35 000 gendarmes et policiers pour préserver "l'esprit festif" du réveillon
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 31.12.08
(...)
Pour Michèle Alliot-Marie, le gouvernement prend en compte le "contexte international", une allusion au conflit dans la bande de Gaza, propice, selon certains spécialistes, à des attaques terroristes. (...)
Wednesday, 31 December 2008
Le Monde et Sylvain Cypel, une meme obsession - les juifs
ÉTATS-UNIS LA FRAUDE FINANCIÈRE DU FONDS BMIS
Scandale Madoff : des associations juives craignent une "vague antisémite" dans l'opinion américaine
LE MONDE | 27.12.08
NEW YORK CORRESPONDANT
Jeudi 25 décembre, la Fondation Elie Wiesel pour l'humanité a mis en ligne ce communiqué : "Avec une tristesse et une détresse profondes, nous informons avoir été, parmi bien d'autres, victimes de l'une des plus grandes fraudes financières de l'Histoire. (La Fondation) détenait 15,2 millions de dollars gérés par le Fonds d'investissement de Bernard Madoff, soit presque la totalité de ses avoirs"...
Comme celle de M. Wiesel, plusieurs dizaines d'associations humanitaires et caritatives juives américaines - actives dans les secteurs scolaire et universitaire, culturel ou sanitaire, le soutien aux handicapés et aux nécessiteux, etc. - ont perdu tout ou partie de leurs ressources dans le fonds BMIS de M. Madoff, aujourd'hui en faillite.
Le volume annuel des dons versés à ces associations est estimé par Gary Tobin, président de l'Institut de recherche communautaire juive de San Francisco, à 5 milliards de dollars annuels (dont 20 % seraient reversés à des organismes israéliens). La part gérée par le fonds Madoff est inconnue, mais elle était importante.
Cela n'a pas empêché un dénommé Frank Veltner d'envoyer la lettre suivante au Palm Beach Post, quotidien d'une ville de Floride où résident de nombreux retraités juifs : "Cette affaire ressemble à l'histoire de l'Holocauste où de pauvres juifs veulent se faire passer pour des victimes, alors que grâce à cette fraude, depuis plus de trente ans, ils se payaient du bon temps."
Envoyées aux journaux ou mises en ligne sur Internet, le nombre des missives négationnistes ou d'un antisémitisme insidieux est en augmentation, selon la Ligue de défense juive (JDL), qui procède à leur recensement. Son président, Abraham Foxman, estime qu'une "vague de commentaires antisémites" se répand aux Etats-Unis depuis que le scandale Madoff a éclaté. Elle se manifeste tant sur des sites nazis ou "suprématistes blancs" que sur ceux de Yahoo! ou de médias comme Forbes, Huffington Post ou encore Dealbreaker, un site spécialisé sur les activités de Wall Street. Ces "épanchements, poursuit M. Foxman, vont des déclarations stéréotypées hargneuses concernant les juifs et l'argent (...) aux théories du complot sur l'argent volé par les juifs au profit d'Israël".
"BOUCS ÉMISSAIRES COMMODES"
Un lecteur écrit ainsi au New York Post : "Les juifs dirigent le monde financièrement. (...) Ils veulent la mort de notre peuple." M. Foxman souligne qu'"en temps de crise, les juifs sont toujours des boucs émissaires commodes". De son côté, Morton Klein, président de la Fédération sioniste d'Amérique (ZOA, une formation très minoritaire dans la communauté), a publié le 23 décembre un communiqué dénonçant comme "absurde" tout lien entre la fraude Madoff et Israël, autre sujet parfois évoqué dans les commentaires.
Les craintes d'une résurgence antisémite aux Etats-Unis sont-elles fondées ? Ce pays a historiquement connu des propensions puissantes en ce sens, tant populaires que dans les cercles aristocratiques, mais rarement violentes. Les études montrent que, jusqu'aux années 1940, un quart des Américains considéraient les juifs comme une "menace". Depuis, le chiffre est tombé à 2 %, "et il reste stable", note J. J. Goldberg, directeur du journal juif new-yorkais The Forward. De 70 %, le nombre des Américains estimant que "les juifs ont trop de pouvoir" est passé à 20 %.
"Il est prématuré de juger si l'éruption actuelle indique un changement", poursuit M. Goldberg. Mais il constate que des scandales précédents, telles les affaires Ivan Boesky et Michael Milken (des financiers juifs condamnés pour activités frauduleuses en 1987 et 1989), ou l'emprisonnement à vie de Jonathan Pollard pour espionnage en faveur d'Israël, en 1987, n'avaient pas généré autant de commentaires antisémites.
