». Mardi, la présentatrice du journal de 13 heures a présenté les excuses de la rédaction évoquant une «confusion regrettable».
Jérôme Bouin, lefigaro.fr 06/01/2009
La chaîne admet une «erreur» après la diffusion des images d'une explosion accidentelle datant de 2005 pour illustrer les conséquences de l'offensive israélienne dans le territoire palestinien.
France 2 reconnait son erreur. La chaîne de télévision avait diffusé lundi dans son journal de 13 heures une vidéo censée illustrer les ravages causés par l'offensive israélienne en cours à Gaza. Accompagnant les images, ce commentaire en voix off : «Pour montrer la violence des combats, les télévisions arabes et Internet diffusent ces images filmées par un téléphone. Il s'agirait d'une frappe de missiles le 1er janvier. Les militaires portent les brassards du Hamas. Sur le sol, des combattants mais aussi beaucoup de cadavres de civils.»
Or la chaîne de télévision semble avoir fait erreur sur la véritable nature des images qu'elle a diffusées. Celles-ci ne dateraient pas du 1er janvier 2009 mais du 23 septembre 2005, comme l'a signalé au Post, qui a révélé l'information, un des contributeurs du site. Il ne s'agirait pas non plus d'images consécutives à une frappe israélienne sur Gaza mais des conséquences de l'explosion accidentelle d'un camion transportant des roquettes, à Jabaliya, dans un camp de réfugiés palestinien.
La supercherie, émanant vraisemblablement de militants pro-palestiniens, a déjà été détectée par plusieurs blogs et sites Internet. Photos à l'appui, ces derniers ont remarqué l'étrange ressemblance entre la scène de carnage dont témoigne cette vidéo et les photos de l'explosion accidentelle de 2005, telle qu'elle avait été relatée à l'époque dans plusieurs médias. Autre élément troublant, sur le site de partage de vidéos LiveLeak, il est bien précisé que la vidéo a été enregistrée le 23 septembre 2005. Depuis que celle-ci circule de plus belle sur Internet, comme une preuve supposée des ravages de l'offensive de l'État hébreu, le site a publié une note qui précise le contexte du tournage de la vidéo incriminée.
Interrogé par Le Post, Etienne Leenhardt, directeur-adjoint de l'information de France 2, a reconnu «une erreur», due à «un dysfonctionnement interne de vérification de l'info». «C'est une erreur de notre part d'avoir diffusé ces images, qui datent en effet de 2005», reconnait-il. «La séquence que nous avons diffusée était censée illustrer la guerre des images sur Internet. Les personnes qui ont préparé le sujet sont allées trop vite», poursuit Leenhardt pour qui «c'est une bonne piqûre de rappel. Cela nous rappelle que nous devons être très attentifs sur la vérification des sources». Mardi, la présentatrice du journal de 13 heures a présenté les excuses de la rédaction évoquant une «confusion regrettable».
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Friday, 2 January 2009
Analyse de Liberation sur le conflit a Gaza
Cinq questions clés sur un nouvel embrasement
Analyse Retour sur les origines de la crise, et hypothèses sur l’évolution possible du conflit.
(CHRISTOPHE AYAD DELPHINE MATTHIEUSSENT et JEAN-PIERRE PERRIN, Liberation 29.12.08)
En quittant unilatéralement la bande de Gaza et en démantelant les colonies à l’été 2005, Ariel Sharon avait voulu se débarrasser d’un territoire sans intérêt stratégique ni religieux pour Israël, pauvre et exigu, où s’entassent 1,5 million de Palestiniens sur 362 km2 - la plus forte densité au monde - est devenu la place forte du Hamas, radicalement hostile à Israël.
Qui a commencé?
Le Hamas a pris la décision, le 18 décembre, de ne pas renouveler la tahdiyeh (la période de calme) de six mois conclue avec Israël. Cette rupture a rapidement été suivie par le tir de dizaine de roquettes et d’obus de mortiers, provoquant l’attaque israélienne de samedi. En fait, cette trêve, plutôt bien suivie pendant quatre mois et demi, n’était plus vraiment respectée depuis le raid israélien du 4 novembre qui avait tué six membres du Hamas. Cet acte de violence avait entraîné une réaction en chaîne: riposte à coups de roquettes du mouvement islamiste et renforcement du blocus israélien de la bande de Gaza, qui a encore aggravé la situation humanitaire déjà très critique dans l’enclave palestinienne. Selon Khaled Mechaal, le chef du mouvement islamiste en exil, ce sont ces assassinats et ce blocus - qui touche 1,5 million de personnes - qui ont conduit le Hamas à ne pas reconduire la tahdiyeh. Si le Hamas a effectivement engagé les hostilités, l’Etat hébreu porte néanmoins une très large responsabilité dans la rupture de la trêve. Celle-ci lui a d’ailleurs servi à préparer son opération militaire. Selon le quotidien israélien Haaretz, les préparatifs ont même commencé six mois plus tôt, alors que le Hamas et Israël négociaient une trêve avec l’aide de l’Egypte. Ehud Barak avait alors demandé à ses services de renseignements de recenser les sites des forces de sécurité du Hamas et d’autres groupes armés dans la bande de Gaza.
Pourquoi maintenant ?Israël a voulu profiter de la longue transition entre une administration Bush discréditée, et une équipe Obama pas encore en poste et peu désireuse de débuter son mandat par l’épineux dossier israélo-palestinien, pour frapper un grand coup et affaiblir durablement le Hamas, voire établir de nouvelles règles du jeu. Or les Etats-Unis, bien plus qu’une Europe impuissante et alignée sur Washington au Proche-Orient, sont la seule puissance au monde capable, tout à la fois, d’influer sur la politique d’Israël et d’inspirer suffisamment de crainte à ses adversaires. Deuxième facteur décisif, la campagne électorale israélienne en cours. Tzipi Livni, la candidate du parti aujourd’hui au pouvoir, Kadima, était ces dernières semaines à la traîne dans les sondages de Benyamin Nétanyahou, le chef du Likoud, partisan de la manière forte dans la bande de Gaza. Elle a donc poussé le Premier ministre Ehud Olmert et son collègue de la Défense, le travailliste Ehud Barak, a accélérer la mise en œuvre d’une opération prévue de longue date. On ne peut écarter aussi un timing médiatique opportuniste en pleine période des fêtes. Côté palestinien, le Hamas aussi est en campagne électorale depuis que le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a annoncé des élections anticipées pour le début de l’année 2009, afin de trancher par les urnes la lutte de pouvoir qui oppose les deux principales composantes du mouvement national palestinien depuis deux ans.
Quels sont les objectifs d’Israël ?
L’objectif immédiat d’Israël en lançant une offensive militaire dans la bande de Gaza est de faire cesser les tirs de roquettes sur son territoire et, pour cela, de détruire les tunnels permettant l’acheminement des armes et munitions. Ce but, maintes fois mentionné par les responsables israéliens, est devenu d’autant plus pressant que le Hamas et les groupes armés palestiniens semblent avoir la capacité d’étendre la portée et la puissance de frappes de leurs roquettes. Depuis le retrait israélien de la bande de Gaza à l’été 2005, des milliers de roquettes ont été tirées vers Israël, en grande majorité des Qassam, à la portée inférieure à 20 kilomètres, qui ont fait essentiellement des dégâts matériels. Ces derniers mois cependant, des roquettes de type Grad et Katioucha ont touché des villes israéliennes toujours plus distantes de la bande de Gaza, plaçant davantage de civils israéliens sous leur menace. Hier matin, le quotidien israélien Yedioth Aharonot titrait : «Un demi-million d’Israéliens sous le feu».
A moyen et long terme, les responsables israéliens font cependant preuve d’une certaine confusion sur les objectifs d’une opération militaire à Gaza. La tentation de provoquer la chute du Hamas, qui a pris le contrôle du territoire palestinien par la force en juin 2007 est omniprésente. La ministre des Affaires étrangères, Tzipi Livni, et le chef de l’opposition de droite, Benyamin Nétanyahou, tous deux candidats à la succession d’Olmert, y ont encore fait allusion la semaine dernière. Aucun d’entre eux n’a cependant précisé quelle solution politique serait adoptée dans le territoire palestinien après une chute des islamistes, qui refusent de reconnaître formellement Israël. Hier, un des porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères a qualifié d’«idioties» les rumeurs selon lesquelles Israël essayerait d’évincer le Hamas et d’étendre l’autorité du Fatah du président palestinien, Mahmoud Abbas, à la bande de Gaza. Les analystes soulignent qu’en l’absence d’alternative politique mûrement réfléchie la réoccupation du territoire palestinien par l’armée israélienne pourrait se traduire par un dangereux vide, propice à un chaos à l’irakienne.
Elle ne serait pas de tout repos pour les soldats israéliens. Selon une source palestinienne, l’attaque israélienne, en dépit de son intensité et de sa violence, n’avait tué hier soir qu’une cinquantaine de miliciens islamistes.
Que veut le Hamas? (ou est le reponse a cette question? )
La trêve a permis au mouvement islamiste de se renforcer militairement, notamment grâce à la contrebande qui passe par les tunnels entre Gaza et l’Egypte. Et de mieux préparer à la guerre les brigades Qassam, ses milices armées, qui seraient fortes d’environ 25 000 hommes. Mais elle lui a aussi permis de régner en maître sur la bande de Gaza en éliminant quasiment toute opposition. Ce faisant, le Hamas a continué à s’isoler davantage : aujourd’hui, il n’est plus seulement l’ennemi d’Israël mais aussi celui de l’Autorité palestinienne et de l’Egypte. Et, à cause du blocus israélien qui a commencé dès sa victoire aux élections de 2006, il n’a pu empêcher la paupérisation du territoire palestinien de s’aggraver. Et il n’est pas parvenu non plus à ce que l’Egypte ouvre sa frontière. D’où l’impasse dans laquelle il se trouvait à la veille de l’opération israélienne. Avec, de surcroît, l’émergence de groupes jihadistes beaucoup plus radicaux qu’il se doit de prendre en compte. Les tirs de roquettes sur Israël apparaissent dès lors davantage comme une fuite en avant face à un statu quo difficilement tenable.
Que peut-il arriver ?
Le pire scénario pour Israël, ce serait que le Hezbollah, qui disposerait de quelque 40 000 missiles et roquettes, ouvre un second front dans le nord du pays. Et que, parallèlement, l’Intifada reprenne en Cisjordanie où la situation des Palestiniens, là encore, ne cesse de se dégrader et où le président, Mahmoud Abbas, apparaît plus faible que jamais. Les observateurs occidentaux estiment que, depuis le sommet d’Annapolis, en novembre 2007, le nombre de colonies et de postes de contrôle israéliens a encore augmenté. C’est ce qu’indique également un récent rapport des Nations unies. Les incursions militaires israéliennes n’ont pas non plus diminué.
Pour le moment, rien ne perce sur les intentions du Hezbollah. En revanche, le secrétaire général du parti chiite libanais, Sayyed Hassan Nasrallah, semble avoir bien compris que le maillon faible dans le conflit actuel est la frontière entre la bande de Gaza et l’Egypte. Aussi, a-t-il appelé hier le peuple égyptien à descendre «par millions» dans la rue pour forcer l’ouverture du terminal de Rafah, frontalier de la bande de Gaza. «La police égyptienne peut-elle tuer des millions d’Egyptiens ? Peuple d’Egypte, vous devez ouvrir le terminal de Rafah avec la force de vos corps», a-t-il poursuivi. Il n’est pas sûr, cependant, qu’il soit entendu.
Un scénario moins dramatique serait la négociation d’un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, qui pourrait être suivi d’une nouvelle trêve. C’est ce à quoi s’emploie actuellement l’Egypte.
Analyse Retour sur les origines de la crise, et hypothèses sur l’évolution possible du conflit.
(CHRISTOPHE AYAD DELPHINE MATTHIEUSSENT et JEAN-PIERRE PERRIN, Liberation 29.12.08)
En quittant unilatéralement la bande de Gaza et en démantelant les colonies à l’été 2005, Ariel Sharon avait voulu se débarrasser d’un territoire sans intérêt stratégique ni religieux pour Israël, pauvre et exigu, où s’entassent 1,5 million de Palestiniens sur 362 km2 - la plus forte densité au monde - est devenu la place forte du Hamas, radicalement hostile à Israël.
Qui a commencé?
Le Hamas a pris la décision, le 18 décembre, de ne pas renouveler la tahdiyeh (la période de calme) de six mois conclue avec Israël. Cette rupture a rapidement été suivie par le tir de dizaine de roquettes et d’obus de mortiers, provoquant l’attaque israélienne de samedi. En fait, cette trêve, plutôt bien suivie pendant quatre mois et demi, n’était plus vraiment respectée depuis le raid israélien du 4 novembre qui avait tué six membres du Hamas. Cet acte de violence avait entraîné une réaction en chaîne: riposte à coups de roquettes du mouvement islamiste et renforcement du blocus israélien de la bande de Gaza, qui a encore aggravé la situation humanitaire déjà très critique dans l’enclave palestinienne. Selon Khaled Mechaal, le chef du mouvement islamiste en exil, ce sont ces assassinats et ce blocus - qui touche 1,5 million de personnes - qui ont conduit le Hamas à ne pas reconduire la tahdiyeh. Si le Hamas a effectivement engagé les hostilités, l’Etat hébreu porte néanmoins une très large responsabilité dans la rupture de la trêve. Celle-ci lui a d’ailleurs servi à préparer son opération militaire. Selon le quotidien israélien Haaretz, les préparatifs ont même commencé six mois plus tôt, alors que le Hamas et Israël négociaient une trêve avec l’aide de l’Egypte. Ehud Barak avait alors demandé à ses services de renseignements de recenser les sites des forces de sécurité du Hamas et d’autres groupes armés dans la bande de Gaza.
Pourquoi maintenant ?Israël a voulu profiter de la longue transition entre une administration Bush discréditée, et une équipe Obama pas encore en poste et peu désireuse de débuter son mandat par l’épineux dossier israélo-palestinien, pour frapper un grand coup et affaiblir durablement le Hamas, voire établir de nouvelles règles du jeu. Or les Etats-Unis, bien plus qu’une Europe impuissante et alignée sur Washington au Proche-Orient, sont la seule puissance au monde capable, tout à la fois, d’influer sur la politique d’Israël et d’inspirer suffisamment de crainte à ses adversaires. Deuxième facteur décisif, la campagne électorale israélienne en cours. Tzipi Livni, la candidate du parti aujourd’hui au pouvoir, Kadima, était ces dernières semaines à la traîne dans les sondages de Benyamin Nétanyahou, le chef du Likoud, partisan de la manière forte dans la bande de Gaza. Elle a donc poussé le Premier ministre Ehud Olmert et son collègue de la Défense, le travailliste Ehud Barak, a accélérer la mise en œuvre d’une opération prévue de longue date. On ne peut écarter aussi un timing médiatique opportuniste en pleine période des fêtes. Côté palestinien, le Hamas aussi est en campagne électorale depuis que le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a annoncé des élections anticipées pour le début de l’année 2009, afin de trancher par les urnes la lutte de pouvoir qui oppose les deux principales composantes du mouvement national palestinien depuis deux ans.
Quels sont les objectifs d’Israël ?
