Pourquoi en France on a pas le droit de savoir quelle est la vraie critique contre Barack Obama, car la vraie critique n’est pas sa couleur de peau comme le prétendent les medias français. Voici quelques argumentes contre Obama que vous ne trouvez que dans les medias étrangères:
French President Nicolas Sarkozy is very critical of U.S. presidential candidate Barack Obama's positions on Iran, according to reports that have reached Israel's government. Sarkozy has made his criticisms only in closed forums in France. But according to a senior Israeli government source, the reports reaching Israel indicate that Sarkozy views the Democratic candidate's stance on Iran as "utterly immature" and comprised of "formulations empty of all content." (...) Advisors to the French president who held separate meetings with Obama's advisors came away with similar impressions and expressed similar disappointment. (...)
(Barak Ravid www.haaretz.com 28.10.09)
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Puisque Colin Powell répète désormais le mensonge selon lequel Barack Obama a toujours été chrétien, et ce « en dépit des informations confirmant l'enfance musulmane d'Obama » (ainsi, l'inscription à une école indonésienne le répertoriant comme musulman), on doit constater avec consternation que le candidat démocrate s'emploie à cacher la vérité sur cette question.
Portons notre attention, dans ce contexte, sur un sujet connexe, les relations d'Obama, tout au long de sa carrière, avec l'islam extrémiste, et la dette morale que cela implique. Sur un plan plus précis, Obama maintient des liens indirects, mais anciens et persistants, avec deux organisations, le Council on American Islamic Relations (CAIR), incriminé, sans mise en examen, par le gouvernement américain en 2007 comme complice de conspiration dans un procès concernant le financement du Hamas ; et The Nation of Islam, condamnée par l'Anti-Defamation League pour un passé marqué, « de manière constante, par le racisme et l'antisémitisme ».
Commençons par les liens d'Obama avec des islamistes :
• Ses relations avec Khalid al-Mansour. Selon l'ancien président du quartier de Manhattan, Percy Sutton, Al-Mansour a collecté de l'argent pour financer les « dépenses d'Obama à la Harvard Law School ». Al-Mansour, un noir américain, (nom de naissance : Don Warden) est devenu conseiller du prince saoudien, Al-Walid bin Talal, le principal donateur du CAIR. Al-Mansour a des positions islamistes classiques : il nie que le gouvernement soudanais entérine l'esclavage, il nie les liens des Juifs avec Jérusalem. Il a écrit une brochure appelée « Américains, prenez garde. Le complot sioniste contre l'Arabie saoudite ». (Obama et al-Mansour réfutent ces déclarations de Sutton).
• Ses relations avec Kenny Gamble (connu aussi sous le nom de Luqman Abdul-Haqq). Gamble, producteur de musique pop, autrefois connu, a coupé le ruban lors de l'inauguration d'un quartier général de campagne d'Obama, situé dans un immeuble du sud de Philadelphie, dont il est propriétaire. Gamble est un islamiste qui achète de nombreuses propriétés dans Philadelphie, dans le but de créer une zone résidentielle réservée aux musulmans. En tant qu'émir autoproclamé du United Muslim Movement, il a aussi des liens nombreux avec des organisations islamistes, dont le CAIR et la Muslim Alliance in North America. (Siraj Wahhaj, l'émir du MANA, a été impliqué, sans mise en examen, pour complicité de conspiration dans l'attaque contre le World Trade Center, en 1993).
• Ses relations avec Mazen Asbahi. Premier coordinateur de la campagne d'Obama à destination des musulmans, il a démissionné après des révélations montrant qu'il avait fait partie du bureau d'une organisation financée par l'Arabie saoudite, le North American Islamic Trust, position qu'il partageait avec Jamal Said, incriminé lui aussi, sans mise en examen, comme complice de conspiration dans le procès concernant le financement du Hamas en 2007. Asbahi a des liens avec les bureaux du CAIR à Detroit et à Chicago, avec l'Islamic Society of North America, incriminée elle-même, sans mise en examen, pour le financement du Hamas et d'autres organisations islamistes.
• Ses relations avec Minha Husaini. Seconde coordinatrice de la campagne d'Obama à destination des Musulmans, elle a un passé islamiste et a travaillé comme stagiaire au Muslim Public Service Network. Immédiatement après sa nomination par Obama, elle a rencontré un groupe d'une trentaine de musulmans, incluant des gens aussi connus que Nihad Awad, du CAIR, Mahdi Bray, de la Muslim American Society, qui a soutenu publiquement des groupes terroristes tels le Hamas et le Hezbollah, et Johari Abdul Malik de la Dar Al-Hijrah Mosque de Falls Church, en Virginie, qui a déclaré aux musulmans américains : « Vous pouvez faire sauter des ponts, mais vous ne pouvez pas tuer des gens innocents qui se rendent à leur travail».
Passons aux liens d'Obama avec The Nation of Islam :
Le donateur et allié de longue date d'Obama, Antoin « Tony » Rezko a été, durant trois décennies, le partenaire de Jabir Herbert Muhammad, fils d'Elijah Muhammad, dirigeant de The Nation of Islam, et il affirme avoir donné à Jabir et à sa famille des « millions de dollars au fil des ans ». Rezko a aussi été directeur exécutif de la Muhammad Ali Foundation, une organisation douteuse qui, sans l'autorisation d'Ali, a utilisé le nom de celui-ci qui, par ailleurs, a été récompensé par le CAIR.
Jeremiah Wright, le pasteur qui a joui de l’estime d'Obama pendant vingt ans, a eu, dans le passé, des liens avec The Nation of Islam ; il a accepté récemment la protection d'un détachement de sécurité de The Nation of Islam, et a parlé de manière élogieuse de Louis Farrakhan comme « l'un des géants de l'expérience religieuse des Afro-Américains ». L'église de Wright a célébré Farrakhan pour avoir été « la parfaite illustration de la grandeur ».
Farrakhan lui-même a annoncé son soutien à Obama, parlant de lui comme l’« espoir du monde entier », « celui qui peut relever l'Amérique après sa chute », et même comme un « Messie ».
Le fait que la biographie d'Obama témoigne de liens si fréquents avec des organisations aussi peu recommandables que le CAIR et The Nation of Islam devrait donner à réfléchir. Combien de politiciens ont-ils eu des liens avec une organisation de ce genre, et combien en ont eu avec sept d'entre elles ? John McCain appelle charitablement Obama « une personne dont vous ne devez pas avoir peur si elle devenait Président des Etats-Unis ». Mais les liens multiples d'Obama avec des organisations anti-américaines et subversives indiquent qu'il ne répondrait pas aux critères de sécurité, exigés pour l'engagement des employés du gouvernement fédéral.
L'agression islamique constitue l'ennemi stratégique de l'Amérique. Les nombreuses relations insalubres d'Obama suscitent des doutes graves concernant son aptitude à être Commandant en chef des Etats-Unis d'Amérique.
(Daniel Pipes, Philadelphia Bulletin, http://fr.danielpipes.org/article/5988 , 21.10.2008)
Tuesday, 28 October 2008
Les français soutiens un candidat noir pour l'élection présidentielle...americaine
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