Depuis un demi-siècle, ajoute-t-il, l'antisémitisme a quasiment disparu de la sphère publique dans son pays. Prudent, il estime que l'on assiste à une vague restreinte et circonscrite. Mais il note une propension croissante à "relégitimer les propos hostiles aux juifs". Par exemple, "l'idée d'une influence néfaste du lobby juif sur la politique étrangère américaine progresse. Certains tabous tombent", estime-t-il, mais parler de "vague" antisémite lui semble outrancier.
"Le jour où l'opinion se demandera comment il se trouve qu'il y a 14 ou 15 sénateurs juifs (sur 100), là, il faudra s'inquiéter", conclut-il.
Sylvain Cypel
Scandale Madoff : des associations juives craignent une "vague antisémite" dans l'opinion américaine
LE MONDE | 27.12.08
NEW YORK CORRESPONDANT
Jeudi 25 décembre, la Fondation Elie Wiesel pour l'humanité a mis en ligne ce communiqué : "Avec une tristesse et une détresse profondes, nous informons avoir été, parmi bien d'autres, victimes de l'une des plus grandes fraudes financières de l'Histoire. (La Fondation) détenait 15,2 millions de dollars gérés par le Fonds d'investissement de Bernard Madoff, soit presque la totalité de ses avoirs"...
Comme celle de M. Wiesel, plusieurs dizaines d'associations humanitaires et caritatives juives américaines - actives dans les secteurs scolaire et universitaire, culturel ou sanitaire, le soutien aux handicapés et aux nécessiteux, etc. - ont perdu tout ou partie de leurs ressources dans le fonds BMIS de M. Madoff, aujourd'hui en faillite.
Le volume annuel des dons versés à ces associations est estimé par Gary Tobin, président de l'Institut de recherche communautaire juive de San Francisco, à 5 milliards de dollars annuels (dont 20 % seraient reversés à des organismes israéliens). La part gérée par le fonds Madoff est inconnue, mais elle était importante.
Cela n'a pas empêché un dénommé Frank Veltner d'envoyer la lettre suivante au Palm Beach Post, quotidien d'une ville de Floride où résident de nombreux retraités juifs : "Cette affaire ressemble à l'histoire de l'Holocauste où de pauvres juifs veulent se faire passer pour des victimes, alors que grâce à cette fraude, depuis plus de trente ans, ils se payaient du bon temps."
Envoyées aux journaux ou mises en ligne sur Internet, le nombre des missives négationnistes ou d'un antisémitisme insidieux est en augmentation, selon la Ligue de défense juive (JDL), qui procède à leur recensement. Son président, Abraham Foxman, estime qu'une "vague de commentaires antisémites" se répand aux Etats-Unis depuis que le scandale Madoff a éclaté. Elle se manifeste tant sur des sites nazis ou "suprématistes blancs" que sur ceux de Yahoo! ou de médias comme Forbes, Huffington Post ou encore Dealbreaker, un site spécialisé sur les activités de Wall Street. Ces "épanchements, poursuit M. Foxman, vont des déclarations stéréotypées hargneuses concernant les juifs et l'argent (...) aux théories du complot sur l'argent volé par les juifs au profit d'Israël".
"BOUCS ÉMISSAIRES COMMODES"
Un lecteur écrit ainsi au New York Post : "Les juifs dirigent le monde financièrement. (...) Ils veulent la mort de notre peuple." M. Foxman souligne qu'"en temps de crise, les juifs sont toujours des boucs émissaires commodes". De son côté, Morton Klein, président de la Fédération sioniste d'Amérique (ZOA, une formation très minoritaire dans la communauté), a publié le 23 décembre un communiqué dénonçant comme "absurde" tout lien entre la fraude Madoff et Israël, autre sujet parfois évoqué dans les commentaires.
Les craintes d'une résurgence antisémite aux Etats-Unis sont-elles fondées ? Ce pays a historiquement connu des propensions puissantes en ce sens, tant populaires que dans les cercles aristocratiques, mais rarement violentes. Les études montrent que, jusqu'aux années 1940, un quart des Américains considéraient les juifs comme une "menace". Depuis, le chiffre est tombé à 2 %, "et il reste stable", note J. J. Goldberg, directeur du journal juif new-yorkais The Forward. De 70 %, le nombre des Américains estimant que "les juifs ont trop de pouvoir" est passé à 20 %.
"Il est prématuré de juger si l'éruption actuelle indique un changement", poursuit M. Goldberg. Mais il constate que des scandales précédents, telles les affaires Ivan Boesky et Michael Milken (des financiers juifs condamnés pour activités frauduleuses en 1987 et 1989), ou l'emprisonnement à vie de Jonathan Pollard pour espionnage en faveur d'Israël, en 1987, n'avaient pas généré autant de commentaires antisémites.