L’objectif immédiat d’Israël en lançant une offensive militaire dans la bande de Gaza est de faire cesser les tirs de roquettes sur son territoire et, pour cela, de détruire les tunnels permettant l’acheminement des armes et munitions. Ce but, maintes fois mentionné par les responsables israéliens, est devenu d’autant plus pressant que le Hamas et les groupes armés palestiniens semblent avoir la capacité d’étendre la portée et la puissance de frappes de leurs roquettes. Depuis le retrait israélien de la bande de Gaza à l’été 2005, des milliers de roquettes ont été tirées vers Israël, en grande majorité des Qassam, à la portée inférieure à 20 kilomètres, qui ont fait essentiellement des dégâts matériels. Ces derniers mois cependant, des roquettes de type Grad et Katioucha ont touché des villes israéliennes toujours plus distantes de la bande de Gaza, plaçant davantage de civils israéliens sous leur menace. Hier matin, le quotidien israélien Yedioth Aharonot titrait : «Un demi-million d’Israéliens sous le feu».
A moyen et long terme, les responsables israéliens font cependant preuve d’une certaine confusion sur les objectifs d’une opération militaire à Gaza. La tentation de provoquer la chute du Hamas, qui a pris le contrôle du territoire palestinien par la force en juin 2007 est omniprésente. La ministre des Affaires étrangères, Tzipi Livni, et le chef de l’opposition de droite, Benyamin Nétanyahou, tous deux candidats à la succession d’Olmert, y ont encore fait allusion la semaine dernière. Aucun d’entre eux n’a cependant précisé quelle solution politique serait adoptée dans le territoire palestinien après une chute des islamistes, qui refusent de reconnaître formellement Israël. Hier, un des porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères a qualifié d’«idioties» les rumeurs selon lesquelles Israël essayerait d’évincer le Hamas et d’étendre l’autorité du Fatah du président palestinien, Mahmoud Abbas, à la bande de Gaza. Les analystes soulignent qu’en l’absence d’alternative politique mûrement réfléchie la réoccupation du territoire palestinien par l’armée israélienne pourrait se traduire par un dangereux vide, propice à un chaos à l’irakienne.
Elle ne serait pas de tout repos pour les soldats israéliens. Selon une source palestinienne, l’attaque israélienne, en dépit de son intensité et de sa violence, n’avait tué hier soir qu’une cinquantaine de miliciens islamistes.
Que veut le Hamas? (ou est le reponse a cette question? )
La trêve a permis au mouvement islamiste de se renforcer militairement, notamment grâce à la contrebande qui passe par les tunnels entre Gaza et l’Egypte. Et de mieux préparer à la guerre les brigades Qassam, ses milices armées, qui seraient fortes d’environ 25 000 hommes. Mais elle lui a aussi permis de régner en maître sur la bande de Gaza en éliminant quasiment toute opposition. Ce faisant, le Hamas a continué à s’isoler davantage : aujourd’hui, il n’est plus seulement l’ennemi d’Israël mais aussi celui de l’Autorité palestinienne et de l’Egypte. Et, à cause du blocus israélien qui a commencé dès sa victoire aux élections de 2006, il n’a pu empêcher la paupérisation du territoire palestinien de s’aggraver. Et il n’est pas parvenu non plus à ce que l’Egypte ouvre sa frontière. D’où l’impasse dans laquelle il se trouvait à la veille de l’opération israélienne. Avec, de surcroît, l’émergence de groupes jihadistes beaucoup plus radicaux qu’il se doit de prendre en compte. Les tirs de roquettes sur Israël apparaissent dès lors davantage comme une fuite en avant face à un statu quo difficilement tenable.
Que peut-il arriver ?
Le pire scénario pour Israël, ce serait que le Hezbollah, qui disposerait de quelque 40 000 missiles et roquettes, ouvre un second front dans le nord du pays. Et que, parallèlement, l’Intifada reprenne en Cisjordanie où la situation des Palestiniens, là encore, ne cesse de se dégrader et où le président, Mahmoud Abbas, apparaît plus faible que jamais. Les observateurs occidentaux estiment que, depuis le sommet d’Annapolis, en novembre 2007, le nombre de colonies et de postes de contrôle israéliens a encore augmenté. C’est ce qu’indique également un récent rapport des Nations unies. Les incursions militaires israéliennes n’ont pas non plus diminué.
Pour le moment, rien ne perce sur les intentions du Hezbollah. En revanche, le secrétaire général du parti chiite libanais, Sayyed Hassan Nasrallah, semble avoir bien compris que le maillon faible dans le conflit actuel est la frontière entre la bande de Gaza et l’Egypte. Aussi, a-t-il appelé hier le peuple égyptien à descendre «par millions» dans la rue pour forcer l’ouverture du terminal de Rafah, frontalier de la bande de Gaza. «La police égyptienne peut-elle tuer des millions d’Egyptiens ? Peuple d’Egypte, vous devez ouvrir le terminal de Rafah avec la force de vos corps», a-t-il poursuivi. Il n’est pas sûr, cependant, qu’il soit entendu.
Un scénario moins dramatique serait la négociation d’un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, qui pourrait être suivi d’une nouvelle trêve. C’est ce à quoi s’emploie actuellement l’Egypte.
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Un chef-d'œuvre d'une confusion morale
Victimes
(Laurent Joffrin, Liberation 29.12.08)
Cruel et disproportionné. Comment qualifier autrement le raid massif de l’aviation israélienne à Gaza, d’autant qu’il sera probablement suivi d’opérations terrestres également brutales ? Certes, aucun gouvernement ne peut laisser sa population sous le feu des roquettes ennemies sans répliquer. Certes, comme l’a déclaré le président palestinien Abbas, les dirigeants du Hamas ont organisé en connaissance de cause les attaques de roquettes Qassam sur les civils israéliens du sud du pays, sachant bien qu’ils s’attireraient une riposte militaire. Mais les bombardements entamés samedi par Israël, les plus sanglants depuis des décennies, ont causé des pertes humaines plus de cent fois supérieures à celles subies depuis la fin de la trêve. Même si la majorité des victimes appartiennent aux forces de sécurité du Hamas, ces frappes destructrices tuent et blessent de nombreux civils, dont un nombre encore indéterminé d’enfants. On a raison de dénoncer les attaques contre les populations; mais on court le risque de perdre sa supériorité morale quand on recourt aux mêmes méthodes meurtrières. D’autant que le résultat de ces actions - l’expérience de la guerre précédente au Liban le montre - est rarement à la hauteur des espérances israéliennes. Une fois le sang versé, il faudra reprendre les discussions où elles en sont aujourd’hui : négocier une nouvelle trêve avec le Hamas, qui exerce un pouvoir de fer à Gaza, mais qui a aussi gagné les élections palestiniennes. Plusieurs médiateurs se sont proposés. Hors de cette discussion, il n’y a qu’une seule perspective : la mort, la mort toujours recommencée.
(Laurent Joffrin, Liberation 29.12.08)
Cruel et disproportionné. Comment qualifier autrement le raid massif de l’aviation israélienne à Gaza, d’autant qu’il sera probablement suivi d’opérations terrestres également brutales ? Certes, aucun gouvernement ne peut laisser sa population sous le feu des roquettes ennemies sans répliquer. Certes, comme l’a déclaré le président palestinien Abbas, les dirigeants du Hamas ont organisé en connaissance de cause les attaques de roquettes Qassam sur les civils israéliens du sud du pays, sachant bien qu’ils s’attireraient une riposte militaire. Mais les bombardements entamés samedi par Israël, les plus sanglants depuis des décennies, ont causé des pertes humaines plus de cent fois supérieures à celles subies depuis la fin de la trêve. Même si la majorité des victimes appartiennent aux forces de sécurité du Hamas, ces frappes destructrices tuent et blessent de nombreux civils, dont un nombre encore indéterminé d’enfants. On a raison de dénoncer les attaques contre les populations; mais on court le risque de perdre sa supériorité morale quand on recourt aux mêmes méthodes meurtrières. D’autant que le résultat de ces actions - l’expérience de la guerre précédente au Liban le montre - est rarement à la hauteur des espérances israéliennes. Une fois le sang versé, il faudra reprendre les discussions où elles en sont aujourd’hui : négocier une nouvelle trêve avec le Hamas, qui exerce un pouvoir de fer à Gaza, mais qui a aussi gagné les élections palestiniennes. Plusieurs médiateurs se sont proposés. Hors de cette discussion, il n’y a qu’une seule perspective : la mort, la mort toujours recommencée.
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Thursday, 1 January 2009
Paris n'est pas MOROSE en cause de la CRISE ni en cause des USA !
Nouvel an: moins de monde sur les Champs Elysées, 1147 véhicules incendiés
(Liberation, AFP 1.1.09)
(...)550.000 personnes, selon la police, se sont rassemblées peu après minuit jeudi sur la célèbre avenue de Paris aux douze coups de minuit alors qu’elles étaient quelque 700.000 en 2007 à fêter dans la joie la nouvelle année.
Selon un journaliste de l’AFP, les personnes n’étaient pas particulièrement gaies et le rassemblement s’est déroulé dans une ambiance mitigée, voire morose.
Quelques bouteilles de champagne à la main, tradition oblige, ils sont venus se souhaiter la bonne année. Hormis des cris de joie éparses, ils semblaient, pour ceux rencontrés et interrogés par l’AFP, un peu «moroses».
Aucun feu d’artifice, aucun décompte n’ont scandé le moment précédent le moment fatidique du passage à 2009 et les embrassades étaient fortement encadrées par les forces de l’ordre (7.000 policiers, gendarmes, militaires et pompiers uniquement à Paris). Les échanges de voeux se déroulaient dans le calme.
«On est très déçu. On s’attendait à quelque chose mais il ne se passe rien. Il y a beaucoup de gens mais rien d’exceptionnel», commentait Damien, 24 ans, fonctionnaire, une bouteille de champagne à la main.
«On n’a pas l’impression d’être sur la plus belle avenue du monde. On aurait dû donner une plus belle image de Paris, on sent que la crise touche tout le monde. J’espère qu’en 2009 les gens vont retrouver des emplois mais tout dépend de l’Amérique», a dit Vivien, 19 ans, venu pour la première fois de Seine-Saint-Denis fêter l’événement dans la capitale.
«C’est un peu comme une fête sans musique», commentait un autre passant venu célébrer la Saint-Sylvestre sur la célèbre avenue.
1147 véhicules ont été incendiés au cours de la nuit de la Saint-Sylvestre 2008-2009.
288 personnes ont été interpellées durant la nuit de la Saint-Sylvestre contre 259 l'année précédente (+11,20%), dont 219 placées en garde à vue contre 166 (+31,93%).
"comme l'an dernier, au cours de cette nuit, quatre fonctionnaires de police ont été légèrement blessés", alors que "les très rares affrontements" entre jeunes et forces de sécurité "ont été brefs et sporadiques".
___________________________________________
Vilnus 010109
Tokyo 010109
Taipei 010109
Sydney 010109
New York 010109
Moscow 010109
London 010109
Edinburgh 010109
Berlin 010109
Athens 010109
London 010109
(Liberation, AFP 1.1.09)
(...)550.000 personnes, selon la police, se sont rassemblées peu après minuit jeudi sur la célèbre avenue de Paris aux douze coups de minuit alors qu’elles étaient quelque 700.000 en 2007 à fêter dans la joie la nouvelle année.
Selon un journaliste de l’AFP, les personnes n’étaient pas particulièrement gaies et le rassemblement s’est déroulé dans une ambiance mitigée, voire morose.
Quelques bouteilles de champagne à la main, tradition oblige, ils sont venus se souhaiter la bonne année. Hormis des cris de joie éparses, ils semblaient, pour ceux rencontrés et interrogés par l’AFP, un peu «moroses».
Aucun feu d’artifice, aucun décompte n’ont scandé le moment précédent le moment fatidique du passage à 2009 et les embrassades étaient fortement encadrées par les forces de l’ordre (7.000 policiers, gendarmes, militaires et pompiers uniquement à Paris). Les échanges de voeux se déroulaient dans le calme.
«On est très déçu. On s’attendait à quelque chose mais il ne se passe rien. Il y a beaucoup de gens mais rien d’exceptionnel», commentait Damien, 24 ans, fonctionnaire, une bouteille de champagne à la main.
«On n’a pas l’impression d’être sur la plus belle avenue du monde. On aurait dû donner une plus belle image de Paris, on sent que la crise touche tout le monde. J’espère qu’en 2009 les gens vont retrouver des emplois mais tout dépend de l’Amérique», a dit Vivien, 19 ans, venu pour la première fois de Seine-Saint-Denis fêter l’événement dans la capitale.
«C’est un peu comme une fête sans musique», commentait un autre passant venu célébrer la Saint-Sylvestre sur la célèbre avenue.
1147 véhicules ont été incendiés au cours de la nuit de la Saint-Sylvestre 2008-2009.
288 personnes ont été interpellées durant la nuit de la Saint-Sylvestre contre 259 l'année précédente (+11,20%), dont 219 placées en garde à vue contre 166 (+31,93%).
"comme l'an dernier, au cours de cette nuit, quatre fonctionnaires de police ont été légèrement blessés", alors que "les très rares affrontements" entre jeunes et forces de sécurité "ont été brefs et sporadiques".
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Wednesday, 31 December 2008
Israel gache la fete
35 000 gendarmes et policiers pour préserver "l'esprit festif" du réveillon
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 31.12.08
(...)
Pour Michèle Alliot-Marie, le gouvernement prend en compte le "contexte international", une allusion au conflit dans la bande de Gaza, propice, selon certains spécialistes, à des attaques terroristes. (...)
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 31.12.08
(...)
Pour Michèle Alliot-Marie, le gouvernement prend en compte le "contexte international", une allusion au conflit dans la bande de Gaza, propice, selon certains spécialistes, à des attaques terroristes. (...)
Le Monde et Sylvain Cypel, une meme obsession - les juifs
ÉTATS-UNIS LA FRAUDE FINANCIÈRE DU FONDS BMIS
Scandale Madoff : des associations juives craignent une "vague antisémite" dans l'opinion américaine
LE MONDE | 27.12.08
NEW YORK CORRESPONDANT
Jeudi 25 décembre, la Fondation Elie Wiesel pour l'humanité a mis en ligne ce communiqué : "Avec une tristesse et une détresse profondes, nous informons avoir été, parmi bien d'autres, victimes de l'une des plus grandes fraudes financières de l'Histoire. (La Fondation) détenait 15,2 millions de dollars gérés par le Fonds d'investissement de Bernard Madoff, soit presque la totalité de ses avoirs"...
Comme celle de M. Wiesel, plusieurs dizaines d'associations humanitaires et caritatives juives américaines - actives dans les secteurs scolaire et universitaire, culturel ou sanitaire, le soutien aux handicapés et aux nécessiteux, etc. - ont perdu tout ou partie de leurs ressources dans le fonds BMIS de M. Madoff, aujourd'hui en faillite.
Le volume annuel des dons versés à ces associations est estimé par Gary Tobin, président de l'Institut de recherche communautaire juive de San Francisco, à 5 milliards de dollars annuels (dont 20 % seraient reversés à des organismes israéliens). La part gérée par le fonds Madoff est inconnue, mais elle était importante.
Cela n'a pas empêché un dénommé Frank Veltner d'envoyer la lettre suivante au Palm Beach Post, quotidien d'une ville de Floride où résident de nombreux retraités juifs : "Cette affaire ressemble à l'histoire de l'Holocauste où de pauvres juifs veulent se faire passer pour des victimes, alors que grâce à cette fraude, depuis plus de trente ans, ils se payaient du bon temps."
Envoyées aux journaux ou mises en ligne sur Internet, le nombre des missives négationnistes ou d'un antisémitisme insidieux est en augmentation, selon la Ligue de défense juive (JDL), qui procède à leur recensement. Son président, Abraham Foxman, estime qu'une "vague de commentaires antisémites" se répand aux Etats-Unis depuis que le scandale Madoff a éclaté. Elle se manifeste tant sur des sites nazis ou "suprématistes blancs" que sur ceux de Yahoo! ou de médias comme Forbes, Huffington Post ou encore Dealbreaker, un site spécialisé sur les activités de Wall Street. Ces "épanchements, poursuit M. Foxman, vont des déclarations stéréotypées hargneuses concernant les juifs et l'argent (...) aux théories du complot sur l'argent volé par les juifs au profit d'Israël".
"BOUCS ÉMISSAIRES COMMODES"
Un lecteur écrit ainsi au New York Post : "Les juifs dirigent le monde financièrement. (...) Ils veulent la mort de notre peuple." M. Foxman souligne qu'"en temps de crise, les juifs sont toujours des boucs émissaires commodes". De son côté, Morton Klein, président de la Fédération sioniste d'Amérique (ZOA, une formation très minoritaire dans la communauté), a publié le 23 décembre un communiqué dénonçant comme "absurde" tout lien entre la fraude Madoff et Israël, autre sujet parfois évoqué dans les commentaires.
Les craintes d'une résurgence antisémite aux Etats-Unis sont-elles fondées ? Ce pays a historiquement connu des propensions puissantes en ce sens, tant populaires que dans les cercles aristocratiques, mais rarement violentes. Les études montrent que, jusqu'aux années 1940, un quart des Américains considéraient les juifs comme une "menace". Depuis, le chiffre est tombé à 2 %, "et il reste stable", note J. J. Goldberg, directeur du journal juif new-yorkais The Forward. De 70 %, le nombre des Américains estimant que "les juifs ont trop de pouvoir" est passé à 20 %.
"Il est prématuré de juger si l'éruption actuelle indique un changement", poursuit M. Goldberg. Mais il constate que des scandales précédents, telles les affaires Ivan Boesky et Michael Milken (des financiers juifs condamnés pour activités frauduleuses en 1987 et 1989), ou l'emprisonnement à vie de Jonathan Pollard pour espionnage en faveur d'Israël, en 1987, n'avaient pas généré autant de commentaires antisémites.
Depuis un demi-siècle, ajoute-t-il, l'antisémitisme a quasiment disparu de la sphère publique dans son pays. Prudent, il estime que l'on assiste à une vague restreinte et circonscrite. Mais il note une propension croissante à "relégitimer les propos hostiles aux juifs". Par exemple, "l'idée d'une influence néfaste du lobby juif sur la politique étrangère américaine progresse. Certains tabous tombent", estime-t-il, mais parler de "vague" antisémite lui semble outrancier.
"Le jour où l'opinion se demandera comment il se trouve qu'il y a 14 ou 15 sénateurs juifs (sur 100), là, il faudra s'inquiéter", conclut-il.
Sylvain Cypel
Scandale Madoff : des associations juives craignent une "vague antisémite" dans l'opinion américaine
LE MONDE | 27.12.08
NEW YORK CORRESPONDANT
Jeudi 25 décembre, la Fondation Elie Wiesel pour l'humanité a mis en ligne ce communiqué : "Avec une tristesse et une détresse profondes, nous informons avoir été, parmi bien d'autres, victimes de l'une des plus grandes fraudes financières de l'Histoire. (La Fondation) détenait 15,2 millions de dollars gérés par le Fonds d'investissement de Bernard Madoff, soit presque la totalité de ses avoirs"...
Comme celle de M. Wiesel, plusieurs dizaines d'associations humanitaires et caritatives juives américaines - actives dans les secteurs scolaire et universitaire, culturel ou sanitaire, le soutien aux handicapés et aux nécessiteux, etc. - ont perdu tout ou partie de leurs ressources dans le fonds BMIS de M. Madoff, aujourd'hui en faillite.
Le volume annuel des dons versés à ces associations est estimé par Gary Tobin, président de l'Institut de recherche communautaire juive de San Francisco, à 5 milliards de dollars annuels (dont 20 % seraient reversés à des organismes israéliens). La part gérée par le fonds Madoff est inconnue, mais elle était importante.
Cela n'a pas empêché un dénommé Frank Veltner d'envoyer la lettre suivante au Palm Beach Post, quotidien d'une ville de Floride où résident de nombreux retraités juifs : "Cette affaire ressemble à l'histoire de l'Holocauste où de pauvres juifs veulent se faire passer pour des victimes, alors que grâce à cette fraude, depuis plus de trente ans, ils se payaient du bon temps."
Envoyées aux journaux ou mises en ligne sur Internet, le nombre des missives négationnistes ou d'un antisémitisme insidieux est en augmentation, selon la Ligue de défense juive (JDL), qui procède à leur recensement. Son président, Abraham Foxman, estime qu'une "vague de commentaires antisémites" se répand aux Etats-Unis depuis que le scandale Madoff a éclaté. Elle se manifeste tant sur des sites nazis ou "suprématistes blancs" que sur ceux de Yahoo! ou de médias comme Forbes, Huffington Post ou encore Dealbreaker, un site spécialisé sur les activités de Wall Street. Ces "épanchements, poursuit M. Foxman, vont des déclarations stéréotypées hargneuses concernant les juifs et l'argent (...) aux théories du complot sur l'argent volé par les juifs au profit d'Israël".
"BOUCS ÉMISSAIRES COMMODES"
Un lecteur écrit ainsi au New York Post : "Les juifs dirigent le monde financièrement. (...) Ils veulent la mort de notre peuple." M. Foxman souligne qu'"en temps de crise, les juifs sont toujours des boucs émissaires commodes". De son côté, Morton Klein, président de la Fédération sioniste d'Amérique (ZOA, une formation très minoritaire dans la communauté), a publié le 23 décembre un communiqué dénonçant comme "absurde" tout lien entre la fraude Madoff et Israël, autre sujet parfois évoqué dans les commentaires.
Les craintes d'une résurgence antisémite aux Etats-Unis sont-elles fondées ? Ce pays a historiquement connu des propensions puissantes en ce sens, tant populaires que dans les cercles aristocratiques, mais rarement violentes. Les études montrent que, jusqu'aux années 1940, un quart des Américains considéraient les juifs comme une "menace". Depuis, le chiffre est tombé à 2 %, "et il reste stable", note J. J. Goldberg, directeur du journal juif new-yorkais The Forward. De 70 %, le nombre des Américains estimant que "les juifs ont trop de pouvoir" est passé à 20 %.
"Il est prématuré de juger si l'éruption actuelle indique un changement", poursuit M. Goldberg. Mais il constate que des scandales précédents, telles les affaires Ivan Boesky et Michael Milken (des financiers juifs condamnés pour activités frauduleuses en 1987 et 1989), ou l'emprisonnement à vie de Jonathan Pollard pour espionnage en faveur d'Israël, en 1987, n'avaient pas généré autant de commentaires antisémites.
Depuis un demi-siècle, ajoute-t-il, l'antisémitisme a quasiment disparu de la sphère publique dans son pays. Prudent, il estime que l'on assiste à une vague restreinte et circonscrite. Mais il note une propension croissante à "relégitimer les propos hostiles aux juifs". Par exemple, "l'idée d'une influence néfaste du lobby juif sur la politique étrangère américaine progresse. Certains tabous tombent", estime-t-il, mais parler de "vague" antisémite lui semble outrancier.
"Le jour où l'opinion se demandera comment il se trouve qu'il y a 14 ou 15 sénateurs juifs (sur 100), là, il faudra s'inquiéter", conclut-il.
Sylvain Cypel
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Tuesday, 30 December 2008
islamistes-communistes-Verts, tous ensemble contre Israel
(LibeLyon 29/12/2008)
Des centaines de manifestants à Lyon dénoncent les frappes israéliennes
Pour le deuxième soir de suite, une manifestation a réuni quelques centaines de personnes à Lyon, pour protester contre les frappes israéliennes dans la bande de Gaza. Massée entre l'Hôtel de ville et l'opéra de Lyon, une foule aux âges mêlés. Parmi elle, beaucoup de jeunes. Beaucoup plus que dans les traditionnels cortèges pro-palestiniens. Des appels à la manifestation ont été lancés dans plusieurs mosquées dont la Grande mosquée de Lyon où le recteur, Kamel Kabtane, a signé un appel avec d'autres responsables, notamment Azzedine Gaci, président du conseil régional du culte musulman (CRCM) en Rhône-Alpes...
Brandissant des pancartes et des drapeaux palestiniens, les manifestants crient. "Israël assassin", et surtout "Israël terroriste". Sur les panneaux : "Le Hamas comme alibi pour détruire le peuple palestinien" ou encore "Arrêt immédiat du massacre de Gaza". De nombreux élus communistes, quelques Verts, et des militants du Nouveau parti anticapitaliste (NPA). Autour d'eux, de nombreux keffiehs palestiniens, des jeunes filles avec des drapeaux palestiniens peints sur les joues. Mais aussi des gamines d'une dizaine d'années, toutes voilées et portant des pancartes.
Une mère de famille lance le cri, repris, d'Allah Akbar (Dieu est grand). La foule entonne, puis un communiste interrompt avec un mégaphone : "Il y a ici des croyants chrétiens, musulmans, juifs, des non croyants aussi. Nous sommes tous ici pour dénoncer ensemble les crimes commis par Israël". Comme son intervention dure, des cris finissent par couvrir sa voix : "Israël assassin, Israël assassin". Un peu plus tard, le même communiste est repris lorsqu'il entonne : "Sanctions ! Sanctions ! Contre Israël".
Au bout d'un moment, un slogan en arabe est repris par une partie de la foule : "Avec notre sang, avec notre âme, on te soutient". Un militant de longue date s'agace : "Ils ont ramené des slogans du bled". Des manifestations pro-palestiniennes, il en a connu beaucoup. Il constate que cette fois, l'audience est plus large. Il y a de nombreux visages qu'il ne connait pas. "Ils sont dans l'émotion, dit-il. Ils braillent, ils braillent, mais après ils seront aux abonnés absent pour entrer dans le champ politique. Quand il s'agit d'écrire aux députés européens pour réduire la coopération entre l'Union européenne et Israël".
Ol.B.
Des centaines de manifestants à Lyon dénoncent les frappes israéliennes
Pour le deuxième soir de suite, une manifestation a réuni quelques centaines de personnes à Lyon, pour protester contre les frappes israéliennes dans la bande de Gaza. Massée entre l'Hôtel de ville et l'opéra de Lyon, une foule aux âges mêlés. Parmi elle, beaucoup de jeunes. Beaucoup plus que dans les traditionnels cortèges pro-palestiniens. Des appels à la manifestation ont été lancés dans plusieurs mosquées dont la Grande mosquée de Lyon où le recteur, Kamel Kabtane, a signé un appel avec d'autres responsables, notamment Azzedine Gaci, président du conseil régional du culte musulman (CRCM) en Rhône-Alpes...
Brandissant des pancartes et des drapeaux palestiniens, les manifestants crient. "Israël assassin", et surtout "Israël terroriste". Sur les panneaux : "Le Hamas comme alibi pour détruire le peuple palestinien" ou encore "Arrêt immédiat du massacre de Gaza". De nombreux élus communistes, quelques Verts, et des militants du Nouveau parti anticapitaliste (NPA). Autour d'eux, de nombreux keffiehs palestiniens, des jeunes filles avec des drapeaux palestiniens peints sur les joues. Mais aussi des gamines d'une dizaine d'années, toutes voilées et portant des pancartes.
Une mère de famille lance le cri, repris, d'Allah Akbar (Dieu est grand). La foule entonne, puis un communiste interrompt avec un mégaphone : "Il y a ici des croyants chrétiens, musulmans, juifs, des non croyants aussi. Nous sommes tous ici pour dénoncer ensemble les crimes commis par Israël". Comme son intervention dure, des cris finissent par couvrir sa voix : "Israël assassin, Israël assassin". Un peu plus tard, le même communiste est repris lorsqu'il entonne : "Sanctions ! Sanctions ! Contre Israël".
Au bout d'un moment, un slogan en arabe est repris par une partie de la foule : "Avec notre sang, avec notre âme, on te soutient". Un militant de longue date s'agace : "Ils ont ramené des slogans du bled". Des manifestations pro-palestiniennes, il en a connu beaucoup. Il constate que cette fois, l'audience est plus large. Il y a de nombreux visages qu'il ne connait pas. "Ils sont dans l'émotion, dit-il. Ils braillent, ils braillent, mais après ils seront aux abonnés absent pour entrer dans le champ politique. Quand il s'agit d'écrire aux députés européens pour réduire la coopération entre l'Union européenne et Israël".
Ol.B.
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Monday, 29 December 2008
Un continent à la dérive de sénilité, de déclin et de renoncement à être
Comme on pouvait s’y attendre, l’action défensive menée par Israël contre le Hamas dans la bande de Gaza a fait pousser des cris d’orfraie à l’ensemble du monde musulman. Agresser Israël, c’est normal, n’est-ce pas ? Qu’Israël réagisse, c’est scandaleux. Et que la réaction soit précise, intelligente et efficace est plus scandaleux encore.
Le jour où, dans le monde musulman, on raisonnera de façon logique, en discernant qu’agresser quelqu’un peut conduire ce quelqu’un à répondre à l’agression, ce sera une avancée vers davantage de salubrité mentale.
Le jour où, dans ce même monde musulman, on comprendra que précision, intelligence et efficacité sont l’apanage des sociétés ouvertes et créatrices, l’avancée vers la salubrité mentale sera plus nette encore.
Et le jour où l’on parviendra à y parler de liberté, de démocratie, d’économie d’entreprise, de tolérance, on pourra espérer que cette vaste zone de la planète, aujourd’hui inquiétante et sinistrée, pourra sortir de l’ornière.
Ce qui était attendu aussi, c’étaient les réactions des hommes politiques et des médias européens et, sans qu’on trouve dans ces réactions les excès délirants des cris d’orfraie du monde arabe, on ne peut que noter avec préoccupation des proximités et des similitudes.
On oublie, en Europe, les milliers de missiles et de roquettes tirées depuis Gaza contre Israël et les dégâts matériels et humains ainsi causés, mais on parle de « violence » israélienne : ce serait risible si ce n’était tragique.
On ferme les yeux sur les vociférations sanguinaires des dirigeants du Hamas et sur les foules qu’ils galvanisent, et on présente les Palestiniens de Gaza, miliciens compris, comme des victimes innocentes.
On feint même de ne pas savoir que le Hamas utilise la population civile comme bouclier humain pour mieux incriminer Israël.
On parle de mosquées détruites sans dire que celles-ci servaient à entreposer des armes et des explosifs.
On parle de la fermeture des frontières entre Israël et Gaza depuis des mois en inversant les causes et les effets et en ne disant pas que si Gaza était un havre de paix et de douceur, les frontières seraient depuis longtemps ouvertes.
Nul ne pose la question de savoir pourquoi des Arabes peuvent vivre en Israël, mais pourquoi les Juifs sont interdits de séjour dans la quasi-totalité des terres arabes, et tout particulièrement dans des lieux comme Gaza.