Depuis un demi-siècle, ajoute-t-il, l'antisémitisme a quasiment disparu de la sphère publique dans son pays. Prudent, il estime que l'on assiste à une vague restreinte et circonscrite. Mais il note une propension croissante à "relégitimer les propos hostiles aux juifs". Par exemple, "l'idée d'une influence néfaste du lobby juif sur la politique étrangère américaine progresse. Certains tabous tombent", estime-t-il, mais parler de "vague" antisémite lui semble outrancier.
"Le jour où l'opinion se demandera comment il se trouve qu'il y a 14 ou 15 sénateurs juifs (sur 100), là, il faudra s'inquiéter", conclut-il.
Sylvain Cypel
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Tuesday, 30 December 2008
islamistes-communistes-Verts, tous ensemble contre Israel
(LibeLyon 29/12/2008)
Des centaines de manifestants à Lyon dénoncent les frappes israéliennes
Pour le deuxième soir de suite, une manifestation a réuni quelques centaines de personnes à Lyon, pour protester contre les frappes israéliennes dans la bande de Gaza. Massée entre l'Hôtel de ville et l'opéra de Lyon, une foule aux âges mêlés. Parmi elle, beaucoup de jeunes. Beaucoup plus que dans les traditionnels cortèges pro-palestiniens. Des appels à la manifestation ont été lancés dans plusieurs mosquées dont la Grande mosquée de Lyon où le recteur, Kamel Kabtane, a signé un appel avec d'autres responsables, notamment Azzedine Gaci, président du conseil régional du culte musulman (CRCM) en Rhône-Alpes...
Brandissant des pancartes et des drapeaux palestiniens, les manifestants crient. "Israël assassin", et surtout "Israël terroriste". Sur les panneaux : "Le Hamas comme alibi pour détruire le peuple palestinien" ou encore "Arrêt immédiat du massacre de Gaza". De nombreux élus communistes, quelques Verts, et des militants du Nouveau parti anticapitaliste (NPA). Autour d'eux, de nombreux keffiehs palestiniens, des jeunes filles avec des drapeaux palestiniens peints sur les joues. Mais aussi des gamines d'une dizaine d'années, toutes voilées et portant des pancartes.
Une mère de famille lance le cri, repris, d'Allah Akbar (Dieu est grand). La foule entonne, puis un communiste interrompt avec un mégaphone : "Il y a ici des croyants chrétiens, musulmans, juifs, des non croyants aussi. Nous sommes tous ici pour dénoncer ensemble les crimes commis par Israël". Comme son intervention dure, des cris finissent par couvrir sa voix : "Israël assassin, Israël assassin". Un peu plus tard, le même communiste est repris lorsqu'il entonne : "Sanctions ! Sanctions ! Contre Israël".
Au bout d'un moment, un slogan en arabe est repris par une partie de la foule : "Avec notre sang, avec notre âme, on te soutient". Un militant de longue date s'agace : "Ils ont ramené des slogans du bled". Des manifestations pro-palestiniennes, il en a connu beaucoup. Il constate que cette fois, l'audience est plus large. Il y a de nombreux visages qu'il ne connait pas. "Ils sont dans l'émotion, dit-il. Ils braillent, ils braillent, mais après ils seront aux abonnés absent pour entrer dans le champ politique. Quand il s'agit d'écrire aux députés européens pour réduire la coopération entre l'Union européenne et Israël".
Ol.B.
Des centaines de manifestants à Lyon dénoncent les frappes israéliennes
Pour le deuxième soir de suite, une manifestation a réuni quelques centaines de personnes à Lyon, pour protester contre les frappes israéliennes dans la bande de Gaza. Massée entre l'Hôtel de ville et l'opéra de Lyon, une foule aux âges mêlés. Parmi elle, beaucoup de jeunes. Beaucoup plus que dans les traditionnels cortèges pro-palestiniens. Des appels à la manifestation ont été lancés dans plusieurs mosquées dont la Grande mosquée de Lyon où le recteur, Kamel Kabtane, a signé un appel avec d'autres responsables, notamment Azzedine Gaci, président du conseil régional du culte musulman (CRCM) en Rhône-Alpes...
Brandissant des pancartes et des drapeaux palestiniens, les manifestants crient. "Israël assassin", et surtout "Israël terroriste". Sur les panneaux : "Le Hamas comme alibi pour détruire le peuple palestinien" ou encore "Arrêt immédiat du massacre de Gaza". De nombreux élus communistes, quelques Verts, et des militants du Nouveau parti anticapitaliste (NPA). Autour d'eux, de nombreux keffiehs palestiniens, des jeunes filles avec des drapeaux palestiniens peints sur les joues. Mais aussi des gamines d'une dizaine d'années, toutes voilées et portant des pancartes.
Une mère de famille lance le cri, repris, d'Allah Akbar (Dieu est grand). La foule entonne, puis un communiste interrompt avec un mégaphone : "Il y a ici des croyants chrétiens, musulmans, juifs, des non croyants aussi. Nous sommes tous ici pour dénoncer ensemble les crimes commis par Israël". Comme son intervention dure, des cris finissent par couvrir sa voix : "Israël assassin, Israël assassin". Un peu plus tard, le même communiste est repris lorsqu'il entonne : "Sanctions ! Sanctions ! Contre Israël".
Au bout d'un moment, un slogan en arabe est repris par une partie de la foule : "Avec notre sang, avec notre âme, on te soutient". Un militant de longue date s'agace : "Ils ont ramené des slogans du bled". Des manifestations pro-palestiniennes, il en a connu beaucoup. Il constate que cette fois, l'audience est plus large. Il y a de nombreux visages qu'il ne connait pas. "Ils sont dans l'émotion, dit-il. Ils braillent, ils braillent, mais après ils seront aux abonnés absent pour entrer dans le champ politique. Quand il s'agit d'écrire aux députés européens pour réduire la coopération entre l'Union européenne et Israël".
Ol.B.
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Monday, 29 December 2008
Un continent à la dérive de sénilité, de déclin et de renoncement à être
Comme on pouvait s’y attendre, l’action défensive menée par Israël contre le Hamas dans la bande de Gaza a fait pousser des cris d’orfraie à l’ensemble du monde musulman. Agresser Israël, c’est normal, n’est-ce pas ? Qu’Israël réagisse, c’est scandaleux. Et que la réaction soit précise, intelligente et efficace est plus scandaleux encore.
Le jour où, dans le monde musulman, on raisonnera de façon logique, en discernant qu’agresser quelqu’un peut conduire ce quelqu’un à répondre à l’agression, ce sera une avancée vers davantage de salubrité mentale.
Le jour où, dans ce même monde musulman, on comprendra que précision, intelligence et efficacité sont l’apanage des sociétés ouvertes et créatrices, l’avancée vers la salubrité mentale sera plus nette encore.
Et le jour où l’on parviendra à y parler de liberté, de démocratie, d’économie d’entreprise, de tolérance, on pourra espérer que cette vaste zone de la planète, aujourd’hui inquiétante et sinistrée, pourra sortir de l’ornière.
Ce qui était attendu aussi, c’étaient les réactions des hommes politiques et des médias européens et, sans qu’on trouve dans ces réactions les excès délirants des cris d’orfraie du monde arabe, on ne peut que noter avec préoccupation des proximités et des similitudes.
On oublie, en Europe, les milliers de missiles et de roquettes tirées depuis Gaza contre Israël et les dégâts matériels et humains ainsi causés, mais on parle de « violence » israélienne : ce serait risible si ce n’était tragique.
On ferme les yeux sur les vociférations sanguinaires des dirigeants du Hamas et sur les foules qu’ils galvanisent, et on présente les Palestiniens de Gaza, miliciens compris, comme des victimes innocentes.
On feint même de ne pas savoir que le Hamas utilise la population civile comme bouclier humain pour mieux incriminer Israël.
On parle de mosquées détruites sans dire que celles-ci servaient à entreposer des armes et des explosifs.
On parle de la fermeture des frontières entre Israël et Gaza depuis des mois en inversant les causes et les effets et en ne disant pas que si Gaza était un havre de paix et de douceur, les frontières seraient depuis longtemps ouvertes.
Nul ne pose la question de savoir pourquoi des Arabes peuvent vivre en Israël, mais pourquoi les Juifs sont interdits de séjour dans la quasi-totalité des terres arabes, et tout particulièrement dans des lieux comme Gaza.
Nul ne reprend les informations disponibles, preuves à l’appui, sur de nombreux sites israéliens.
Il y a là l’effet d’une propagande, inlassablement distillée et relayée, qui colporte des expressions porteuses de réflexes conditionnés.
Selon les médias européens, les implantations juives à Gaza étaient des « colonies », tout comme le sont aujourd’hui les implantations juives en Judée et Samarie.
Selon les mêmes médias, il y a des territoires « occupés » par Israël, et sans doute, pour certains, est-ce l’ensemble du territoire d’Israël qui est « occupé ».
Gaza est soumis à un « blocus », et il n’y a aucune raison de surveiller de très près les actions et les activités d’import-export de gens qui parlent à longueur de journée du génocide qu’ils rêvent de perpétrer.
La liste pourrait encore être très longue.
Des journalistes scrupuleux pourraient examiner minutieusement les faits : ce serait un peu plus long, bien sûr, que de reprendre le "prêt-à-penser" élaboré par la machine de guerre psychologique totalitaire du Hamas et de l’Autorité palestinienne. Au point où nous en sommes, en Europe, cela pourrait même être dangereux : certains journaux ont fermé préventivement l’espace commentaire situé sous les articles qu’ils mettent en ligne. C’est en lisant les commentaires publiés sur les sites des journaux qui n’ont pas procédé à cette fermeture que l’on comprend : des jets de bile et des propos qui frôlent le pire antisémitisme reviennent de manière récurrente.