Nul ne reprend les informations disponibles, preuves à l’appui, sur de nombreux sites israéliens.
Il y a là l’effet d’une propagande, inlassablement distillée et relayée, qui colporte des expressions porteuses de réflexes conditionnés.
Selon les médias européens, les implantations juives à Gaza étaient des « colonies », tout comme le sont aujourd’hui les implantations juives en Judée et Samarie.
Selon les mêmes médias, il y a des territoires « occupés » par Israël, et sans doute, pour certains, est-ce l’ensemble du territoire d’Israël qui est « occupé ».
Gaza est soumis à un « blocus », et il n’y a aucune raison de surveiller de très près les actions et les activités d’import-export de gens qui parlent à longueur de journée du génocide qu’ils rêvent de perpétrer.
La liste pourrait encore être très longue.
Des journalistes scrupuleux pourraient examiner minutieusement les faits : ce serait un peu plus long, bien sûr, que de reprendre le "prêt-à-penser" élaboré par la machine de guerre psychologique totalitaire du Hamas et de l’Autorité palestinienne. Au point où nous en sommes, en Europe, cela pourrait même être dangereux : certains journaux ont fermé préventivement l’espace commentaire situé sous les articles qu’ils mettent en ligne. C’est en lisant les commentaires publiés sur les sites des journaux qui n’ont pas procédé à cette fermeture que l’on comprend : des jets de bile et des propos qui frôlent le pire antisémitisme reviennent de manière récurrente.
Si les journalistes ne font pas leur travail, au moins les hommes politiques pourraient-ils sauver l’honneur, mais ce n’est pas le cas. Le « réalisme » pousse à se dire qu’Israël est un petit pays, alors que le monde musulman est beaucoup plus vaste, a du pétrole à vendre et des devises pour acheter. Il pousse aussi, ce réalisme, à songer au poids croissant des populations musulmanes en Europe, et au fait que celles-ci ont des « sensibilités » qui les incitent, parfois, à réagir à Paris, à Bruxelles ou à Londres, comme on réagit à Ramallah, à Damas ou au Caire.
A quoi cela nous mène-t-il ? A penser que, lorsque un auteur tel que Walter Laqueur se proposait, voici quelques mois, de rédiger une épitaphe pour un continent à la dérive et perclus de sénilité, de déclin et de renoncement à être, il n’avait pas tort.
Heureusement pour le peuple israélien, l’Etat d’Israël peut encore compter sur les Etats-Unis pour incarner une certaine idée de la dignité et de l’éthique. Espérons que cela durera, après l’arrivée prochaine d’Obama à la Maison Blanche.
Guy Millière
Le jour où, dans le monde musulman, on raisonnera de façon logique, en discernant qu’agresser quelqu’un peut conduire ce quelqu’un à répondre à l’agression, ce sera une avancée vers davantage de salubrité mentale.
Le jour où, dans ce même monde musulman, on comprendra que précision, intelligence et efficacité sont l’apanage des sociétés ouvertes et créatrices, l’avancée vers la salubrité mentale sera plus nette encore.
Et le jour où l’on parviendra à y parler de liberté, de démocratie, d’économie d’entreprise, de tolérance, on pourra espérer que cette vaste zone de la planète, aujourd’hui inquiétante et sinistrée, pourra sortir de l’ornière.
Ce qui était attendu aussi, c’étaient les réactions des hommes politiques et des médias européens et, sans qu’on trouve dans ces réactions les excès délirants des cris d’orfraie du monde arabe, on ne peut que noter avec préoccupation des proximités et des similitudes.
On oublie, en Europe, les milliers de missiles et de roquettes tirées depuis Gaza contre Israël et les dégâts matériels et humains ainsi causés, mais on parle de « violence » israélienne : ce serait risible si ce n’était tragique.
On ferme les yeux sur les vociférations sanguinaires des dirigeants du Hamas et sur les foules qu’ils galvanisent, et on présente les Palestiniens de Gaza, miliciens compris, comme des victimes innocentes.
On feint même de ne pas savoir que le Hamas utilise la population civile comme bouclier humain pour mieux incriminer Israël.
On parle de mosquées détruites sans dire que celles-ci servaient à entreposer des armes et des explosifs.
On parle de la fermeture des frontières entre Israël et Gaza depuis des mois en inversant les causes et les effets et en ne disant pas que si Gaza était un havre de paix et de douceur, les frontières seraient depuis longtemps ouvertes.
Nul ne pose la question de savoir pourquoi des Arabes peuvent vivre en Israël, mais pourquoi les Juifs sont interdits de séjour dans la quasi-totalité des terres arabes, et tout particulièrement dans des lieux comme Gaza.
Nul ne reprend les informations disponibles, preuves à l’appui, sur de nombreux sites israéliens.
Il y a là l’effet d’une propagande, inlassablement distillée et relayée, qui colporte des expressions porteuses de réflexes conditionnés.
Selon les médias européens, les implantations juives à Gaza étaient des « colonies », tout comme le sont aujourd’hui les implantations juives en Judée et Samarie.
Selon les mêmes médias, il y a des territoires « occupés » par Israël, et sans doute, pour certains, est-ce l’ensemble du territoire d’Israël qui est « occupé ».
Gaza est soumis à un « blocus », et il n’y a aucune raison de surveiller de très près les actions et les activités d’import-export de gens qui parlent à longueur de journée du génocide qu’ils rêvent de perpétrer.
La liste pourrait encore être très longue.
Des journalistes scrupuleux pourraient examiner minutieusement les faits : ce serait un peu plus long, bien sûr, que de reprendre le "prêt-à-penser" élaboré par la machine de guerre psychologique totalitaire du Hamas et de l’Autorité palestinienne. Au point où nous en sommes, en Europe, cela pourrait même être dangereux : certains journaux ont fermé préventivement l’espace commentaire situé sous les articles qu’ils mettent en ligne. C’est en lisant les commentaires publiés sur les sites des journaux qui n’ont pas procédé à cette fermeture que l’on comprend : des jets de bile et des propos qui frôlent le pire antisémitisme reviennent de manière récurrente.
Si les journalistes ne font pas leur travail, au moins les hommes politiques pourraient-ils sauver l’honneur, mais ce n’est pas le cas. Le « réalisme » pousse à se dire qu’Israël est un petit pays, alors que le monde musulman est beaucoup plus vaste, a du pétrole à vendre et des devises pour acheter. Il pousse aussi, ce réalisme, à songer au poids croissant des populations musulmanes en Europe, et au fait que celles-ci ont des « sensibilités » qui les incitent, parfois, à réagir à Paris, à Bruxelles ou à Londres, comme on réagit à Ramallah, à Damas ou au Caire.
A quoi cela nous mène-t-il ? A penser que, lorsque un auteur tel que Walter Laqueur se proposait, voici quelques mois, de rédiger une épitaphe pour un continent à la dérive et perclus de sénilité, de déclin et de renoncement à être, il n’avait pas tort.
Heureusement pour le peuple israélien, l’Etat d’Israël peut encore compter sur les Etats-Unis pour incarner une certaine idée de la dignité et de l’éthique. Espérons que cela durera, après l’arrivée prochaine d’Obama à la Maison Blanche.
Guy Millière
Wednesday, 24 December 2008
One more alternative world view - Ahmadinejad's
Dorothy Byrne and Brian Haw
Channel 4 has opted to end the year on a controversial note by inviting the president of Iran, Mahmoud Ahmadinejad, to give the broadcaster's alternative Christmas message tomorrow.
But the channel has shied away from scheduling the president's address against the Queen's Christmas speech at 3pm. Unlike most years, it is not airing its alternative Christmas message at the same time as the Queen, but is instead scheduling Ahmadinejad's message at 7.15pm.(...)
(...)The Channel 4 head of news and current affairs, Dorothy Byrne, argued that the selection of such controversial figure was in line with the broadcaster's policy of providing an "alternative world view" and reflected the extensive coverage it has given to Iran in recent times.
"As the leader of one of the most powerful states in the Middle East, President Ahmadinejad's views are enormously influential," she said. "As we approach a critical time in international relations, we are offering our viewers an insight into an alternative world view.(...)
(Mark Sweney, guardian.co.uk,24.12.2008)
Channel 4 has opted to end the year on a controversial note by inviting the president of Iran, Mahmoud Ahmadinejad, to give the broadcaster's alternative Christmas message tomorrow.
But the channel has shied away from scheduling the president's address against the Queen's Christmas speech at 3pm. Unlike most years, it is not airing its alternative Christmas message at the same time as the Queen, but is instead scheduling Ahmadinejad's message at 7.15pm.(...)
(...)The Channel 4 head of news and current affairs, Dorothy Byrne, argued that the selection of such controversial figure was in line with the broadcaster's policy of providing an "alternative world view" and reflected the extensive coverage it has given to Iran in recent times.
"As the leader of one of the most powerful states in the Middle East, President Ahmadinejad's views are enormously influential," she said. "As we approach a critical time in international relations, we are offering our viewers an insight into an alternative world view.(...)
(Mark Sweney, guardian.co.uk,24.12.2008)
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Saturday, 20 December 2008
Pour Le Monde, l'origine juive de l'escroque Madoff est pertinante
Comprendre l'affaire Madoff
LEMONDE.FR 19.12.08 Mis à jour le 20.12.08
Qui est Bernard Madoff ?
Le courtier au cœur du scandale était une légende de Wall Street, ainsi qu'une incarnation du rêve américain. Ce maître nageur à Long Island a créé son fonds d'investissement à l'âge de 22 ans, avec 5 000 dollars. Réputé intuitif, ultra-rapide mais aussi très "éthique", il avait fini par s'imposer dans la communauté financière. Au point de devenir président du Nasdaq, la prestigieuse Bourse des valeurs technologiques, de 1990 à 1991. Mondain, jovial, il parvenait à capter la confiance de ses futurs clients. Figure de la communauté juive new-yorkaise, le "génial" financier était très présent dans les activités caritatives et culturelles.
Comment a-t-il escroqué ses clients ?
(...)
LEMONDE.FR 19.12.08 Mis à jour le 20.12.08
Qui est Bernard Madoff ?
Le courtier au cœur du scandale était une légende de Wall Street, ainsi qu'une incarnation du rêve américain. Ce maître nageur à Long Island a créé son fonds d'investissement à l'âge de 22 ans, avec 5 000 dollars. Réputé intuitif, ultra-rapide mais aussi très "éthique", il avait fini par s'imposer dans la communauté financière. Au point de devenir président du Nasdaq, la prestigieuse Bourse des valeurs technologiques, de 1990 à 1991. Mondain, jovial, il parvenait à capter la confiance de ses futurs clients. Figure de la communauté juive new-yorkaise, le "génial" financier était très présent dans les activités caritatives et culturelles.
Comment a-t-il escroqué ses clients ?
(...)
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Tuesday, 2 December 2008
La Télévision de Suisse romande heurte notre inteligence
Le site web de la Télévision de Suisse romande publie le titre: "Terroristes indiens et fanatiques israéliens"
Suite aux protestations, le titre stupide a été remplacé par "Terrorisme en Inde"
PRECISIONS DE LA TSR (publiées sur la page en question)
(http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=200700&sid=10016481)
Dans un titre récemment paru sur cette page, certains lecteurs ont été choqués de l'amalgame opéré entre "Terroristes indiens" et "fanatiques israéliens". Le premier faisait référence aux récents événements en Inde. Le second se voulait un écho à un article du journal Le Temps sur certains mouvements ultra-orthodoxes en Israël, reportage sans lien aucun avec les actes de terrorisme à Bombay. L'amalgame en titre n'en était pas moins particulièrement malheureux. Nous regrettons sa diffusion et exprimons nos regrets si nous avons heurté de la sorte certaines sensibilités. Dans ses programmes, la TSR entend veiller à ne pas exercer ni à favoriser une quelconque forme de discrimination à l'encontre de populations ou groupes d'individus. Dans un esprit d'ouverture au monde, de respect de la personne et de la dignité humaine.
La Rédaction en chef.
_______________________________________
Il ne s'agite pas ici de "heurter certaines sensibilités" ni d'etre "choquer par un amalgame", mais de heurter notre intelligence car dans la réalité de cette semaine, les «Terroristes Fanatiques», sont de islamistes qui sont venus de Pakistan pour massacrer d’indiens et de israéliens, qui sont donc, des victimes de Terroristes Fanatiques.
Suite aux protestations, le titre stupide a été remplacé par "Terrorisme en Inde"
PRECISIONS DE LA TSR (publiées sur la page en question)
(http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=200700&sid=10016481)
Dans un titre récemment paru sur cette page, certains lecteurs ont été choqués de l'amalgame opéré entre "Terroristes indiens" et "fanatiques israéliens". Le premier faisait référence aux récents événements en Inde. Le second se voulait un écho à un article du journal Le Temps sur certains mouvements ultra-orthodoxes en Israël, reportage sans lien aucun avec les actes de terrorisme à Bombay. L'amalgame en titre n'en était pas moins particulièrement malheureux. Nous regrettons sa diffusion et exprimons nos regrets si nous avons heurté de la sorte certaines sensibilités. Dans ses programmes, la TSR entend veiller à ne pas exercer ni à favoriser une quelconque forme de discrimination à l'encontre de populations ou groupes d'individus. Dans un esprit d'ouverture au monde, de respect de la personne et de la dignité humaine.
La Rédaction en chef.
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Il ne s'agite pas ici de "heurter certaines sensibilités" ni d'etre "choquer par un amalgame", mais de heurter notre intelligence car dans la réalité de cette semaine, les «Terroristes Fanatiques», sont de islamistes qui sont venus de Pakistan pour massacrer d’indiens et de israéliens, qui sont donc, des victimes de Terroristes Fanatiques.
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Monday, 1 December 2008
Germany - Iran
As Germany continues to express its firm commitment to economic sanctions on Iran, major trading bodies within the country have been openly violating them.
A business conference held in Hamburg last week discussed possible ways to circumvent the sanctions and instead increase trading ties with Tehran.(...)
Israel's ire over the conference only increased after it was revealed that the conference's main sponsor had been none other than Iran's Melli Bank. The Iranian bank is suspected of funding terror and of financing the Iranian nuclear project. The Unites States and EU have consequently imposed sanctions on the bank, freezing many of its assets.
Israel has since protested to German authorities, requesting that the conference be cancelled despite it being a private event. Israel's ambassador to Berlin has even called for the intervention of German Chancellor Angela Merkel. The German response was ambiguous. At first the German officials stated there was not enough time to cancel the event. A later response said the private nature of the event rendered it outside the realm of government responsibility.(...)
The Hamburg conference is the latest in a recent series of events that have raised Israel's ire over Germany's conduct on the Iranian issue. In September 2007 Germany sponsored a conference calling for increased trading ties with Tehran; in June Haaretz revealed an 18-percent rise in trade between the two countries over the first quarter of 2008, while over the same month a German gas company forged a deal with Iran worth 100 million euros. Another awkward incident took place two months ago, when Germany's military envoy to Tehran participated in a parade in which missiles were exhibited bearing the slogan: "Wiping Israel off the map."
(Barak Ravid, Haaretz Correspondent www.haaretz.com 01/12/2008)
A business conference held in Hamburg last week discussed possible ways to circumvent the sanctions and instead increase trading ties with Tehran.(...)
Israel's ire over the conference only increased after it was revealed that the conference's main sponsor had been none other than Iran's Melli Bank. The Iranian bank is suspected of funding terror and of financing the Iranian nuclear project. The Unites States and EU have consequently imposed sanctions on the bank, freezing many of its assets.