Si les journalistes ne font pas leur travail, au moins les hommes politiques pourraient-ils sauver l’honneur, mais ce n’est pas le cas. Le « réalisme » pousse à se dire qu’Israël est un petit pays, alors que le monde musulman est beaucoup plus vaste, a du pétrole à vendre et des devises pour acheter. Il pousse aussi, ce réalisme, à songer au poids croissant des populations musulmanes en Europe, et au fait que celles-ci ont des « sensibilités » qui les incitent, parfois, à réagir à Paris, à Bruxelles ou à Londres, comme on réagit à Ramallah, à Damas ou au Caire.
A quoi cela nous mène-t-il ? A penser que, lorsque un auteur tel que Walter Laqueur se proposait, voici quelques mois, de rédiger une épitaphe pour un continent à la dérive et perclus de sénilité, de déclin et de renoncement à être, il n’avait pas tort.
Heureusement pour le peuple israélien, l’Etat d’Israël peut encore compter sur les Etats-Unis pour incarner une certaine idée de la dignité et de l’éthique. Espérons que cela durera, après l’arrivée prochaine d’Obama à la Maison Blanche.
Guy Millière
Le jour où, dans le monde musulman, on raisonnera de façon logique, en discernant qu’agresser quelqu’un peut conduire ce quelqu’un à répondre à l’agression, ce sera une avancée vers davantage de salubrité mentale.
Le jour où, dans ce même monde musulman, on comprendra que précision, intelligence et efficacité sont l’apanage des sociétés ouvertes et créatrices, l’avancée vers la salubrité mentale sera plus nette encore.
Et le jour où l’on parviendra à y parler de liberté, de démocratie, d’économie d’entreprise, de tolérance, on pourra espérer que cette vaste zone de la planète, aujourd’hui inquiétante et sinistrée, pourra sortir de l’ornière.
Ce qui était attendu aussi, c’étaient les réactions des hommes politiques et des médias européens et, sans qu’on trouve dans ces réactions les excès délirants des cris d’orfraie du monde arabe, on ne peut que noter avec préoccupation des proximités et des similitudes.
On oublie, en Europe, les milliers de missiles et de roquettes tirées depuis Gaza contre Israël et les dégâts matériels et humains ainsi causés, mais on parle de « violence » israélienne : ce serait risible si ce n’était tragique.
On ferme les yeux sur les vociférations sanguinaires des dirigeants du Hamas et sur les foules qu’ils galvanisent, et on présente les Palestiniens de Gaza, miliciens compris, comme des victimes innocentes.
On feint même de ne pas savoir que le Hamas utilise la population civile comme bouclier humain pour mieux incriminer Israël.
On parle de mosquées détruites sans dire que celles-ci servaient à entreposer des armes et des explosifs.
On parle de la fermeture des frontières entre Israël et Gaza depuis des mois en inversant les causes et les effets et en ne disant pas que si Gaza était un havre de paix et de douceur, les frontières seraient depuis longtemps ouvertes.
Nul ne pose la question de savoir pourquoi des Arabes peuvent vivre en Israël, mais pourquoi les Juifs sont interdits de séjour dans la quasi-totalité des terres arabes, et tout particulièrement dans des lieux comme Gaza.
Nul ne reprend les informations disponibles, preuves à l’appui, sur de nombreux sites israéliens.
Il y a là l’effet d’une propagande, inlassablement distillée et relayée, qui colporte des expressions porteuses de réflexes conditionnés.
Selon les médias européens, les implantations juives à Gaza étaient des « colonies », tout comme le sont aujourd’hui les implantations juives en Judée et Samarie.
Selon les mêmes médias, il y a des territoires « occupés » par Israël, et sans doute, pour certains, est-ce l’ensemble du territoire d’Israël qui est « occupé ».
Gaza est soumis à un « blocus », et il n’y a aucune raison de surveiller de très près les actions et les activités d’import-export de gens qui parlent à longueur de journée du génocide qu’ils rêvent de perpétrer.
La liste pourrait encore être très longue.
Des journalistes scrupuleux pourraient examiner minutieusement les faits : ce serait un peu plus long, bien sûr, que de reprendre le "prêt-à-penser" élaboré par la machine de guerre psychologique totalitaire du Hamas et de l’Autorité palestinienne. Au point où nous en sommes, en Europe, cela pourrait même être dangereux : certains journaux ont fermé préventivement l’espace commentaire situé sous les articles qu’ils mettent en ligne. C’est en lisant les commentaires publiés sur les sites des journaux qui n’ont pas procédé à cette fermeture que l’on comprend : des jets de bile et des propos qui frôlent le pire antisémitisme reviennent de manière récurrente.