Israel has since protested to German authorities, requesting that the conference be cancelled despite it being a private event. Israel's ambassador to Berlin has even called for the intervention of German Chancellor Angela Merkel. The German response was ambiguous. At first the German officials stated there was not enough time to cancel the event. A later response said the private nature of the event rendered it outside the realm of government responsibility.(...)
The Hamburg conference is the latest in a recent series of events that have raised Israel's ire over Germany's conduct on the Iranian issue. In September 2007 Germany sponsored a conference calling for increased trading ties with Tehran; in June Haaretz revealed an 18-percent rise in trade between the two countries over the first quarter of 2008, while over the same month a German gas company forged a deal with Iran worth 100 million euros. Another awkward incident took place two months ago, when Germany's military envoy to Tehran participated in a parade in which missiles were exhibited bearing the slogan: "Wiping Israel off the map."
(Barak Ravid, Haaretz Correspondent www.haaretz.com 01/12/2008)
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L'agriculture Bio en France
On a déjà abattu ses chèvres, détruit ses clôtures, incendié sa voiture, envoyé des menaces de viol sur sa fille de 8 ans et de mort sur sa famille s'il ne quitte pas la région avant le 1er décembre... L'incendie qui a entièrement détruit dans la nuit de vendredi à samedi la grange de Jean-Hugues Bourgeois, 29 ans, jeune éleveur biologique de Teilhet, dans le Puy-de-Dôme, sujet à des menaces de mort pour le pousser à quitter la région, est selon lui d'origine suspecte.
Le jeune éleveur, venu s'installer dans la région des Combrailles en janvier 2007, pour y élever des chèvres et des moutons dans une exploitation biologique. Jean-Hugues Bourgeois assure qu'il n'a toujours "pas envie de partir".
Fin mars, son troupeau de chèvres avait été tué au pistolet d'abattage, mi-août une petite grange où il entreposait du foin avait été détruite dans un incendie volontaire. Fin août, il avait reçu une lettre en forme de cercueil contenant des menaces de viol et de mort contre sa fille de 8 ans et contre sa mère. Il avait même envoyé sa fille faire sa rentrée scolaire ailleurs. Le 4 septembre, le procureur de la République de Riom a ouvert une information judiciaire pour "destruction de bien par incendie et menace de mort" en raison notamment de la "montée en puissance dans la gravité des faits".
(lci.fr 05.10.2008)
Jean-Hugues Bourgeois, c'est ce jeune agriculteur bio qui, depuis des mois, subit de graves pressions et des menaces de mort. Il a résisté à toutes les attaques dont il fait l'objet depuis plusieurs mois. Mais pour lui, maintenant, c'est fini. Malgré sa résistance, il a décidé de jeter l'éponge et de quitter la région avec sa famille, selon Le Parisien. Avant Noël, Jean-Hugues Bourgeois ne sera plus sur ses terres de Teilhet.
(fr.news.yahoo.com 01.12.08)
Le jeune éleveur, venu s'installer dans la région des Combrailles en janvier 2007, pour y élever des chèvres et des moutons dans une exploitation biologique. Jean-Hugues Bourgeois assure qu'il n'a toujours "pas envie de partir".
Fin mars, son troupeau de chèvres avait été tué au pistolet d'abattage, mi-août une petite grange où il entreposait du foin avait été détruite dans un incendie volontaire. Fin août, il avait reçu une lettre en forme de cercueil contenant des menaces de viol et de mort contre sa fille de 8 ans et contre sa mère. Il avait même envoyé sa fille faire sa rentrée scolaire ailleurs. Le 4 septembre, le procureur de la République de Riom a ouvert une information judiciaire pour "destruction de bien par incendie et menace de mort" en raison notamment de la "montée en puissance dans la gravité des faits".
(lci.fr 05.10.2008)
Jean-Hugues Bourgeois, c'est ce jeune agriculteur bio qui, depuis des mois, subit de graves pressions et des menaces de mort. Il a résisté à toutes les attaques dont il fait l'objet depuis plusieurs mois. Mais pour lui, maintenant, c'est fini. Malgré sa résistance, il a décidé de jeter l'éponge et de quitter la région avec sa famille, selon Le Parisien. Avant Noël, Jean-Hugues Bourgeois ne sera plus sur ses terres de Teilhet.
(fr.news.yahoo.com 01.12.08)
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Saturday, 29 November 2008
Attaques terroristes à Bombay
La mégapole de l'ouest de l'Inde, capitale économique du pays, a été le théâtre mercredi soir d'une série d'attaques coordonnées, menées par des hommes lourdement armés, qui ont visé les deux hôtels ainsi que huit autres cibles, dont la gare centrale et l'hôpital Cama, dans le sud de Bombay. Le bilan des attaques menées par un groupe d'extrémistes islamistes s'élève à environ 200 morts et 300 blessés. Les combats ont dures 3 jours.
(...)Selon des témoins, les assaillants ont retenu en priorité en otages des Britanniques et des Américains.
Un client britannique, Rakesh Patel, a raconté qu'il avait été pris avec une douzaine d'autres personnes par deux hommes armés et conduit avec le groupe vers les étages supérieurs de l'hôtel Taj Mahal.
"(...) Ils ont dit qu'ils voulaient tous ceux qui avaient des passeports britanniques et américains", a-t-il témoigné.(...)
(AFP 27.11.2008)
(...)huit otages israéliens ont été tués, dont six au centre religieux juif. Ils ont été tués par les islamistes pendant l'intervention des forces de sécurité, selon un responsable indien. (...)Les raids sur Bombay, lancés mercredi soir, ont surtout visé des étrangers, particulièrement des Américains et Britanniques, ainsi que le centre juif.
(AFP 29.11.2008)
60 ans après la guerre, de nouveau, les Américains, les Britanniques et les juifs sont ceux qui représentent la liberté et la démocratie dans le monde!
(...)Selon des témoins, les assaillants ont retenu en priorité en otages des Britanniques et des Américains.
Un client britannique, Rakesh Patel, a raconté qu'il avait été pris avec une douzaine d'autres personnes par deux hommes armés et conduit avec le groupe vers les étages supérieurs de l'hôtel Taj Mahal.
"(...) Ils ont dit qu'ils voulaient tous ceux qui avaient des passeports britanniques et américains", a-t-il témoigné.(...)
(AFP 27.11.2008)
(...)huit otages israéliens ont été tués, dont six au centre religieux juif. Ils ont été tués par les islamistes pendant l'intervention des forces de sécurité, selon un responsable indien. (...)Les raids sur Bombay, lancés mercredi soir, ont surtout visé des étrangers, particulièrement des Américains et Britanniques, ainsi que le centre juif.
(AFP 29.11.2008)
60 ans après la guerre, de nouveau, les Américains, les Britanniques et les juifs sont ceux qui représentent la liberté et la démocratie dans le monde!
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Friday, 28 November 2008
À Alger, Pascal Boniface ne tourne plus autour du pot: enfin un mec qui ose !
Ce Pascal Boniface est très fort. Certes, on peut ne pas partager ses tropismes. Mais enfin, en quinze ou vingt ans de présence laborieuse dans le débat public, sa seule contribution originale a été de constater qu’il y avait en France plus de musulmans que de juifs et à appeler son ex-parti, le PS, à en tirer les conséquences qui s’imposaient. Et après tout, à l’exception peut-être d’un certain cynisme, on ne peut pas reprocher grand-chose à ce raisonnement. Pour le reste, Boniface a réussi à être l’un de ces “experts” généralistes dont les médias raffolent en énonçant des banalités bien-pensantes ou des sottises sur toutes sortes de sujets allant de la guerre en Irak aux JO (l’un de ses fonds de commerce favoris). Boniface, c’est le type qu’on a pris l’habitude de voir ou d’entendre à tout bout de champ sans que plus personne ne se souvienne quand il est apparu et pour quelle raison. Il fait partie du décor. Au bout du compte, il n’est que l’un des multiples imposteurs qui pullulent sur les ondes et écrans – et, à vrai dire, plutôt une “roue de secours” qu’un “bon client”. Pas le plus talentueux, il est vrai, ce qui confère un côté vaguement mystérieux à sa trajectoire. Il faudrait un Balzac pour imaginer la somme de combines, calculs, intrigues et autres coups qui l’ont rendu incontournable. Après tout, mettre un pied dans toute porte qui s’entrouvre et ne plus lâcher, c’est un talent.
Il ne faut jamais désespérer de personne. Pour une fois, Boniface a fait preuve d’un courage réel en disant tout haut ce que la majorité des gens n’oseraient même pas penser tout bas. Non seulement, il proclame qu’il y a en France un lobby juif1 mais, ce qui est plus surprenant de sa part, que celui-ci doit être un modèle pour les Arabes et les musulmans. Lesquels, a-t-il déploré, “ne disposent pas d’un lobby en Occident, capable de corriger l’image erronée de l’Islam, alors que des célébrités médiatiques s’emploient à ternir leur image”. (Pas d’énervement, la liste arrive !) Sans doute aviez-vous noté que “les médias occidentaux en général, et européens en particulier, en répandent une image déformée en alimentant l’amalgame entre l’islam (religion) et les mouvements islamistes (politiques ou terroristes)” ? Boniface vous dit ce qu’on vous cache : “Ces campagnes hostiles à l’islam sont commanditées par des intellectuels et des journalistes connus dans la sphère française, comme Bernard-Henri Lévy, Alain Finkielkraut et Philippe Val.” Saluons le fait qu’il ne cède pas à une vision étroitement ethnique, puisque Val est pris dans la rafle – sans doute comme crypto-juif. Et puis, il y a les traitres, ces musulmans qui contribuent à cette campagne anti-musulmane, comme Mohammed Sifaoui, qui lui aussi “bénéficie de l’appui des médias”. Le lobby a le bras long.
On notera de surcroît l’audacieuse conception de la vie publique qui affleure dans les propos de Boniface : si on comprend bien, il conseille aux musulmans d’utiliser les mêmes méthodes, ce qui semble signifier dans le contexte qu’ils devraient mener des “campagnes hostiles aux juifs”. Peut-être même pourrait-il être le Val des musulmans et prendre la tête de ce contre-lobby. Voilà en tout cas un esprit libre qui ne se couche pas devant le politiquement correct. D’ailleurs, il a payé le prix fort : “En France, il y a un puissant courant hostile aux Arabes et à l’Islam, et si tu n’en fais pas partie, il fait tout pour te faire taire. Ils ont ainsi tenté de me tuer professionnellement”, a-t-il encore affirmé. Heureusement que nos médias, plus que sourcilleux sur la liberté d’expression, continuent à donner la parole à ce rebelle, dont toutes les citations sont extraites de l’article de Chawki Freïha, publié à Beyrouth sur le site mediarabe.info.
Quelques esprits chagrins trouveront que les propos de Boniface ne sont pas si courageux que ça. Il est vrai qu’il les a prononcés à Alger, dans le cadre du forum “Monde arabe et Choc des civilisations” organisé le 5 novembre par le quotidien arabophone El Khabar dans le cadre du Salon du Livre. Boniface en a profité pour faire la promotion de la traduction arabe de son livre Est-il permis de critiquer Israël ? – un titre qui dénote un certain humour. Poser une question aussi iconoclaste, voilà qui révèle une pensée particulièrement “dérangeante”. D’ailleurs, il dérange, Boniface. La preuve, selon Chawki Freïha, “le livre était officiellement interdit au Salon du livre mais bien présent sur les étalages”. La preuve aussi que, contrairement à la France, l’Algérie est un pays libre. Au moins, là-bas, il n’y a pas de lobby juif.
PS : Je lance un appel solennel à tous les membres actifs ou dormants du lobby : de grâce, épargnez-nous les trémolos et l’indignation. Un imbécile ne fait pas plus une bête immonde qu’une hirondelle le printemps. Inutile d’en faire un martyr. Il n’y a qu’une chose à faire de Pascal Boniface : en rire.
(Elisabeth Lévy, www.causeur.fr 25.11.2008)
Il ne faut jamais désespérer de personne. Pour une fois, Boniface a fait preuve d’un courage réel en disant tout haut ce que la majorité des gens n’oseraient même pas penser tout bas. Non seulement, il proclame qu’il y a en France un lobby juif1 mais, ce qui est plus surprenant de sa part, que celui-ci doit être un modèle pour les Arabes et les musulmans. Lesquels, a-t-il déploré, “ne disposent pas d’un lobby en Occident, capable de corriger l’image erronée de l’Islam, alors que des célébrités médiatiques s’emploient à ternir leur image”. (Pas d’énervement, la liste arrive !) Sans doute aviez-vous noté que “les médias occidentaux en général, et européens en particulier, en répandent une image déformée en alimentant l’amalgame entre l’islam (religion) et les mouvements islamistes (politiques ou terroristes)” ? Boniface vous dit ce qu’on vous cache : “Ces campagnes hostiles à l’islam sont commanditées par des intellectuels et des journalistes connus dans la sphère française, comme Bernard-Henri Lévy, Alain Finkielkraut et Philippe Val.” Saluons le fait qu’il ne cède pas à une vision étroitement ethnique, puisque Val est pris dans la rafle – sans doute comme crypto-juif. Et puis, il y a les traitres, ces musulmans qui contribuent à cette campagne anti-musulmane, comme Mohammed Sifaoui, qui lui aussi “bénéficie de l’appui des médias”. Le lobby a le bras long.
On notera de surcroît l’audacieuse conception de la vie publique qui affleure dans les propos de Boniface : si on comprend bien, il conseille aux musulmans d’utiliser les mêmes méthodes, ce qui semble signifier dans le contexte qu’ils devraient mener des “campagnes hostiles aux juifs”. Peut-être même pourrait-il être le Val des musulmans et prendre la tête de ce contre-lobby. Voilà en tout cas un esprit libre qui ne se couche pas devant le politiquement correct. D’ailleurs, il a payé le prix fort : “En France, il y a un puissant courant hostile aux Arabes et à l’Islam, et si tu n’en fais pas partie, il fait tout pour te faire taire. Ils ont ainsi tenté de me tuer professionnellement”, a-t-il encore affirmé. Heureusement que nos médias, plus que sourcilleux sur la liberté d’expression, continuent à donner la parole à ce rebelle, dont toutes les citations sont extraites de l’article de Chawki Freïha, publié à Beyrouth sur le site mediarabe.info.
Quelques esprits chagrins trouveront que les propos de Boniface ne sont pas si courageux que ça. Il est vrai qu’il les a prononcés à Alger, dans le cadre du forum “Monde arabe et Choc des civilisations” organisé le 5 novembre par le quotidien arabophone El Khabar dans le cadre du Salon du Livre. Boniface en a profité pour faire la promotion de la traduction arabe de son livre Est-il permis de critiquer Israël ? – un titre qui dénote un certain humour. Poser une question aussi iconoclaste, voilà qui révèle une pensée particulièrement “dérangeante”. D’ailleurs, il dérange, Boniface. La preuve, selon Chawki Freïha, “le livre était officiellement interdit au Salon du livre mais bien présent sur les étalages”. La preuve aussi que, contrairement à la France, l’Algérie est un pays libre. Au moins, là-bas, il n’y a pas de lobby juif.