Si les journalistes ne font pas leur travail, au moins les hommes politiques pourraient-ils sauver l’honneur, mais ce n’est pas le cas. Le « réalisme » pousse à se dire qu’Israël est un petit pays, alors que le monde musulman est beaucoup plus vaste, a du pétrole à vendre et des devises pour acheter. Il pousse aussi, ce réalisme, à songer au poids croissant des populations musulmanes en Europe, et au fait que celles-ci ont des « sensibilités » qui les incitent, parfois, à réagir à Paris, à Bruxelles ou à Londres, comme on réagit à Ramallah, à Damas ou au Caire.
A quoi cela nous mène-t-il ? A penser que, lorsque un auteur tel que Walter Laqueur se proposait, voici quelques mois, de rédiger une épitaphe pour un continent à la dérive et perclus de sénilité, de déclin et de renoncement à être, il n’avait pas tort.
Heureusement pour le peuple israélien, l’Etat d’Israël peut encore compter sur les Etats-Unis pour incarner une certaine idée de la dignité et de l’éthique. Espérons que cela durera, après l’arrivée prochaine d’Obama à la Maison Blanche.
Guy Millière
Wednesday, 24 December 2008
One more alternative world view - Ahmadinejad's
Dorothy Byrne and Brian Haw
Channel 4 has opted to end the year on a controversial note by inviting the president of Iran, Mahmoud Ahmadinejad, to give the broadcaster's alternative Christmas message tomorrow.
But the channel has shied away from scheduling the president's address against the Queen's Christmas speech at 3pm. Unlike most years, it is not airing its alternative Christmas message at the same time as the Queen, but is instead scheduling Ahmadinejad's message at 7.15pm.(...)
(...)The Channel 4 head of news and current affairs, Dorothy Byrne, argued that the selection of such controversial figure was in line with the broadcaster's policy of providing an "alternative world view" and reflected the extensive coverage it has given to Iran in recent times.
"As the leader of one of the most powerful states in the Middle East, President Ahmadinejad's views are enormously influential," she said. "As we approach a critical time in international relations, we are offering our viewers an insight into an alternative world view.(...)
(Mark Sweney, guardian.co.uk,24.12.2008)
Channel 4 has opted to end the year on a controversial note by inviting the president of Iran, Mahmoud Ahmadinejad, to give the broadcaster's alternative Christmas message tomorrow.
But the channel has shied away from scheduling the president's address against the Queen's Christmas speech at 3pm. Unlike most years, it is not airing its alternative Christmas message at the same time as the Queen, but is instead scheduling Ahmadinejad's message at 7.15pm.(...)
(...)The Channel 4 head of news and current affairs, Dorothy Byrne, argued that the selection of such controversial figure was in line with the broadcaster's policy of providing an "alternative world view" and reflected the extensive coverage it has given to Iran in recent times.
"As the leader of one of the most powerful states in the Middle East, President Ahmadinejad's views are enormously influential," she said. "As we approach a critical time in international relations, we are offering our viewers an insight into an alternative world view.(...)
(Mark Sweney, guardian.co.uk,24.12.2008)
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Saturday, 20 December 2008
Pour Le Monde, l'origine juive de l'escroque Madoff est pertinante
Comprendre l'affaire Madoff
LEMONDE.FR 19.12.08 Mis à jour le 20.12.08
Qui est Bernard Madoff ?
Le courtier au cœur du scandale était une légende de Wall Street, ainsi qu'une incarnation du rêve américain. Ce maître nageur à Long Island a créé son fonds d'investissement à l'âge de 22 ans, avec 5 000 dollars. Réputé intuitif, ultra-rapide mais aussi très "éthique", il avait fini par s'imposer dans la communauté financière. Au point de devenir président du Nasdaq, la prestigieuse Bourse des valeurs technologiques, de 1990 à 1991. Mondain, jovial, il parvenait à capter la confiance de ses futurs clients. Figure de la communauté juive new-yorkaise, le "génial" financier était très présent dans les activités caritatives et culturelles.
Comment a-t-il escroqué ses clients ?
(...)
LEMONDE.FR 19.12.08 Mis à jour le 20.12.08
Qui est Bernard Madoff ?
Le courtier au cœur du scandale était une légende de Wall Street, ainsi qu'une incarnation du rêve américain. Ce maître nageur à Long Island a créé son fonds d'investissement à l'âge de 22 ans, avec 5 000 dollars. Réputé intuitif, ultra-rapide mais aussi très "éthique", il avait fini par s'imposer dans la communauté financière. Au point de devenir président du Nasdaq, la prestigieuse Bourse des valeurs technologiques, de 1990 à 1991. Mondain, jovial, il parvenait à capter la confiance de ses futurs clients. Figure de la communauté juive new-yorkaise, le "génial" financier était très présent dans les activités caritatives et culturelles.