PS : Je lance un appel solennel à tous les membres actifs ou dormants du lobby : de grâce, épargnez-nous les trémolos et l’indignation. Un imbécile ne fait pas plus une bête immonde qu’une hirondelle le printemps. Inutile d’en faire un martyr. Il n’y a qu’une chose à faire de Pascal Boniface : en rire.
(Elisabeth Lévy, www.causeur.fr 25.11.2008)
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Thursday, 27 November 2008
Réduire les pesticides dans l'agriculture
(...)L'agriculture européenne est aujourd'hui fortement dépendante de la chimie. L'UE est la première région consommatrice de pesticides au monde. Quelque 300 substances permettant d'éradiquer les maladies et les parasites des récoltes sont homologuées. Chaque année, les contrôles décèlent la présence de résidus, à de très faibles doses, dans la quasi-totalité des denrées alimentaires testées. Dans environ 5 % des cas, les limites réglementaires sont dépassées.
La démonstration des effets directs de ces molécules sur la santé est complexe, mais plusieurs études scientifiques ont mis en évidence des liens entre l'exposition aux pesticides et le développement de cancers, d'atteinte aux organes génitaux masculins, et d'altération de la fertilité, en particulier chez les agriculteurs, qui sont les premiers concernés.
Le "paquet pesticides", qui sera adopté définitivement fin 2008 ou début 2009 par un vote en deuxième lecture au Parlement européen, comporte plusieurs volets. L'un deux, le plus débattu, durcit les critères d'autorisation des molécules. Pour la première fois, celles dont la toxicité est prouvée ne seront plus autorisées. Il s'agit des substances cancérigènes, mutagènes, et toxiques pour la reproduction (CRM), de niveaux 1 et 2, les plus nocives. Toutefois, des dérogations, valables pendant cinq ans et reconductibles, seront possibles pour certaines d'entre elles, si des pans de la production agricole sont menacés par leur retrait.
(...)Toute une gamme de mesures peut être employée : diversification des rotations, utilisation de variétés résistantes aux maladies, réduction de la densité des semis, amélioration de la surveillance et des systèmes d'alerte en cas d'attaques de ravageurs, utilisation de pesticides issus de substances naturelles... "Il faut partir du savoir-faire des agriculteurs, a affirmé Guy Paillotin, chargé de l'élaboration du plan français de réduction des usages de pesticides.(...)
(...)La remise en question d'habitudes acquises depuis cinquante ans, sous l'impulsion des pouvoirs publics, ne pourra se faire en un jour.
(Gaëlle Dupont, LE MONDE 27.11.08)
La démonstration des effets directs de ces molécules sur la santé est complexe, mais plusieurs études scientifiques ont mis en évidence des liens entre l'exposition aux pesticides et le développement de cancers, d'atteinte aux organes génitaux masculins, et d'altération de la fertilité, en particulier chez les agriculteurs, qui sont les premiers concernés.
Le "paquet pesticides", qui sera adopté définitivement fin 2008 ou début 2009 par un vote en deuxième lecture au Parlement européen, comporte plusieurs volets. L'un deux, le plus débattu, durcit les critères d'autorisation des molécules. Pour la première fois, celles dont la toxicité est prouvée ne seront plus autorisées. Il s'agit des substances cancérigènes, mutagènes, et toxiques pour la reproduction (CRM), de niveaux 1 et 2, les plus nocives. Toutefois, des dérogations, valables pendant cinq ans et reconductibles, seront possibles pour certaines d'entre elles, si des pans de la production agricole sont menacés par leur retrait.
(...)Toute une gamme de mesures peut être employée : diversification des rotations, utilisation de variétés résistantes aux maladies, réduction de la densité des semis, amélioration de la surveillance et des systèmes d'alerte en cas d'attaques de ravageurs, utilisation de pesticides issus de substances naturelles... "Il faut partir du savoir-faire des agriculteurs, a affirmé Guy Paillotin, chargé de l'élaboration du plan français de réduction des usages de pesticides.(...)
(...)La remise en question d'habitudes acquises depuis cinquante ans, sous l'impulsion des pouvoirs publics, ne pourra se faire en un jour.
(Gaëlle Dupont, LE MONDE 27.11.08)
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Tuesday, 25 November 2008
Les conflits oubliés par les medias francais
Voici une liste de conflits et de vrais crises humanitaires, oubliés par les medias francais qui sont toujours obsedes par Israel.
Birmanie
L’aide humanitaire en Birmanie est restreinte depuis l’accès au pouvoir de la junte militaire en 1962. Malgré d’énormes beoins, très peu d’ONG parviennent à travailler dans le pays et une part réduite du budget est destinée à l’aide médicale.
Centrafique
La crise politique a entraîné un effondrement su système de santé. Les conditions de vie difficiles sont à l’origine de nombreuses maladies.
Colombie
Après plus de 40 ans de guerre civile, plus de 3 millions de personnes ont fui leur foyer. De plus des enfants sont enrôlés de force.
République démocratique du congo
Un des pays les plus pauvres du monde. Le Nord-Est du pays est en proie à une recrudescence des combats entre l’armée régulière et la rebéllion emmenée par Laurent Nkunda, qui prétend voler au secours de ses "frères" tutsis. Les combats en cours au Nord-Kivu, qui ont éclaté fin août 2008, ont déraciné un quart de million de civils, faisant passer à un million le nombre total de personnes déplacées dans cette région en deux ans.
Somalie
Le pays vit dans le chaos le plus total depuis quinze ans. Et la violnce qui règne dans le pays rend le travail difficile pour les organisations humanitaires, à tel point que l’aide d’urgence a diminué au cours des ans.
Sri Lanka
Le conflit entre le gouvernement et le mouvement des Tigres de libération de l'Eelam Tamoul (Liberation Tigers of Tamil Eelam — LTTE) a durement touché la population civile. Mines, bombardements et attentats suicides sont quotidiens.
Tchétchénie
Cette région du Caucase est encore très instable après la guerre contre la Russie. Il existe un manque criant de services médicaux de base.
Zimbabwe
L’instabilité politique, l’inflation galopante et les pénuries ont affaibli le pays.
3 millions de personnes ont déjà fui le Zimbabwe, où les perspectives sont très préoccupantes.
Malnutrition
Chaque jour, cinq millions d’enfants de moins de cinq ans meurent de malnutrition. Malgré la miseau point de nouvelles solutions pour éradiquer le problème, la famine reste un problème majeur, spécialement en Afrique.
Tuberculose
Chaque année, 11 millions de personnes sont affectés par la tuberculose, et plus de deux millions de personnes meurrent des suites de la maladie. la plupart des victimes vivent dans des pays pauvres, où l’aide médicale est insuffisante.
(Patrick Ekstrand, Metro Suède 17.11.2008)
Birmanie
L’aide humanitaire en Birmanie est restreinte depuis l’accès au pouvoir de la junte militaire en 1962. Malgré d’énormes beoins, très peu d’ONG parviennent à travailler dans le pays et une part réduite du budget est destinée à l’aide médicale.
Centrafique
La crise politique a entraîné un effondrement su système de santé. Les conditions de vie difficiles sont à l’origine de nombreuses maladies.
Colombie
Après plus de 40 ans de guerre civile, plus de 3 millions de personnes ont fui leur foyer. De plus des enfants sont enrôlés de force.
République démocratique du congo
Un des pays les plus pauvres du monde. Le Nord-Est du pays est en proie à une recrudescence des combats entre l’armée régulière et la rebéllion emmenée par Laurent Nkunda, qui prétend voler au secours de ses "frères" tutsis. Les combats en cours au Nord-Kivu, qui ont éclaté fin août 2008, ont déraciné un quart de million de civils, faisant passer à un million le nombre total de personnes déplacées dans cette région en deux ans.
Somalie
Le pays vit dans le chaos le plus total depuis quinze ans. Et la violnce qui règne dans le pays rend le travail difficile pour les organisations humanitaires, à tel point que l’aide d’urgence a diminué au cours des ans.
Sri Lanka
Le conflit entre le gouvernement et le mouvement des Tigres de libération de l'Eelam Tamoul (Liberation Tigers of Tamil Eelam — LTTE) a durement touché la population civile. Mines, bombardements et attentats suicides sont quotidiens.
Tchétchénie
Cette région du Caucase est encore très instable après la guerre contre la Russie. Il existe un manque criant de services médicaux de base.
Zimbabwe
L’instabilité politique, l’inflation galopante et les pénuries ont affaibli le pays.
3 millions de personnes ont déjà fui le Zimbabwe, où les perspectives sont très préoccupantes.
Malnutrition
Chaque jour, cinq millions d’enfants de moins de cinq ans meurent de malnutrition. Malgré la miseau point de nouvelles solutions pour éradiquer le problème, la famine reste un problème majeur, spécialement en Afrique.
Tuberculose
Chaque année, 11 millions de personnes sont affectés par la tuberculose, et plus de deux millions de personnes meurrent des suites de la maladie. la plupart des victimes vivent dans des pays pauvres, où l’aide médicale est insuffisante.
(Patrick Ekstrand, Metro Suède 17.11.2008)
Monday, 24 November 2008
Des résidus de pesticides interdits détectés dans du raisin
Une enquête, effectuée par plusieurs associations écologistes européennes et publiée lundi 24 novembre 2008, révèle la présence de pesticides dans la quasi-totalité des raisins de table prélevés en Italie, en France, aux Pays-Bas, en Hongrie et en Allemagne. Sur un total de 124 échantillons de raisin de table testés dans des supermarchés européens, 123 ont fait apparaître des résidus de pesticides, indique dans un communiqué le Mouvement pour le droit et le respect des générations futures en France (MDRGF), qui a participé à l'enquête.
Les ONG (Legambiente en Italie, le MDRGF en France, Milieudefensie aux Pays-Bas, Levego Munckasoport en Hongrie et Greenpeace en Allemagne) avaient confié l'analyse des échantillons à un laboratoire allemand spécialisé.
Pour la France, les 25 échantillons testés se sont tous révélés contaminés. "On a trouvé des pesticides neurotoxiques, suspectés d'être cancérigènes ou encore pouvant perturber le système hormonal", souligne le communiqué de la MDRGF.
Parmi les raisins étudiés, provenant de 16 enseignes de grandes distribution, 20% étaient contaminés par dix substances chimiques différentes ou plus, et 4,8% dépassaient les limites maximales autorisées par la nouvelle législation européenne. 4 d'entre eux – un français et trois italiens importés – dépassaient les nouvelles limites maximales en résidus européennes. Plus grave, trois échantillons de raisin italien contenaient des pesticides interdits : le bromopropylate et l'endosulfan.(...)
(LEMONDE.FR 24.11.08)
Les ONG (Legambiente en Italie, le MDRGF en France, Milieudefensie aux Pays-Bas, Levego Munckasoport en Hongrie et Greenpeace en Allemagne) avaient confié l'analyse des échantillons à un laboratoire allemand spécialisé.
Pour la France, les 25 échantillons testés se sont tous révélés contaminés. "On a trouvé des pesticides neurotoxiques, suspectés d'être cancérigènes ou encore pouvant perturber le système hormonal", souligne le communiqué de la MDRGF.
Parmi les raisins étudiés, provenant de 16 enseignes de grandes distribution, 20% étaient contaminés par dix substances chimiques différentes ou plus, et 4,8% dépassaient les limites maximales autorisées par la nouvelle législation européenne. 4 d'entre eux – un français et trois italiens importés – dépassaient les nouvelles limites maximales en résidus européennes. Plus grave, trois échantillons de raisin italien contenaient des pesticides interdits : le bromopropylate et l'endosulfan.(...)
(LEMONDE.FR 24.11.08)
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Saturday, 22 November 2008
Segolene et la democratie
Martine Aubry a battu Ségolène Royal de 42 voix d'écart sur près de 140 000 votants pour le poste de Première secrétaire de parti socialiste.
Ségolène Royal a affirmé dans la nuit de vendredi à samedi qu’elle n’allait «pas (se) laisser faire», dénonçant comme une «infraction» aux règles du parti les proclamations de victoire des partisans de Martine Aubry. «Je ne vais pas me laisser faire», a-t-elle déclaré, soulignant qu’elle allait tenir immédiatement à son QG parisien une «réunion de crise» avec son équipe pour «examiner la situation très grave».
Ségolène Royal a demandé un nouveau vote (un 4eme vote) des militants jeudi prochain pour élire le premier secrétaire du PS(…)"C'est pourquoi Ségolène Royal et son équipe, mais Ségolène Royal d'abord, fait la proposition de revoter, ce qui nous semble être la seule proposition digne et acceptable", a assuré Me Mignard.(…)
(libération 22.11.08)
La réaction de Ségolène Royal, immédiatement après l'annonce des résultats de l'élections presidentielles en 2007:
"Le suffrage universel a parlé et je souhaite au prochain président de la République d'accomplir sa mission"...segolene a salué les jeunes des quartiers et leur "engagement civique". "Nous allons continuer ensemble", a-t-elle affirmé, "pour approfondir la rénovation de la gauche et la recherche de nouvelles convergences au-delà des ses frontières actuelles." Elle a exclu un retrait de la vie politique:"je serai au rendez-vous et j'assumerai la responsabilité qui m'incombe desormais", a-t-elle déclaré, appelant à se "rassembler, demain, pour d'autres victoires".(lemonde.fr 06.05.07)
Ségolène Royal a affirmé dans la nuit de vendredi à samedi qu’elle n’allait «pas (se) laisser faire», dénonçant comme une «infraction» aux règles du parti les proclamations de victoire des partisans de Martine Aubry. «Je ne vais pas me laisser faire», a-t-elle déclaré, soulignant qu’elle allait tenir immédiatement à son QG parisien une «réunion de crise» avec son équipe pour «examiner la situation très grave».
Ségolène Royal a demandé un nouveau vote (un 4eme vote) des militants jeudi prochain pour élire le premier secrétaire du PS(…)"C'est pourquoi Ségolène Royal et son équipe, mais Ségolène Royal d'abord, fait la proposition de revoter, ce qui nous semble être la seule proposition digne et acceptable", a assuré Me Mignard.(…)
(libération 22.11.08)
La réaction de Ségolène Royal, immédiatement après l'annonce des résultats de l'élections presidentielles en 2007:
"Le suffrage universel a parlé et je souhaite au prochain président de la République d'accomplir sa mission"...segolene a salué les jeunes des quartiers et leur "engagement civique". "Nous allons continuer ensemble", a-t-elle affirmé, "pour approfondir la rénovation de la gauche et la recherche de nouvelles convergences au-delà des ses frontières actuelles." Elle a exclu un retrait de la vie politique:"je serai au rendez-vous et j'assumerai la responsabilité qui m'incombe desormais", a-t-elle déclaré, appelant à se "rassembler, demain, pour d'autres victoires".(lemonde.fr 06.05.07)
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Thursday, 20 November 2008
Je suis guilad
Elie Chouraqui a realise ce court métrage pour sensibiliser les français au sort de Guilad Shalit, otage franco israéien, enlevé en Juin 2006 et détenu en contradiction avec la convention de geneve et a l’encontre des plus élémentaires considerations humanitaires.
Pour tout savoir sur Guilad Shalit : www.guiladshalit.com
Pour tout savoir sur Guilad Shalit : www.guiladshalit.com
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Guilad Shalit
Sunday, 16 November 2008
Betrand Cantat - Noir Désir
Un criminel qui a tué sa compagne, une grande idole de la gauche, devait rester discrètement dans l'anonymat sans songer à redevenir une star et à donner aux autres des leçons de morale. Et quoi dire sur le grand nombre de français qui l’admirent toujours...
Dans la nuit du 26 au 27 juillet 2003, alors qu'ils se trouvaient à Vilnius — Marie Trintignant tournait le téléfilm "Colette, une femme libre" dans la capitale lituanienne —, le couple formé par Marie Trintignant et Bertrand Cantat avait eu une dispute, probablement exacerbée par l'alcool et différentes substances, qui s'était soldée par des coups qui s'avéreront, quelques jours plus tard, fatals. Rapatriée en France le 31 jullet en état de mort cérébrale, la fille de Nadine et Jean-Louis Trintignant décède le lendemain, en région parisienne. Condamné par la justice lituanienne à 8 ans de réclusion criminelle, Bertrand Cantat effectue l'essentiel de sa peine près de Toulouse, à partir de septembre 2004.
Depuis le 15 octobre 2007 Bertrand Cantat a obtenu sa libération conditionnelle pour bonne conduite carcérale.
Le groupe, sous contrat avec la maison de disques Barclay (un label d'Universal), avait également publié un album en public en 2005, pendant la détention de Bertrand Cantat. Le DVD avait reçu une Victoire de la musique en 2006.
(…)le label Barclay, avec qui Noir Désir est toujours en contrat: «On les laisse faire les chansons avant d’intervenir». Et la manageur Jeannette Ruggieri enfonce le clou: «Ils ont juste envie de faire de la musique ensemble(…)»
Les quatre membres du groupe se retrouvent régulièrement depuis le début de l’année, et ils ont repris leurs automatismes, composer à quatre en laissant à Bertrand Cantat le soin des textes.
(…) Deux nouveaux morceaux que Noir Désir a mis en ligne par surprise et en téléchargement gratuit, mercredi 12 novembre 2008, à l'occasion de la réouverture de son site.
Dans une page d'introduction, le groupe explique que "la chanson Gagnants/Perdants a été enregistrée (...) en réaction au contexte actuel, politique et humain (...)." Exemple d’une des phrases du chanson: "Nous, on ne veut pas être des gagnants/Mais on n'acceptera jamais d'être des perdants/Pimprenelle et Nicolas/Vous nous endormez comme ça."
(www.lemonde.fr 12.11.08 et 13.11.08, www.liberation.fr, www.libebordeaux.fr 27/05/2008)
Dans la nuit du 26 au 27 juillet 2003, alors qu'ils se trouvaient à Vilnius — Marie Trintignant tournait le téléfilm "Colette, une femme libre" dans la capitale lituanienne —, le couple formé par Marie Trintignant et Bertrand Cantat avait eu une dispute, probablement exacerbée par l'alcool et différentes substances, qui s'était soldée par des coups qui s'avéreront, quelques jours plus tard, fatals. Rapatriée en France le 31 jullet en état de mort cérébrale, la fille de Nadine et Jean-Louis Trintignant décède le lendemain, en région parisienne. Condamné par la justice lituanienne à 8 ans de réclusion criminelle, Bertrand Cantat effectue l'essentiel de sa peine près de Toulouse, à partir de septembre 2004.
Depuis le 15 octobre 2007 Bertrand Cantat a obtenu sa libération conditionnelle pour bonne conduite carcérale.
Le groupe, sous contrat avec la maison de disques Barclay (un label d'Universal), avait également publié un album en public en 2005, pendant la détention de Bertrand Cantat. Le DVD avait reçu une Victoire de la musique en 2006.
(…)le label Barclay, avec qui Noir Désir est toujours en contrat: «On les laisse faire les chansons avant d’intervenir». Et la manageur Jeannette Ruggieri enfonce le clou: «Ils ont juste envie de faire de la musique ensemble(…)»
Les quatre membres du groupe se retrouvent régulièrement depuis le début de l’année, et ils ont repris leurs automatismes, composer à quatre en laissant à Bertrand Cantat le soin des textes.
(…) Deux nouveaux morceaux que Noir Désir a mis en ligne par surprise et en téléchargement gratuit, mercredi 12 novembre 2008, à l'occasion de la réouverture de son site.
Dans une page d'introduction, le groupe explique que "la chanson Gagnants/Perdants a été enregistrée (...) en réaction au contexte actuel, politique et humain (...)." Exemple d’une des phrases du chanson: "Nous, on ne veut pas être des gagnants/Mais on n'acceptera jamais d'être des perdants/Pimprenelle et Nicolas/Vous nous endormez comme ça."
(www.lemonde.fr 12.11.08 et 13.11.08, www.liberation.fr, www.libebordeaux.fr 27/05/2008)
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Monday, 10 November 2008
Monks brawl at Jerusalem's Church of the Holy Sepulchre
Israeli police have broken up a brawl among rival monks in the Church of the Holy Sepulchre, believed the site of Jesus's crucifixion, burial and resurrection.
in black theGreek Orthodox, in blue the Armenian clergymen
The church in Jerusalem's Old City, one of the most revered sites in Christianity, is home to six different Christian sects who frequently fight over the rights to maintain and worship in different sections of its hallowed halls.
This time, the fight followed an Armenian procession marking the fourth-century discovery of a cross believed to have been used in Jesus's crucifixion.
Greek Orthodox monks had apparently wanted to post a monk inside the Edicule, a structure built on what is believed to be Jesus's tomb, and blocked the procession when the Armenian clergymen refused.(Carolynne Wheeler in Jerusalem,
www.telegraph.co.uk 10.11.08)
in black theGreek Orthodox, in blue the Armenian clergymen
The church in Jerusalem's Old City, one of the most revered sites in Christianity, is home to six different Christian sects who frequently fight over the rights to maintain and worship in different sections of its hallowed halls.
This time, the fight followed an Armenian procession marking the fourth-century discovery of a cross believed to have been used in Jesus's crucifixion.
Greek Orthodox monks had apparently wanted to post a monk inside the Edicule, a structure built on what is believed to be Jesus's tomb, and blocked the procession when the Armenian clergymen refused.(Carolynne Wheeler in Jerusalem,
www.telegraph.co.uk 10.11.08)
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Friday, 7 November 2008
Nous sommes tous de cobayes humains chez Auchan
Vaisselle liquide 500ml à la camomille Ecover vendu chez Auchan, ne porte sur l’emballage aucun avertissement disant que le produit n’est pas testé sur les animaux !
Seulement sur le site du producteur on découvre la phrase suivante : «produit non testé sur les animaux» !
(http://www.ecover.be/fr/fr/Products/Dishes/20050622+AW+NL.htm)
La vaisselle liquide est un produit qu’on utilise quotidiennement et qui touche notre peau. Il est scandaleux qu’un grand distributeur peut vendre en France de tels produits commercialisés par une marque qui soutient l’interdiction des testes sur animaux.
Ainsi Auchan transforme les consommateurs en cobayes humains car si on refuse les testes sur animaux, il faut se demander, sur qui on fait ces testes ???
Il faut faire pression sur les politiques pour obliger les grandes marques de produire de produits de nourritures, de cosmétiques et de nettoyage naturels, sans ingrédients nocifs pour la santé. Et au même temps, il faut interdire la commercialisation de produits qui n’ont pas subis de testes sérieux.
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Neanderthals Vlaams Belang and National Front Leaders
Here’s the video showing Vlaams Belang and National Front leaders in Belgium, singing a vile antisemitic song, with English subtitles.
Vlaams Belang is the neo-fascist group with which some so-called “anti-jihad” bloggers insist we need to make alliances. Vlaams Belang has sponsored “anti-Islamization” conferences in Europe, attended by some well-known writers and bloggers. (littlegreenfootballs.com)
would you accept to be associated with these Neanderthals? are such europeans different from islamists?
Vlaams Belang is the neo-fascist group with which some so-called “anti-jihad” bloggers insist we need to make alliances. Vlaams Belang has sponsored “anti-Islamization” conferences in Europe, attended by some well-known writers and bloggers. (littlegreenfootballs.com)
would you accept to be associated with these Neanderthals? are such europeans different from islamists?
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Thursday, 6 November 2008
Freiburg and Isfahan are twin towns since 2000
This is Rolf Böhme mayor of Freiburg between 1982–2002. During his time in office, Freiburg was the first german town, to choose an iranian town as a twin town (Isfahan since 2000).
This is Dieter Salomon mayor of Freiburg since 2002. He didn't stop the Freiburg's partnership with Isfahan.
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Le monde obsedé par Israel...
Voici comment Corine Lesnes ENVOYÉE SPÉCIALE de Le Monde a CHICAGO, presente le nouveau chef de cabinet de la Maison Blanche:
(M. Obama travaille à la formation de son équipe de transition, Corine Lesnes, LE MONDE 06.11.08)
MAIS QUE FAIT CETTE PHRASE ICI???
!!!proche du maire Richard Daley et du conseiller en image David Axelrod, Rahm Emanuel s'est engagé comme volontaire en Israël !!!!
Voici quelques exemples d'information plus pertinent sur lui selon www.house.gov/emanuel/aboutrahm.shtml:
Pour le poste de chef de cabinet de la Maison Blanche, Barack Obama a sollicité un homme qu'il connaît bien, Rahm Emanuel. C'est l'un des chefs de file démocrates au Congrès. Surnommé "Rahmbo" pour son caractère d'attaquant, ancien aide de Bill Clinton, il était resté officiellement "neutre" pendant les primaires, ne voulant pas se montrer ingrat envers les Clinton. Natif de Chicago, proche du maire Richard Daley et du conseiller en image David Axelrod, Rahm Emanuel s'est engagé comme volontaire en Israël pendant la première guerre du Golfe en 1991.
(M. Obama travaille à la formation de son équipe de transition, Corine Lesnes, LE MONDE 06.11.08)
MAIS QUE FAIT CETTE PHRASE ICI???
!!!proche du maire Richard Daley et du conseiller en image David Axelrod, Rahm Emanuel s'est engagé comme volontaire en Israël !!!!
Voici quelques exemples d'information plus pertinent sur lui selon www.house.gov/emanuel/aboutrahm.shtml:
Emanuel graduated from Sarah Lawrence College in 1981, and received a Master’s Degree in Speech and Communication from Northwestern University in 1985.
Emanuel served as Chairman of the Democratic Congressional Campaign Committee. Under his leadership, the DCCC expanded the Democratic Party’s reach in every region of the country. Democrats gained 30 seats in the House and ushered in a new Democratic majority in the House of Representatives. In January of 2007, the new majority elected Emanuel to serve as Democratic Caucus Chair, the 4th highest ranking Member of the House Democratic Leadership. He and his wife are raising three children.
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Tuesday, 28 October 2008
Les français soutiens un candidat noir pour l'élection présidentielle...americaine
Pourquoi en France on a pas le droit de savoir quelle est la vraie critique contre Barack Obama, car la vraie critique n’est pas sa couleur de peau comme le prétendent les medias français. Voici quelques argumentes contre Obama que vous ne trouvez que dans les medias étrangères:
French President Nicolas Sarkozy is very critical of U.S. presidential candidate Barack Obama's positions on Iran, according to reports that have reached Israel's government. Sarkozy has made his criticisms only in closed forums in France. But according to a senior Israeli government source, the reports reaching Israel indicate that Sarkozy views the Democratic candidate's stance on Iran as "utterly immature" and comprised of "formulations empty of all content." (...) Advisors to the French president who held separate meetings with Obama's advisors came away with similar impressions and expressed similar disappointment. (...)
(Barak Ravid www.haaretz.com 28.10.09)
_______________________________________
Puisque Colin Powell répète désormais le mensonge selon lequel Barack Obama a toujours été chrétien, et ce « en dépit des informations confirmant l'enfance musulmane d'Obama » (ainsi, l'inscription à une école indonésienne le répertoriant comme musulman), on doit constater avec consternation que le candidat démocrate s'emploie à cacher la vérité sur cette question.
Portons notre attention, dans ce contexte, sur un sujet connexe, les relations d'Obama, tout au long de sa carrière, avec l'islam extrémiste, et la dette morale que cela implique. Sur un plan plus précis, Obama maintient des liens indirects, mais anciens et persistants, avec deux organisations, le Council on American Islamic Relations (CAIR), incriminé, sans mise en examen, par le gouvernement américain en 2007 comme complice de conspiration dans un procès concernant le financement du Hamas ; et The Nation of Islam, condamnée par l'Anti-Defamation League pour un passé marqué, « de manière constante, par le racisme et l'antisémitisme ».
Commençons par les liens d'Obama avec des islamistes :
• Ses relations avec Khalid al-Mansour. Selon l'ancien président du quartier de Manhattan, Percy Sutton, Al-Mansour a collecté de l'argent pour financer les « dépenses d'Obama à la Harvard Law School ». Al-Mansour, un noir américain, (nom de naissance : Don Warden) est devenu conseiller du prince saoudien, Al-Walid bin Talal, le principal donateur du CAIR. Al-Mansour a des positions islamistes classiques : il nie que le gouvernement soudanais entérine l'esclavage, il nie les liens des Juifs avec Jérusalem. Il a écrit une brochure appelée « Américains, prenez garde. Le complot sioniste contre l'Arabie saoudite ». (Obama et al-Mansour réfutent ces déclarations de Sutton).
• Ses relations avec Kenny Gamble (connu aussi sous le nom de Luqman Abdul-Haqq). Gamble, producteur de musique pop, autrefois connu, a coupé le ruban lors de l'inauguration d'un quartier général de campagne d'Obama, situé dans un immeuble du sud de Philadelphie, dont il est propriétaire. Gamble est un islamiste qui achète de nombreuses propriétés dans Philadelphie, dans le but de créer une zone résidentielle réservée aux musulmans. En tant qu'émir autoproclamé du United Muslim Movement, il a aussi des liens nombreux avec des organisations islamistes, dont le CAIR et la Muslim Alliance in North America. (Siraj Wahhaj, l'émir du MANA, a été impliqué, sans mise en examen, pour complicité de conspiration dans l'attaque contre le World Trade Center, en 1993).
• Ses relations avec Mazen Asbahi. Premier coordinateur de la campagne d'Obama à destination des musulmans, il a démissionné après des révélations montrant qu'il avait fait partie du bureau d'une organisation financée par l'Arabie saoudite, le North American Islamic Trust, position qu'il partageait avec Jamal Said, incriminé lui aussi, sans mise en examen, comme complice de conspiration dans le procès concernant le financement du Hamas en 2007. Asbahi a des liens avec les bureaux du CAIR à Detroit et à Chicago, avec l'Islamic Society of North America, incriminée elle-même, sans mise en examen, pour le financement du Hamas et d'autres organisations islamistes.
• Ses relations avec Minha Husaini. Seconde coordinatrice de la campagne d'Obama à destination des Musulmans, elle a un passé islamiste et a travaillé comme stagiaire au Muslim Public Service Network. Immédiatement après sa nomination par Obama, elle a rencontré un groupe d'une trentaine de musulmans, incluant des gens aussi connus que Nihad Awad, du CAIR, Mahdi Bray, de la Muslim American Society, qui a soutenu publiquement des groupes terroristes tels le Hamas et le Hezbollah, et Johari Abdul Malik de la Dar Al-Hijrah Mosque de Falls Church, en Virginie, qui a déclaré aux musulmans américains : « Vous pouvez faire sauter des ponts, mais vous ne pouvez pas tuer des gens innocents qui se rendent à leur travail».