Comment a-t-il escroqué ses clients ?
(...)
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Tuesday, 2 December 2008
La Télévision de Suisse romande heurte notre inteligence
Le site web de la Télévision de Suisse romande publie le titre: "Terroristes indiens et fanatiques israéliens"
Suite aux protestations, le titre stupide a été remplacé par "Terrorisme en Inde"
PRECISIONS DE LA TSR (publiées sur la page en question)
(http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=200700&sid=10016481)
Dans un titre récemment paru sur cette page, certains lecteurs ont été choqués de l'amalgame opéré entre "Terroristes indiens" et "fanatiques israéliens". Le premier faisait référence aux récents événements en Inde. Le second se voulait un écho à un article du journal Le Temps sur certains mouvements ultra-orthodoxes en Israël, reportage sans lien aucun avec les actes de terrorisme à Bombay. L'amalgame en titre n'en était pas moins particulièrement malheureux. Nous regrettons sa diffusion et exprimons nos regrets si nous avons heurté de la sorte certaines sensibilités. Dans ses programmes, la TSR entend veiller à ne pas exercer ni à favoriser une quelconque forme de discrimination à l'encontre de populations ou groupes d'individus. Dans un esprit d'ouverture au monde, de respect de la personne et de la dignité humaine.
La Rédaction en chef.
_______________________________________
Il ne s'agite pas ici de "heurter certaines sensibilités" ni d'etre "choquer par un amalgame", mais de heurter notre intelligence car dans la réalité de cette semaine, les «Terroristes Fanatiques», sont de islamistes qui sont venus de Pakistan pour massacrer d’indiens et de israéliens, qui sont donc, des victimes de Terroristes Fanatiques.
Suite aux protestations, le titre stupide a été remplacé par "Terrorisme en Inde"
PRECISIONS DE LA TSR (publiées sur la page en question)
(http://www.tsr.ch/tsr/index.html?siteSect=200700&sid=10016481)
Dans un titre récemment paru sur cette page, certains lecteurs ont été choqués de l'amalgame opéré entre "Terroristes indiens" et "fanatiques israéliens". Le premier faisait référence aux récents événements en Inde. Le second se voulait un écho à un article du journal Le Temps sur certains mouvements ultra-orthodoxes en Israël, reportage sans lien aucun avec les actes de terrorisme à Bombay. L'amalgame en titre n'en était pas moins particulièrement malheureux. Nous regrettons sa diffusion et exprimons nos regrets si nous avons heurté de la sorte certaines sensibilités. Dans ses programmes, la TSR entend veiller à ne pas exercer ni à favoriser une quelconque forme de discrimination à l'encontre de populations ou groupes d'individus. Dans un esprit d'ouverture au monde, de respect de la personne et de la dignité humaine.
La Rédaction en chef.
_______________________________________
Il ne s'agite pas ici de "heurter certaines sensibilités" ni d'etre "choquer par un amalgame", mais de heurter notre intelligence car dans la réalité de cette semaine, les «Terroristes Fanatiques», sont de islamistes qui sont venus de Pakistan pour massacrer d’indiens et de israéliens, qui sont donc, des victimes de Terroristes Fanatiques.
Libellés :
antisemitisme,
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Monday, 1 December 2008
Germany - Iran
As Germany continues to express its firm commitment to economic sanctions on Iran, major trading bodies within the country have been openly violating them.
A business conference held in Hamburg last week discussed possible ways to circumvent the sanctions and instead increase trading ties with Tehran.(...)
Israel's ire over the conference only increased after it was revealed that the conference's main sponsor had been none other than Iran's Melli Bank. The Iranian bank is suspected of funding terror and of financing the Iranian nuclear project. The Unites States and EU have consequently imposed sanctions on the bank, freezing many of its assets.
Israel has since protested to German authorities, requesting that the conference be cancelled despite it being a private event. Israel's ambassador to Berlin has even called for the intervention of German Chancellor Angela Merkel. The German response was ambiguous. At first the German officials stated there was not enough time to cancel the event. A later response said the private nature of the event rendered it outside the realm of government responsibility.(...)
The Hamburg conference is the latest in a recent series of events that have raised Israel's ire over Germany's conduct on the Iranian issue. In September 2007 Germany sponsored a conference calling for increased trading ties with Tehran; in June Haaretz revealed an 18-percent rise in trade between the two countries over the first quarter of 2008, while over the same month a German gas company forged a deal with Iran worth 100 million euros. Another awkward incident took place two months ago, when Germany's military envoy to Tehran participated in a parade in which missiles were exhibited bearing the slogan: "Wiping Israel off the map."
(Barak Ravid, Haaretz Correspondent www.haaretz.com 01/12/2008)
A business conference held in Hamburg last week discussed possible ways to circumvent the sanctions and instead increase trading ties with Tehran.(...)
Israel's ire over the conference only increased after it was revealed that the conference's main sponsor had been none other than Iran's Melli Bank. The Iranian bank is suspected of funding terror and of financing the Iranian nuclear project. The Unites States and EU have consequently imposed sanctions on the bank, freezing many of its assets.
Israel has since protested to German authorities, requesting that the conference be cancelled despite it being a private event. Israel's ambassador to Berlin has even called for the intervention of German Chancellor Angela Merkel. The German response was ambiguous. At first the German officials stated there was not enough time to cancel the event. A later response said the private nature of the event rendered it outside the realm of government responsibility.(...)
The Hamburg conference is the latest in a recent series of events that have raised Israel's ire over Germany's conduct on the Iranian issue. In September 2007 Germany sponsored a conference calling for increased trading ties with Tehran; in June Haaretz revealed an 18-percent rise in trade between the two countries over the first quarter of 2008, while over the same month a German gas company forged a deal with Iran worth 100 million euros. Another awkward incident took place two months ago, when Germany's military envoy to Tehran participated in a parade in which missiles were exhibited bearing the slogan: "Wiping Israel off the map."
(Barak Ravid, Haaretz Correspondent www.haaretz.com 01/12/2008)
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L'agriculture Bio en France
On a déjà abattu ses chèvres, détruit ses clôtures, incendié sa voiture, envoyé des menaces de viol sur sa fille de 8 ans et de mort sur sa famille s'il ne quitte pas la région avant le 1er décembre... L'incendie qui a entièrement détruit dans la nuit de vendredi à samedi la grange de Jean-Hugues Bourgeois, 29 ans, jeune éleveur biologique de Teilhet, dans le Puy-de-Dôme, sujet à des menaces de mort pour le pousser à quitter la région, est selon lui d'origine suspecte.
Le jeune éleveur, venu s'installer dans la région des Combrailles en janvier 2007, pour y élever des chèvres et des moutons dans une exploitation biologique. Jean-Hugues Bourgeois assure qu'il n'a toujours "pas envie de partir".
Fin mars, son troupeau de chèvres avait été tué au pistolet d'abattage, mi-août une petite grange où il entreposait du foin avait été détruite dans un incendie volontaire. Fin août, il avait reçu une lettre en forme de cercueil contenant des menaces de viol et de mort contre sa fille de 8 ans et contre sa mère. Il avait même envoyé sa fille faire sa rentrée scolaire ailleurs. Le 4 septembre, le procureur de la République de Riom a ouvert une information judiciaire pour "destruction de bien par incendie et menace de mort" en raison notamment de la "montée en puissance dans la gravité des faits".
(lci.fr 05.10.2008)
Jean-Hugues Bourgeois, c'est ce jeune agriculteur bio qui, depuis des mois, subit de graves pressions et des menaces de mort. Il a résisté à toutes les attaques dont il fait l'objet depuis plusieurs mois. Mais pour lui, maintenant, c'est fini. Malgré sa résistance, il a décidé de jeter l'éponge et de quitter la région avec sa famille, selon Le Parisien. Avant Noël, Jean-Hugues Bourgeois ne sera plus sur ses terres de Teilhet.
(fr.news.yahoo.com 01.12.08)
Le jeune éleveur, venu s'installer dans la région des Combrailles en janvier 2007, pour y élever des chèvres et des moutons dans une exploitation biologique. Jean-Hugues Bourgeois assure qu'il n'a toujours "pas envie de partir".
Fin mars, son troupeau de chèvres avait été tué au pistolet d'abattage, mi-août une petite grange où il entreposait du foin avait été détruite dans un incendie volontaire. Fin août, il avait reçu une lettre en forme de cercueil contenant des menaces de viol et de mort contre sa fille de 8 ans et contre sa mère. Il avait même envoyé sa fille faire sa rentrée scolaire ailleurs. Le 4 septembre, le procureur de la République de Riom a ouvert une information judiciaire pour "destruction de bien par incendie et menace de mort" en raison notamment de la "montée en puissance dans la gravité des faits".
(lci.fr 05.10.2008)
Jean-Hugues Bourgeois, c'est ce jeune agriculteur bio qui, depuis des mois, subit de graves pressions et des menaces de mort. Il a résisté à toutes les attaques dont il fait l'objet depuis plusieurs mois. Mais pour lui, maintenant, c'est fini. Malgré sa résistance, il a décidé de jeter l'éponge et de quitter la région avec sa famille, selon Le Parisien. Avant Noël, Jean-Hugues Bourgeois ne sera plus sur ses terres de Teilhet.
(fr.news.yahoo.com 01.12.08)
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