Passons aux liens d'Obama avec The Nation of Islam :
Le donateur et allié de longue date d'Obama, Antoin « Tony » Rezko a été, durant trois décennies, le partenaire de Jabir Herbert Muhammad, fils d'Elijah Muhammad, dirigeant de The Nation of Islam, et il affirme avoir donné à Jabir et à sa famille des « millions de dollars au fil des ans ». Rezko a aussi été directeur exécutif de la Muhammad Ali Foundation, une organisation douteuse qui, sans l'autorisation d'Ali, a utilisé le nom de celui-ci qui, par ailleurs, a été récompensé par le CAIR.
Jeremiah Wright, le pasteur qui a joui de l’estime d'Obama pendant vingt ans, a eu, dans le passé, des liens avec The Nation of Islam ; il a accepté récemment la protection d'un détachement de sécurité de The Nation of Islam, et a parlé de manière élogieuse de Louis Farrakhan comme « l'un des géants de l'expérience religieuse des Afro-Américains ». L'église de Wright a célébré Farrakhan pour avoir été « la parfaite illustration de la grandeur ».
Farrakhan lui-même a annoncé son soutien à Obama, parlant de lui comme l’« espoir du monde entier », « celui qui peut relever l'Amérique après sa chute », et même comme un « Messie ».
Le fait que la biographie d'Obama témoigne de liens si fréquents avec des organisations aussi peu recommandables que le CAIR et The Nation of Islam devrait donner à réfléchir. Combien de politiciens ont-ils eu des liens avec une organisation de ce genre, et combien en ont eu avec sept d'entre elles ? John McCain appelle charitablement Obama « une personne dont vous ne devez pas avoir peur si elle devenait Président des Etats-Unis ». Mais les liens multiples d'Obama avec des organisations anti-américaines et subversives indiquent qu'il ne répondrait pas aux critères de sécurité, exigés pour l'engagement des employés du gouvernement fédéral.
L'agression islamique constitue l'ennemi stratégique de l'Amérique. Les nombreuses relations insalubres d'Obama suscitent des doutes graves concernant son aptitude à être Commandant en chef des Etats-Unis d'Amérique.
(Daniel Pipes, Philadelphia Bulletin, http://fr.danielpipes.org/article/5988 , 21.10.2008)
French President Nicolas Sarkozy is very critical of U.S. presidential candidate Barack Obama's positions on Iran, according to reports that have reached Israel's government. Sarkozy has made his criticisms only in closed forums in France. But according to a senior Israeli government source, the reports reaching Israel indicate that Sarkozy views the Democratic candidate's stance on Iran as "utterly immature" and comprised of "formulations empty of all content." (...) Advisors to the French president who held separate meetings with Obama's advisors came away with similar impressions and expressed similar disappointment. (...)
(Barak Ravid www.haaretz.com 28.10.09)
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Puisque Colin Powell répète désormais le mensonge selon lequel Barack Obama a toujours été chrétien, et ce « en dépit des informations confirmant l'enfance musulmane d'Obama » (ainsi, l'inscription à une école indonésienne le répertoriant comme musulman), on doit constater avec consternation que le candidat démocrate s'emploie à cacher la vérité sur cette question.
Portons notre attention, dans ce contexte, sur un sujet connexe, les relations d'Obama, tout au long de sa carrière, avec l'islam extrémiste, et la dette morale que cela implique. Sur un plan plus précis, Obama maintient des liens indirects, mais anciens et persistants, avec deux organisations, le Council on American Islamic Relations (CAIR), incriminé, sans mise en examen, par le gouvernement américain en 2007 comme complice de conspiration dans un procès concernant le financement du Hamas ; et The Nation of Islam, condamnée par l'Anti-Defamation League pour un passé marqué, « de manière constante, par le racisme et l'antisémitisme ».
Commençons par les liens d'Obama avec des islamistes :
• Ses relations avec Khalid al-Mansour. Selon l'ancien président du quartier de Manhattan, Percy Sutton, Al-Mansour a collecté de l'argent pour financer les « dépenses d'Obama à la Harvard Law School ». Al-Mansour, un noir américain, (nom de naissance : Don Warden) est devenu conseiller du prince saoudien, Al-Walid bin Talal, le principal donateur du CAIR. Al-Mansour a des positions islamistes classiques : il nie que le gouvernement soudanais entérine l'esclavage, il nie les liens des Juifs avec Jérusalem. Il a écrit une brochure appelée « Américains, prenez garde. Le complot sioniste contre l'Arabie saoudite ». (Obama et al-Mansour réfutent ces déclarations de Sutton).
• Ses relations avec Kenny Gamble (connu aussi sous le nom de Luqman Abdul-Haqq). Gamble, producteur de musique pop, autrefois connu, a coupé le ruban lors de l'inauguration d'un quartier général de campagne d'Obama, situé dans un immeuble du sud de Philadelphie, dont il est propriétaire. Gamble est un islamiste qui achète de nombreuses propriétés dans Philadelphie, dans le but de créer une zone résidentielle réservée aux musulmans. En tant qu'émir autoproclamé du United Muslim Movement, il a aussi des liens nombreux avec des organisations islamistes, dont le CAIR et la Muslim Alliance in North America. (Siraj Wahhaj, l'émir du MANA, a été impliqué, sans mise en examen, pour complicité de conspiration dans l'attaque contre le World Trade Center, en 1993).
• Ses relations avec Mazen Asbahi. Premier coordinateur de la campagne d'Obama à destination des musulmans, il a démissionné après des révélations montrant qu'il avait fait partie du bureau d'une organisation financée par l'Arabie saoudite, le North American Islamic Trust, position qu'il partageait avec Jamal Said, incriminé lui aussi, sans mise en examen, comme complice de conspiration dans le procès concernant le financement du Hamas en 2007. Asbahi a des liens avec les bureaux du CAIR à Detroit et à Chicago, avec l'Islamic Society of North America, incriminée elle-même, sans mise en examen, pour le financement du Hamas et d'autres organisations islamistes.
• Ses relations avec Minha Husaini. Seconde coordinatrice de la campagne d'Obama à destination des Musulmans, elle a un passé islamiste et a travaillé comme stagiaire au Muslim Public Service Network. Immédiatement après sa nomination par Obama, elle a rencontré un groupe d'une trentaine de musulmans, incluant des gens aussi connus que Nihad Awad, du CAIR, Mahdi Bray, de la Muslim American Society, qui a soutenu publiquement des groupes terroristes tels le Hamas et le Hezbollah, et Johari Abdul Malik de la Dar Al-Hijrah Mosque de Falls Church, en Virginie, qui a déclaré aux musulmans américains : « Vous pouvez faire sauter des ponts, mais vous ne pouvez pas tuer des gens innocents qui se rendent à leur travail».
Passons aux liens d'Obama avec The Nation of Islam :
Le donateur et allié de longue date d'Obama, Antoin « Tony » Rezko a été, durant trois décennies, le partenaire de Jabir Herbert Muhammad, fils d'Elijah Muhammad, dirigeant de The Nation of Islam, et il affirme avoir donné à Jabir et à sa famille des « millions de dollars au fil des ans ». Rezko a aussi été directeur exécutif de la Muhammad Ali Foundation, une organisation douteuse qui, sans l'autorisation d'Ali, a utilisé le nom de celui-ci qui, par ailleurs, a été récompensé par le CAIR.
Jeremiah Wright, le pasteur qui a joui de l’estime d'Obama pendant vingt ans, a eu, dans le passé, des liens avec The Nation of Islam ; il a accepté récemment la protection d'un détachement de sécurité de The Nation of Islam, et a parlé de manière élogieuse de Louis Farrakhan comme « l'un des géants de l'expérience religieuse des Afro-Américains ». L'église de Wright a célébré Farrakhan pour avoir été « la parfaite illustration de la grandeur ».
Farrakhan lui-même a annoncé son soutien à Obama, parlant de lui comme l’« espoir du monde entier », « celui qui peut relever l'Amérique après sa chute », et même comme un « Messie ».
Le fait que la biographie d'Obama témoigne de liens si fréquents avec des organisations aussi peu recommandables que le CAIR et The Nation of Islam devrait donner à réfléchir. Combien de politiciens ont-ils eu des liens avec une organisation de ce genre, et combien en ont eu avec sept d'entre elles ? John McCain appelle charitablement Obama « une personne dont vous ne devez pas avoir peur si elle devenait Président des Etats-Unis ». Mais les liens multiples d'Obama avec des organisations anti-américaines et subversives indiquent qu'il ne répondrait pas aux critères de sécurité, exigés pour l'engagement des employés du gouvernement fédéral.
L'agression islamique constitue l'ennemi stratégique de l'Amérique. Les nombreuses relations insalubres d'Obama suscitent des doutes graves concernant son aptitude à être Commandant en chef des Etats-Unis d'Amérique.
(Daniel Pipes, Philadelphia Bulletin, http://fr.danielpipes.org/article/5988 , 21.10.2008)
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Le mur du çon a été pulvérisé cette semaine par Benjamin Barthe
Voulant traiter de la rencontre historique de football entre l'équipe de Palestine et celle de Jordanie, dans la banlieue de Jérusalem, notre jeune pigiste a entrepris un voyage dans le temps. Il a découvert que la Fédération de Football de Palestine était née en 1934.
Notre journaliste s'est alors étonné qu'elle n'était composée que de sportifs juifs, à l'exception d'un Arabe, membre de son conseil d'administration rapidement démissionnaire. Et de soupçonner une petite entourloupe...
Il faudra expliquer un jour à notre Benjamin, qu’en ce temps-là, le vocable «palestinien» s'appliquait bien davantage aux Juifs du Yichouv (foyer) qu'aux Arabes, qui se définissaient davantage en tant que tels, ou comme musulmans.
C'est ainsi que la Banque d'Israël d'aujourd'hui s'appelait «Banque de Palestine», et que l'association «France-Israël», que j'ai l'honneur de présider, se nommait, lors de sa fondation, en 1927, par Gaston Doumergue, Aristide Briand et Maurice Ravel, pour promouvoir la création d'un État juif: «France-Palestine».
Il suffit que les juifs aient été expulsés, sans combattre, du territoire lexical de la Palestine, sans qu'un ignorant les soupçonne, au surplus, d'escroquerie.
( G.W. Goldnadel 27/10/08 )
_____________________________________
(…) Cette renaissance annoncée vient après plusieurs décennies d'une histoire mouvementée. Officiellement, la sélection palestinienne a vu le jour en 1934, à l'occasion d'un match contre l'Egypte, au Caire, comptant pour les qualifications de la Coupe du monde prévue cette même année à Rome. Sous l'influence des occupants britanniques, le ballon rond avait fait de nombreux adeptes en Terre sainte. Futur chef de la délégation palestinienne à la conférence de paix de Madrid, en 1991, Haïdar Abdel Shafi, décédé en 2007, fut l'un des meilleurs joueurs de l'époque. Mais ce 16 mars 1934, l'équipe qui se fait étriller 7-1 par les Egyptiens est composée exclusivement de footballeurs juifs, et la musique jouée en ouverture est l'Hatikva, l'hymne officiel du mouvement sioniste. Aucun joueur arabe ne participera aux quatre autres matches joués par la sélection palestinienne avant la guerre de 1948-1949 et la création de l'Etat d'Israël.
Et pour cause : la Palestine Football Association (PFA), créée en 1928 et adoubée l'année suivante par la FIFA, ne comptait que des juifs dans son conseil d'administration. Comment expliquer que les instances dirigeantes du foot aient donné leur aval à une organisation aussi peu représentative, à une l'époque où les juifs ne représentaient qu'une faible minorité de la population du mandat britannique ? D'après la Soccer Statistics Foundation, une base d'archives électroniques sur le football, cette situation serait le produit d'un vulgaire tour de passe-passe. A l'occasion de leur audition par la FIFA, les responsables de la PFA auraient recruté un représentant arabe, qui, sitôt la rencontre terminée, disparut du conseil d'administration.
Les véritables débuts de l'équipe palestinienne de football datent d'un match contre la Syrie, à Damas, en 1946. Suivent cinquante années de tribulations, indexées sur l'histoire du mouvement national palestinien. Des sélections, composées de réfugiés et patronnées par l'OLP, se produisent sur divers terrains arabes. Une nouvelle fédération en exil est formée en 1962. (...)
("Match historique" en Palestine ,LE MONDE, Benjamin Barthe, 25.10.2008, 835 mots)
Notre journaliste s'est alors étonné qu'elle n'était composée que de sportifs juifs, à l'exception d'un Arabe, membre de son conseil d'administration rapidement démissionnaire. Et de soupçonner une petite entourloupe...
Il faudra expliquer un jour à notre Benjamin, qu’en ce temps-là, le vocable «palestinien» s'appliquait bien davantage aux Juifs du Yichouv (foyer) qu'aux Arabes, qui se définissaient davantage en tant que tels, ou comme musulmans.
C'est ainsi que la Banque d'Israël d'aujourd'hui s'appelait «Banque de Palestine», et que l'association «France-Israël», que j'ai l'honneur de présider, se nommait, lors de sa fondation, en 1927, par Gaston Doumergue, Aristide Briand et Maurice Ravel, pour promouvoir la création d'un État juif: «France-Palestine».
Il suffit que les juifs aient été expulsés, sans combattre, du territoire lexical de la Palestine, sans qu'un ignorant les soupçonne, au surplus, d'escroquerie.
( G.W. Goldnadel 27/10/08 )
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(…) Cette renaissance annoncée vient après plusieurs décennies d'une histoire mouvementée. Officiellement, la sélection palestinienne a vu le jour en 1934, à l'occasion d'un match contre l'Egypte, au Caire, comptant pour les qualifications de la Coupe du monde prévue cette même année à Rome. Sous l'influence des occupants britanniques, le ballon rond avait fait de nombreux adeptes en Terre sainte. Futur chef de la délégation palestinienne à la conférence de paix de Madrid, en 1991, Haïdar Abdel Shafi, décédé en 2007, fut l'un des meilleurs joueurs de l'époque. Mais ce 16 mars 1934, l'équipe qui se fait étriller 7-1 par les Egyptiens est composée exclusivement de footballeurs juifs, et la musique jouée en ouverture est l'Hatikva, l'hymne officiel du mouvement sioniste. Aucun joueur arabe ne participera aux quatre autres matches joués par la sélection palestinienne avant la guerre de 1948-1949 et la création de l'Etat d'Israël.
Et pour cause : la Palestine Football Association (PFA), créée en 1928 et adoubée l'année suivante par la FIFA, ne comptait que des juifs dans son conseil d'administration. Comment expliquer que les instances dirigeantes du foot aient donné leur aval à une organisation aussi peu représentative, à une l'époque où les juifs ne représentaient qu'une faible minorité de la population du mandat britannique ? D'après la Soccer Statistics Foundation, une base d'archives électroniques sur le football, cette situation serait le produit d'un vulgaire tour de passe-passe. A l'occasion de leur audition par la FIFA, les responsables de la PFA auraient recruté un représentant arabe, qui, sitôt la rencontre terminée, disparut du conseil d'administration.
Les véritables débuts de l'équipe palestinienne de football datent d'un match contre la Syrie, à Damas, en 1946. Suivent cinquante années de tribulations, indexées sur l'histoire du mouvement national palestinien. Des sélections, composées de réfugiés et patronnées par l'OLP, se produisent sur divers terrains arabes. Une nouvelle fédération en exil est formée en 1962. (...)
("Match historique" en Palestine ,LE MONDE, Benjamin Barthe, 25.10.2008, 835 mots)
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